Objets volants du troisième Reich (1922-1945)
Origines
Modèle JFM
Modèles RFZ
Modèles Haunebu
Modèles Vril
Archives SS
Foo-Fighters
Projet Hitler
Expédition Amiral Byrd
Opération Highjump
Les références
Opération Deepfreeze
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©Opération Deepfreeze (Antarctique, 1956)

La petite histoire Up Page
Les origines
Afin de nous remettre dans le contexte, il est important de nous situer dans l'histoire. Le parti Nazi a été fondé par la société occulte Thulé (1917) et la société Vril (1919), et d'autres groupes occultes comme le DHvSS (les hommes de la pierre noire) qui s'est étendu avec le vieil ordre allemand (a.k.a. Ordre des Teutons).

Le modèle JFM Up Page
JFM, Jenseitsflugmaschine (1922-1924)
La Jenseitsflugmaschine, ou "la machine volante de l'autre monde", doit son existence à une information rapportée auprès de deux médiums (Maria Orsitsch and Sigrun), qu'ils l'auraient reçu du système Aldebaran, dans la Constellation du Taureau, à 68 années-lumières (une année-lumière, distance parcourue par la lumière durant une année).
Ne pouvant traduire leur langue et les images mentales qu'elle recevaient, Maria fit appel à un autre médium, Sigrun, qui lui aida à transcrire ses communications dans une ancienne langue sumérienne.

Les images mentales représentaient une étrange machine circulaire volante (l'élément central était semblait-il une centrale électrique), qui fut appelé secrètement la Jenseitsflugmaschine, ou "la machine volante de l'autre monde".


Le premier vaisseau en forme de soucoupe fut construit l'été 1922, sa propulsion était basée sur la technique de l'implosion (l'utilisation du potentiel des mondes intérieurs dans le monde extérieur).
La doctrine de l'oscillation de Viktor Schauberger (le principe de la série des harmoniques = monocorde) part également du savoir sur l'implosion.
Au moyen des trajectoires de l'énergie du monocorde et de la technique de l'implosion, on pénètre dans le domaine de l'antimatière et on dissout, ainsi, la pesanteur.

L'engin de 1922 comprenait un disque de 8m de diamètre, surhaussé d'un disque parallèle de 6,5m de diamètre et flanqué en dessous d'un autre disque de 6m de diamètre. Ces trois disques avaient dans leur centre un orifice de 1,80m de diamètre où l'on monta le propulseur de 2,40m de haut. En bas, le corps central se terminait en forme de cône. Dans ce cône se trouvait une sorte de pendule qui avait pour effet de stabiliser l'appareil. Les disques inférieurs et supérieur tournaient en sens inverse pour créer un champ de rotation électromagnétique.

On ne connaît par les performances de ce premier disque volant. Il fut expérimenté pendant deux ans avant d'être démonté et entreposé dans les ateliers de Messerschmidt à Augsbourg. On trouve des aides de financements pour ce projet dans les comptabilités de plusieurs entreprises industrielles, mentionnées sous le code "JFM". Il est certain que le mécanisme Vril est issu de la "machine vers l'au-delà" mais il a été répertorié comme le "lévitateur Schuman SM".

Les modèles RFZ Up Page
RFZ (RundFlugZeug)
Les programmes de développement commencèrent par le RFZ (RundFlugZeug), ou série "d'avion rond" qui ont utilisé des lévitators réalisés par W. O. Schumann de l'université de Munich.

Résonance Schumann
Notre planète se comporte comme un immense circuit électrique. Il existe une sorte de cavité électromagnétique située entre la Terre et la dernière couche de l'ionosphère, à environ 55 kilomètres de distance de sa surface. Les propriétés résonantes de cette cavité magnétique terrestre furent découvertes par le physicien allemand W.O. Schumann entre 1952 et 1957, et ce sont elles qui permettent de mesurer la fréquence ou taux vibratoire moyen de notre planète.

La Résonance Schumann est présentée par les géophysiciens actuels comme le battement de cœur de la Terre. Elle était de 7,8 Hz depuis des milliers d'années. Mais à partir de 1980, cette fréquence s'est accélérée, d'abord lentement, puis de plus en plus vite à partir de 1997, au point d'atteindre aujourd'hui le niveau de 12 Hz.

