Courants spiroïdaux selon Nikolaï Kozyrev (1936-1996)

Courants spiroïdaux selon Nikolaï Kozyrev (1936-1996)
Conflits politiques (1936-1950)
Flux temporel changeant (1950)
Interférences psychiques
Masse pondérable manquante
Flux temporel observé
Flux temporel instantané
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Trois minutes pour comprendre / Three minutes of learning
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Conflits politiques (1936-1950)

Le savant russe Russie

Dr Nikolaï Kozyrev (1908-1983) fut le premier à avancer l'idée qu'il y avait peut-être de la glace sur la Lune et que nous pourrions nous en servir pour alimenter en eau une base lunaire le jour où des humains décideront d'aller vivre là-haut.

En raison des politiques fascistes de Staline (purge de Staline, 1936-1938), Nikolaï Kozyrev fut condamné, comme de nombreux autres scientifiques, à aller croupir (moisir) durant de longues années dans un camp de concentration. Staline savait que les scientifiques risquaient plus que les autres d'être des libres-penseurs opposés à ses politiques intransigeantes.

Tandis qu'il subissait les horreurs du camp de concentration, Kozyrev élabora le concept d'un flux temporel changeant.

Flux temporel changeant (1950)

Dès que Nikolaï Kozyrev fut libéré dans les années 1950, il commença à mener des expériences afin de démontrer la justesse de ses idées. Une incroyable révolution scientifique s'ensuivit, de sorte que déjà en 1996 plus de dix mille articles scientifiques avaient été publiés à ce sujet.

Selon A. P. Levich, le changement de vélocité des gyroscopes de Kozyrev ou d'autres détecteurs mécaniques utilisés dans ses expériences pouvait être aussi microscopique que dix à la puissance moins six, ou même moins sept (10^-6 voire 10^-7), relativement à la vitesse de rotation normale de l'objet. C'est comparable aux minuscules changements découverts par les scientifiques de la NASA dans la vitesse de leurs sondes spatiales (13mm/s).

Sondes Pioneer & sondes Voyager dans l'espace

Sondes Pioneer & sondes Voyager dans l'espace

Les premières anomalies obtenues sur la vitesse des sondes spatiales autour des planètes & satellites de notre système solaire ont été rencontrées entre 1972 & 2000 sur six sondes spatiales: Pioneer 10, Pioneer 11, Galileo, Ulysse, NEAR-Shoemaker & Cassini-Huygens. Ces anomalies ont été signalées au grand public, seulement entre 2001 et 2009.

Lancement des sondes américaines Etats-Unis

, Pioneer 10 (03 mars 1972) & Pioneer 11 (1973). Lancement de la sonde américaine NEAR Shoemaker Etats-Unis

(17 février 1996) pour un atterrissage sur l'astéroïde géocroiseur Eros (14 février 2000).

Survol de la planète Jupiter par les sondes Pioneer (03 décembre 1973), Galileo (19 octobre 1989), Ulysse (06 octobre 1990) & Cassini-Huygens (15 octobre 1997 ?).

Survol de la planète Saturne par les sondes Pioneer (1^er septembre 1979) & Cassini-Huygens (15 octobre 1997 ?).

Interférences psychiques

Nikolaï Kozyrev, en lisant Faust (un classique de Goethe dans lequel le héros rencontre le diable, Méphistophélès, se voit offrir les plus grandes richesses du monde en échange de son âme immortelle), cette histoire le touchait de manière très personnelle (Kozyrev avait enduré les affres de la faim, de la pauvreté et des travaux forcés dans un camp de concentration). Il était assis dans son laboratoire, à proximité du détecteur de la balance à fléau, en train de lire ce livre.

Comme il atteignait le point culminant de l'histoire, une vague d'émotion s'empara subitement de lui et, tout juste au même moment, le fléau de la balance tourna soudainement dans sa direction. Grâce à cette découverte, Kozyrev pouvait maintenant prouver que nos pensées ne sont pas enfermées dans notre cerveau, puisqu'elles produisent des signaux mesurables que ses détecteurs pouvaient capter.

Masse pondérable manquante

Le Dr Nikolaï Kozyrev a constaté que le simple fait de projeter violemment un objet contre une surface dure diminuait son poids (bille de métal sur une plaque de plomb, morceau de plomb sur un plancher en pierre).

"Ces expériences ont démontré que l'anomalie de poids ne disparaît pas immédiatement après une collision, mais diminue progressivement pendant quinze à vingt minutes", constate Kozyrev.

Le poids manquant revient lentement à mesure que le calme se rétablit dans ces atomes. Le plus étrange de tout, c'est que l'objet ne retrouvait pas graduellement son poids, mais qu'il revenait en une succession de petits sauts brusques quantifiés au fil du temps.

"Nous sommes parvenus à observer cet effet à cinq reprises et même à dix reprises", affirme Kozyrev. Il a également découvert que cet effet, dit de quantification, "peut être observé dans presque toutes les expériences de ce type".