RFZ-1 (1923)

A son vol d'essai sur la piste d'Arado à Brandebourg, le RFZ 1 effectua sa première ascension verticale, à une hauteur de 60m. Toutefois le pilote Lothar Waiz eut des difficultés à prendre les commandes du RFZ 1 après quelques minutes, celui-ci telle une toupie chancelait dans tout les sens, contraignant le pilote à sauter de l'engin. Ce fut alors le début des appareils volants Vril.

RFZ-2 (1943)

Fin 1934, le RFZ 2 mettait en application la stimulation de Vril, "l'orientation d'impulsion d'aimant" ou "pilotage à impulsion magnétique". Cela correspondait à 5 m dans le diamètre et avait les caractéristiques aériennes suivantes: les contours s'estompent au fur et à mesure que la vitesse augmente et cela pour des lumières d'UFOs typiques. Selon le degré de stimulation le rouge, l'orange, le jaune, vert, blanc, bleu ou violet.
1934 le groupe E-IV (Entwicklungsstelle 4) crée en 5 ans deux énormes avions, série RFZ, équipés de la technologie électromagnétique gravitationnelle. Hans Coler dote les commandes de navigation d'un convertiseur d'énegie libre, couplées à un générateur de van de Graaf et d'un vortex de Marconi (réservoir à mercure), capable de créer de gigantesques champs électromagnétiques affectant ainsi l'effet de la pesanteur.

En 1939 la technologie de l'aviation allemande était supérieure à celle de ses Alliés, équipés eux de moteurs à piston ou à réaction. Toutefois, les avions de chasse des Alliés (Me BF 109 ou le Fw 190) étaient plus maniables. De plus l'armement (canons à faisceaux lumineux MG et MK) déstabilisait les disques volants allemands et n'avait pas prouvé leur efficacité. Excepté sur le grand Donar, équipé d'un canon à forte réaction.

L'Allemagne contraint des chercheurs à travailler pour eux: Viktor Schauberger d'Autriche et Henri Coanda de Roumanie. Albert Speer, bien que ministre de l'armement allemande, n'avait pas connaissance des programmes de développement des disques SS, cet état dans un état.

A la fin de 1941, il fut photographié sur l'Atlantique de sud, par le croiseur Atlantis La raison pour laquelle il ne pouvait pas être employé comme avion de chasse (deux pilotes par avion), tient au fait que le RFZ 2 (monoplace au départ) ne pouvait accomplir que des changements de direction de 90 degrés, 45 degrés et 22,5 degrés à cause de sa conduite d'impulsion.
En 1941 , il devait être employé pendant la "bataille aérienne autour de l'Angleterre". Les chasseurs allemands ME 109 se révélaient inaptes pour les vols de reconnaissance transatlantiques à courte portée.

RFZ-3 (1943)


RFZ-4 (1935)



RFZ-5 (1939)
En août 1939 décolla le premier RFZ 5. C'était une toupie volante équipée d'armes moyennement lourdes du nom de "Haunebu I".
Elle avait un équipage composé de huit hommes, avait 25m de diamètre, sa vitesse au départ était de 4 800km/h pour atteindre, plus tard, jusqu'à 17 000km/h.
Elle était équipée de deux "canons à rayons électriques" ou "canons à rayons forts" (KSK) de 60mm, montés sur les tourelles rotatives, et quatre MK 106 et avait une aptitude moyenne à voler dans l'espace (capacité espace cosmique de 60%). Seulement deux exemplaires du Haunebu 1 virent le jour, effectuant en tout et pour tout 52 vols d'essai.

RFZ 6 (1943)


RFZ 7 (1943)
C'est grâce à Andreas Epp que le RFZ 7 fut créé, il combinait un disque volant à lévitation avec cune propulsion par réacteurs conventionnels. L'équipe de Schriever-Habermohl, et celle de Miethe-Belluzo participèrent à son élaboration. Il avait 42m de diamètre mais se fracassa lors d'un atterrissage à Spitzbergen. Aux alentours de Prague, on prit cependant, plus tard, une photo d'un RFZ 7 construit de la même façon. D'après Andreas Epp, il devait être équipé d'ogives nucléaires et il devait bombarder New York.
Il fut remplacé par le Vril 1 Jager (1941).


En juillet 1941, Schriever et Habermohl construisirent un avion circulaire qui décollait à la verticale, mû par une propulsion à réaction mais qui avait, cependant, de graves défaillances. On développa pourtant une autre "toupie volante à électro-gravitation" avec une propulsion à tachyons qui eut plus de réussite.
Puis ce fut au tour du RFZ 7T, construit par Schriever, Habermohl et Belluzo, qui fonctionna à merveille lui aussi. Mais comparés aux disques Vril et Haubenu, les disques volants V-7 étaient plutôt des jouets d'enfants.

RFZ 8


Modèles Haunebu Up Page
Haunebu
Haunebu I (1939)
[Source Jan van Helsing] En août 1939 décolla le premier RFZ 5. C'était une toupie volante équipée d'armes moyennement lourdes du nom de "Haunebu I".
Elle avait un équipage composé de huit hommes, avait 25m de diamètre, sa vitesse au départ était de 4 800km/h pour atteindre, plus tard, jusqu'à 17 000km/h.
Elle était équipée de deux "canons à rayons électriques" ou "canons à rayons forts" (KSK) de 60mm, montés sur les tourelles rotatives, et quatre MK 106 et avait une aptitude moyenne à voler dans l'espace (capacité espace cosmique de 60%). Seulement deux exemplaires du Haunebu 1 virent le jour, effectuant en tout et pour tout 52 vols d'essai.


Haunebu II (1942)
[Source Web]
A la fin de 1942, le Haunebu 2 avait maintenant 26 à 32m de diamètre, 9 à 11m de haut, une capacité de 9 à 20 personnes, et pourvu d'un moteur Thule-Tachyonator pouvant lui permettre d'atteindre les 6 000km/h, pour une autonomie de vol de 55h. Il y eut sept exemplaires au total, couvrant ainsi ces 106 vols d'essai. La société d'aviation Dornier avait comme projet de construire le Haunebu en série, son l'appellation DO-STRA (avion de STRAtosphère DOrnier).

[Source Jan van Helsing]
Dès la fin de l'année 1942, on avait fabriqué plusieurs exemplaires de l'avion circulaire RFZ 6, nommé "Haunebau II". Son diamètre variait de 26m à 32 mètres, sa hauteur était de 9m jusqu'à 11 mètres en son centre. Il pouvait transportait un équipage de 9 à 20 personnes.

Propulsé par un tachyonateur Thulé (aou mécanisme Tumé, construit à partir du mécanisme Vril et du convertisseur de tachyons du commandant Hans Coler), il atteignait la vitesse de 6 000 km/h dans la périphérie de la Terre. Il avait une autonomie en vol de 55 heures, et était apte à se déplacer dans l'espace.

Il décollait à la verticale, il pouvait voler aussi bien à l'horizontale qu'à la verticale et surtout en angle droit (ce qui caractérise la façon de voler des OVNIs aperçus partout dans le monde).




Haunebu II-DoStra Do-Stra = DOrnier-STRAtosphärenflugzeug (1943)
[Source Web] Le Haunebu 3, d'une diamètre de 71m fut filmé, d'une capacité de 32 personnes, autonomie de vol de huit semaines pour une vitesse de 7 000km/h (40 000km/h d'après les archives secrètes SS). Il effectua 19 vols d'essai, dont le dernier eu lieu le 20 avril 1945.


[Source Jan van Helsing] Plus tard, les Vril furent encore plus performants puisqu'ils permirent, début 1945, de faire le tour de la Terre en quelques heures. Un Haunebau II construit, plus tard, en version grand modèle, avait un diamètre de 120 mètres, dortoirs intégrés ...







Haunebu III (1943)
[Source Jan van Helsing] On construisit le Haunebu III, exemplaire absolument prestigieux entre tous avec ses 71m de diamètre. Il vola et fut même filmé! Il pouvait transportait 32 personnes, son autonomie en volétait de plus de huit semaines et il atteignait une vitesse d'au moins 7 000 km/h (et d'après des documents d'archives secrètes des SS, il pouvait atteindre 40 000 km/h.