Déjà, en 1995, un champ à inertie virtuelle découvert par Harold Aspden faisait état d'un "effet tourbillonnant", d'une "inertie virtuelle" qui est à rapprocher de l'interprétation de la masse manquante exposée par Nikolaï Kozyrev. Selon Harold Aspden, un rotor en rotation mis à l'arrêt, garderait en quelque sorte son inertie en "mémoire" pendant soixante secondes. Si la remise en rotation de l'objet se produit moins d'une minute après son immobilisme, dix fois moins d'énergie suffisent pour ramener le rotor à la même vitesse.

Vers 2006, la force de dématérialisation des tornades observée par Alexei Dmitriev, penche pour le basculement de certains atomes dans un état de moindre masse, comme si une partie de la matière disparassait sous la forme d'une onde.

C'est comme si, pour reprendre l'expression de Vladimir Ginzburg, concepteur de la notion de temps-espace en 2000), la matière (considérée comme de la "matière pure"), voyait une partie d'elle-même se convertir au profit (au bénéfice) d'une énergie ondulatoire, une onde (stade final du "champ pur").

Accepter l'existence du temps-espace de Vladimir Ginzburg, c'est comprendre la nécessité de faire appel à une dimension supplémentaire pour interpréter l'eau dans lequel baigne le poisson, comme étant le fluide, l'"éther" qui entoure l'être humain.

Flux temporel observé

Nikolaï Kozyrev a découvert que certains phénomènes physiques faisaient, soit accélérer le temps, soit le ralentir. Cette augmentation ou diminution apparente du temps observée dans notre conception du monde (en mécanique ou physique classique), s'explique en réalité par l'existence d'une voire plusieurs dimensions supplémentaires visibles en de rares exception (mécanique ou physique quantique).

Voici une liste d'observations faites par Kozyrev, en faveur de la modification de la vitesse du flux temporel dans son laboratoire, et de la création d'ondulations mesurables dans le champ unitaire (telle des vagues se déplaçant à la surface de l'eau), à l'aide d'un quartz (le même que celui d'une montre à quartz) : flexion, rupture ou déformation d'un objet physique – envoi d'un jet d'air sur un objet – mouvement du sable dans un sablier – friction – feu – tout objet ou toute surface absorbant la lumière – chauffer ou refroidir un objet – phases transitoires des substances (passage de l'état gelé à l'état liquide, et de l'état liquide à l'état gazeux, etc.) – dissolution et mélange de substances – passage d'un courant électrique dans un fil (le tungstène, d'une extrème sensibilité) – gestes d'un observateur, tel un mouvement de la tête – fluidité de l'eau (épaisseur et viscosité) – dépérissement et mort des plantes (car composées d'eau) – changements soudains dans la conscience humaine – variation du flux, mesurable jusqu'à 3m pour tout déplacement d'un objet d'au moins 10kg.

Kozyrev a également découvert que le flux temporel ne se déplace pas en ligne droite dans l'espace. En réalité, ce flux tourbillonne ou tournoie en se déplaçant : "Le temps possède non seulement une énergie propre, mais il est aussi animé d'un mouvement de rotation ... qu'il peut transmettre à un système". Kozyrev a constaté que les molécules droitières (sucre, qui tournoie dans le sens horaire) absorbent le flux temporel et le font ralentir. De même, les molécules gauchères (térébentine et sel, qui tournent dans le sens anti-horaire) renforcent ce flux et le font accélérer. Le Dr Bruce DePalma a constaté en 1993 que la montre Accutron, dont le fonctionnement est assuré par un diapason métallique, accélérait et ralentissait en présence de ces champs d'énergie.

L'absence de chaleur élimine tout mouvement chaotique susceptible d'entraver le passage du courant électrique. Kozyrev a également constaté que ses expériences marchaient mieux dans la première moitié de l'hiver. En été, la chaleur ambiante semblait engendrer du brouillage dans le flux temporel et cela rendait difficile, voire impossible, le bon fonctionnement de ses expériences. L'augmentation de la chaleur réduisait la cohérence du champ unitaire.

Flux temporel instantané

En astronomie, l'observation de la voûte céleste la nuit représente en réalité l'image de l'Univers dans le passé (car la vitesse de la lumière n'est pas instantanée). En 1950, Kozyrev constate qu'un télescope occulté par une plaque métallique (opaque à la lumière visible, et donc imperméable aux rayonnements électromagnétiques) mais muni d'un détecteur de flux temporel, était capable de détecter un signal mesurable, d'autant plus intense si le télescope pointe dans la position réelle de l'étoile (avant envoi de sa lumière vers nous) et non sa position apparente (celle observée au télescope). Pour Kozyrev il n'y a aucun doute : "le flux temporel (ou ondes du champ unitaire ) se déplace instantanément".

En 1966, Kozyrev suggère que la synchronisation des étoiles binaires, qualifiées de paire intriquée alors qu'au moins 500 à 1000 années-lumière les séparent en moyenne, devait se faire via le flux temporel, qui lui se déplace intantanément.

En 2001, le Dr Hartmut Müller s'est servi des champs spiroïdaux de la gravité pour établir une communication téléphonique entre l'édifice Medientage Tœzler en Allemagne