Haunebu IV ()



Modèles Vril Up Page
Vril 1 Jager (1934 ou 1941)

Après le succès du petit RFZ 2 comme éclaireur lointain, la société de Vril recevait son terrain expérimental à Brandebourg. A la fin de 1942 volait le disque de vol facilement armé "Vril 1 Jaeger".

Il faisait 11,50 m de diamètre, un monoplace, avait un "Schumann Levitator comme stimulateur de commande et une "conduite d'Impulsor de champ magnétique".

Il atteignait des vitesses de 2,900 jusqu'à 12,000 km\h, pouvait exécuter des changements de vol à angle droit à une pleine vitesse sans que les pilotes soient perturbés, était indépendant de temps et avait une capacité d'univers de 100%.

17 pièces étaient construites par Vril 1 et il y avait aussi plusieurs à 2 places, avec une coupole de verre les variantes équipées.

Vril 5 (1934)


Vril 7 "Geist", fantôme (14 février 1944)
[Source Jan van Helsing]
Le 14 février 1944 le pilote d'essai Joachim Roehlike testa à Peenemünde l'hélicoptère supersonique (construit par Schriever, Habermohl et Richard Miethe) connu sous le nom du projet V-7, équipé de douze turbopropulseurs BMW 028. Sa montée à la verticale était de 800m à la minute, atteignait une hauteur de 24 200 mètres et sa vitesse en vol horizontal était de 2 200 km/h. Il pouvait être propulsé par une énergie non conventionnelle.





Vril Odin (1945)
[Source Jan van Helsing]
Au début de l'année 1943, le projet d'un astronef en forme de cigare qui devait être construit dans les chantiers de Zeppelin, concernait l'appareil Andromeda, long de 139m de long. Il devait transportait plusieurs vaisseaux spatiaux en forme de soucoupes volantes pour des vols (interstellaires) de longue durée.
Finalement le projet de cet aéronef de 139m de long, l'appareil Andromeda qui pouvair recevoir un Haunebu II, deux Vril I et deux Vril II, resta à l'état de projet.


Un Vril-7 et un Vril-7 grand modèle du nom de Odin auraient, pour le moins, décollé de Brandebourg vers Aldébaran (système solaire voisin), en avril 1945, après avoir fait sauter tout le terrain d'essais et en emmenant une partie des scientifiques de Vril et des membres de la loge Vril.

D'après Ratthofer, le premier essai de vol dans un canal dimensionnel aurait eu lieu l'hiver 1944. L'appareil aurait évité de justesse un désastre: d'après les photos du Vril 7 prises après son retour, on aurait dit qu'il avait "voyagé pendant un siècle". Le revêtement extérieur des cabines paraissait très usagé et il était abîmé en maints endroits.

Il est plus que vraisemblable que cette technologie fut utilisée en 1983 dans le cadre de l'expérience de Phoenix, projet prvcédé par l'expérience Philadelphia de 1943.
(Il s'agit d'expériences de téléportation, de matérialisation et de voyage dans le temps de la US Navy qui furent plus couronnés de succès qu'on ne l'aurait imaginé dans les rêves les plus téméaires).




Vril 9 "Abjager" ()




Vril SS ()




Flügelrad (1945)


Ces documents top secrets Up Page
Archives SS
[Source Jan van Helsing] Virgil Armstrong, ex-membre de la CIA et retraité de Green Beret, déclare que les engins volants allemands pendant la Seconde Guerre mondiale pouvaient atterrir à la verticale et voler en angle droit. Ils atteignaient 3 000 km/h et étaient armés de canons laser (probablement le KSK ou "canons à rayons forts") qui pouvait traverser une épaisseur de 10cm de blindage.

Le professeur J. J. Hurtak, ufologue et auteur de "Die Schüssel des Enoch" ("Les clefs d'Enoch"), dit que les Allemands étaient en train de construire ce que les Alliés désignaient de "système d'armes miracles". Hurtak eut entre ses mains des documents mentionnant:
_ la construction de Peenemünde, ville expérimentale d'engins téléguidés vers l'espace
_ la venue des meilleurs techniciens et scientifiques d'Allemagne.

On raconte qu'il existe des photos en couleur d'un disque volant qui a atterri avec des hommes pour repartir aussitôt et sur lequel étaient dessinées deux croix, une "Balkenkreuz" et une croix gammée. Ces photos furent prises dans les années soixante-dix par un veilleur de nuit en RDA (Allemagne de l'Est).
Il existe à propos des engins volants mentionnés ci-dessus un très bon dossier de photos et de films, comme, par exemple la documentation en 60mm "Ufo-Geheimnisse des 3. Reiches" (Les secrets des OVNIs du 3ème Reich) (MGA Austria / Royal Atlantis-Film GmbH).

Citons aussi le dossier de l'Américain Vladimir Terziski qui, lors de la conférence sur les OVNIs en septembre 1991 à Phoenix, en Arizona, a projeté des diapositives pendant trois heures et montré des photos de soucoupes allemandes, de plans de construction et de bases souterraines allemandes.
Le livre du commandant de l'armée de l'air italienne Renato Vesco est aussi très intéressant ainsi que celui de Rudolf Lusar: "Die Deutschen Waffen und Geheimwaffen des Zweiten Weltkrieges und ihre Weiterentwicklung" (Les armes allemandes et les armes secrètes allemandes de la Deuxième Guerre mondiale et leur mise au point ultérieure). J. F. Lehmanns Verlag, München, 1971.

Ces secrets trop secrets Up Page
Foo-Fighters
[Source Jan van Helsing]
Ces documents mentionnait aussi l'existence de ce qu'on appelait les "Foo-Fighters" (les boules de feu). La CIA et les services secrets britanniques étaient déjà au courant, en 1942, de la construction et de l'emploi de tels objets volants mais ils ne les apprécièrent pas à leur juste valeur.
Les Alliés désignaient, en fait, sous le nom de "Foo-Fighters" toutes les sortes d'appareils volants lumineux allemands. Deux inventions correspondaient particulièrement à ce qu'on appelait les "foo-fighters": les "tortues volantes" et les "bulles de savon".

Les deux n'avaient rien à voir entre elles mais les Alliés les associaient à tort.

La "Tortue volante" fut conçue par le bureau d'études SS-E-IV à Wiener Neustadt. Sa forme rappelait celle d'une carapace de tortue. C'était une sonde volante sans équipage qui devait perturber le système d'allumage électrique du matériel militaire ennemi.
Cette sonde était aussi équipée d'armes sophistiquées, de tubes à Klystron appelés "rayons de la mort" par les SS. Mais le sabotage par "coupure de contact" ne fonctionna pas parfaitement au début.

Quiconque a déjà vu des OVNIs pourra confirmer que cette "coupure de contact", c'est-à-dire l'arrêt des installations électriques, est une des caractéristiques typiques des OVNIs quand ils apparaissaient.

Wendell C. Stevens, pilote de l'US Air Force pendant la Seconde Guerre mondiale, dit que les "foo-fighters" étaient parfois gris vert ou rouge orange, qu'ils s'approchaient jusqu'à 5m des avions et qu'ils restaient dans cette position. Il n'était pas possible de se débarrasser d'eux, même lorsqu'on leur tirait dessus, et ils obligeaient parfois les escadrilles à faire demi-tour ou à atterrir.
Quant aux "bulles de savon", désignées souvent comme "foo-fighters", c'étaient en fait, de simples ballons à l'intérieur desquels se trouvaient de fines spirales en métal pour brouiller les radars des avions ennemis. Leur efficacité fut probablement minime, mis à part l'effet d'intimidation psychologique.

Les secrets d'Adolf Hitler Up Page
Projet Hitler
[Source Jan van Helsing]
Avant la venue d'Adolf Hitler dans le groupe de Thulé, leurs adeptes pratiquaient le tantrisme, le yoga et les méditations orientales. En octobre 1918, le jeune Adolf (sous l'influence de Karl Haushofer et de Rudolf Hess), s'adonne à la magie, à l'astrologie, l'ésotérisme et à l'occultisme. Son ambition était d'établir un lien entre ces domaines et la politique. Son véritable nom était Adolf Schicklgruber. Hitler était le nom de jeune fille de sa mère. La revue de la Société Thulé était le "Völkischer Beobachter" ("l'Observateur du peuple").

Trevor Ravenscroft décrit dans "Der Speer des Schicksals" (l'"épée du destin") ce qu'a aussi rapporté un ami de jeunesse d'Hitler, Walter Johannes Stein qui devint, plus tard, le conseiller du franc-maçon Winston Churchill: "Hitler, déjà grand adepte du mysticisme à l'âge de 20 ans, essaya d'atteindre des niveaux de conscience élevés à l'aide de drogues. Par l'intermédiaire du libraire Pretzsche à Vienne, adepte du mysticisme germanique et de la doctrine de la race des maîtres aryens qui en découlait, Hitler se forgea les bases de sa vision future du monde et avec son aide, il fit usage du Peyotl, drogue halucinogène pour accéder à l'illumination mystique."
A cette époque-là, Hitler eut aussi connaissance des "Protocoles de Sion" (projet secret des Sages de Sion).

Le Dr Kark Haushofer (général de brigade) et Rudolf Hess (adjoint du Fürer) prirent en charge l'instruction politique d'Hitler. A Landsberg, Hitler écrivit "Mein Kampf" en faisant un amalgame (un mélange) des théories de Haushofer, des pensées d'Albert Rosenberg (ministre du Reich) et de la propagande politique.
Le signe distinctif de Thulé aurait été la svastika aux branches tournées vers la gauche. Il s'agit d'un signe d'origine tibétaine dont Adolf Hitler adoptera plus tard sous le nom de croix gammée.
Le salut de Thulé "Heil und Sieg" ("Salut et victoire") fut repris par Hitler qui le transforma en "Sieg Heil". Ce salut, en liaison avec le bras levé, est un rituel magique utilisé pour la formation de voltes; Franz Bardon, appelé aussi Frabato, a décrit en détail les voltes magiques et leurs utilisations ("Dieter Rügeberg: Geheimpolitik, der Fahrplan zur Weltherrschaft", page 65).
Voyant le succès du salut hitlérien, Aleister Crowley conseille Winston Churchill durant les années 1940 d'adopter le "salut de la victoire" des Anglais, le salut du bras levé avec les doigts écartés.

Ce qu'est devenu Hitler a suscité beaucoup de mythes. D'après les dires de Franz Bardon et Miquel (ou Miguel ?) Serranos (ex-ambassadeur chilien en Autriche), Adolf Hitler s'est enfui en Amérique du Sud avec l'aide de la 99ème loge. On dit même que le cadavre que l'on trouva et dont la denture a été identifiée comme étant fausse par le dentiste d'Hitler aurait été placé là par la 99ième loge. Un journal allemand à grand tirage publia le 05 mars 1979 que l'on avait trouvé l'avion privé d'Hitler dans la jungle en Amérique du Sud. Joseph Greiner (auteur de "Das Ende des Hitler-Mythos", "La fin du mythe Hitler") affirme qu'Adolf Hitler a décollé avec son avion le 30 avril 1945 de l'aéroport de Tempelhof à Berlin.
"Qu'Hitler soit mort ou non à cette époque-là, depuis lors, c'est certain !", affirme Jan van Helsing.
Karl Haushofer, après avoir échoué dans sa "mission", a, d'abord, assassiné sa femme le 14 mars 1946 avant de se faire "Hara Kiri" ainsi qu'il l'avait juré aux "bonnets jaunes" (une des plus influentes sociétés secrètes de l'Asie, fondée en 1409 par le réformateur bouddhiste Tsongkhapa).

Son interprétation dans l'avenir Up Page
Expédition Amiral Byrd
En 1938 eut lieu une "expédition" allemande en Antarctique menée par le porte-avions "Schwabenland". Les Allemands s'attribuèrent 600 000 km² de terrain qu'ils baptisèrent "Neuschwabenland" (Nouvelle Souabe). C'était une région sans glace avec des montagnes et des lacs. Des flottes entières de sous-marin du type 21 et 23 prirent, plus tard, la route vers le "Neuschwabenland". Jusqu'à ce jour, plus de cent sous-marins allemands y disparurent. Ils étaient équipés, entre autres, du "tuba Walter" qui leur permettait de rester plusieurs semaines sous l'eau.

Sous les ordres de l'amiral Byrd, les Alliés lançèrent une expédition en 1947 constituée de 4 000 soldats, d'un bateau de guerre, d'un porte-avions tout équipé et tout un système complet de ravitaillement. Il disposait de huit mois et il fut, cependant, obligé déjà au bout de huit semaines de tout interrompre après avoir subi d'énormes pertes d'avions. Le nombre exact ne fut jamais communiqué publiquement.

Son interprétation dans l'avenir Up Page
Opération Highjump (1946: 1500 morts)
Aux USA il sera difficile de justifier à l'opinion publique et au congrès la mort de millier d'hommes en antartique avec de nouvelles opérations. Aussi le sujet sera clos.

Cette opération est pourtant bien connue sous le nom de GUERRE DES PINGUINS, une fois que le gouvernement fédéral indiqua que dans ce territoire il n'y avait uniquement que des pingouins et qu'ils n'y avait aucun nazis.

Les références Up Page
Réseau Pepe
Dark Roasted Blend
Identified Flying Objects
Secrete base
Sociétés Secrètes et leur pouvoir au XXème siècle Jan van Helsing Editions Ewertverlag 1995

Pourquoi ce site
Je crois que, si les êtres humains que nous sommes ne parviennent pas toujours à évoluer comme ils le souhaiteraient _à s'épanouir professionnellement, sentimentalement et sexuellement (ce que j'appelle les trois pôles d'intérêts) c'est parce qu'il y a des barrages qui entravent leur désir d'accéder à un rêve inachevé. Je pars du principe que tout est possible, à condition de s'entourer de gens qui nous poussent à croire en nous.

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Mais encore … Up Page
Opération Deepfreeze (1956)
Mais le 8 janvier 1956, plusieurs scientifiques chiliens revenant d'une expédition sur le continent observèrent pendant plusieurs heures des objets volants en forme de cigare et de disque dans le ciel de la zone de la mer de Weeddell. La même année 1956, une nouvelle opération militaire sera essayée par les américains : l'Operation Deepfreeze. Le résultat sera encore plus dévastateur pour l'armée US quittera se contentera de missions géographiques et de reconnaissances simples au pôle sud.

Au début de l'année 1946, la situation mondiale semblait stabilisée après les horreurs et les morts de la seconde guerre mondiale. Cependant, il restait encore des Nazis en fuite de part le monde, mais aussi des bases secrètes du III Reich. La base de Neu-Schbenland, sur le territoire allemand du même nom, en antartique existait toujours et des Nazis l'occupait toujours après l'armistice.
Plus tard, l'Afrique du Sud détectera deux explosions nucléaires dans la zone de Neu-Schbenland, une explosion en surface et une autre sousterraine. Les USA ont-ils utilisé la bombe sur Neu-Schbenland ?

Point 103
Ce dernier carré de guerriers soutenus par des admirateurs canadiens et américains possèdent une base souterraine sophistiquée et très étendue aux frontières du cercle polaire Arctique, le "Point 103" ainsi qu'une technologie de loin supérieure à la technologie humaine.

Pour preuve, l'appareil qui permet de ravitailler la base 103 est un V7, un appareil à décollage vertical issu des Black Project de la SS, sorte de disque volant qui est constitué par une sphère entourée de lames rotatives et décorée, non des emblèmes habituels de la Luftwaffe mais de l'insigne du Soleil Noir (ce V7 aurait existé au moins dans les cartons à projets des SS en Tchécoslovaquie).

Tel est l'œuvre de Wilhelm Landig, "Götzen Gegen Thule" publiée en 1971 à Hanovre par Hans Pfeifer Verlag, un livre ouvertement révisionniste qui nie l'existence des atrocités des camps (ex: les cadavres trouvés dans les camps seraient des corps de civils allemands tués dans des bombardements américains et placés là pour la propagande).

Selon Jocelyn Godwyn, dans son livre peu connu, confidentiel et polémique "Arktos", la base point 103 se trouverait aux limites du Cercle Polaire Arctique, dans le territoire canadien et non en Antarctique. ""