Médecine préventive & curative
Antoine BéchampMirko Beljanski
Jacques Benveniste
Hulda Clark
Pierre Delbet
Norbert Duffaut
Jean Elmiger
Raoult Estripeaut
Marcel Ferru
André Gernez
Ryke Geerd Hamer
Félix d'Hérelle
René Jacquier
Paul Kammerer
Louis Kervran
Philippe Lagarde
Jean Laigret
Georges Lakhovsky
Loïc Le Ribaut
Auguste Lumière
Jean-Pierre Maschi
Michel Moirot
Gaston Naessens
Hans Nieper
Yvette Parès
Linus Pauling
Antoine Prioré
René Quinton
Matthias Rath
David Rees-Evans
Royal Raymond Rife
Alexandre Salmanoff
Jean Solomidès
Joël Sternheimer
Paul Thépenier
Jean Tissot
Arthur Vernes
Ernest Villequez
Marcel Violet
Antoine Béchamp 
Professeur de toxicologie et de chimie médicale
(1816-1908) à la Faculté de Montpellier 

Mirko Beljanski 
Docteur ès-sciences (1923-1998), chercheur en biologie moléculaire à
l'Institut Pasteur pendant trente ans, puis en Faculté de pharmacie dix ans, qui
inventa des produits efficaces contre le cancer
(utilisés avec profit par François Mitterrand) ainsi que contre le sida.
Il créa son propre laboratoire et put guérir de nombreux malades
(maladie). Sur plainte de l'Ordre des pharmaciens, il fut
arrêté, menottes aux mains, à l'âge de 73 ans, puis
persécuté judiciairement jusqu'à ce que mort s'ensuive.

Jacques Benveniste 
Interne des hôpitaux (1935-2004), directeur de recherche à l'Inserm,
qui découvrit en 1984 le phénomène dit “de la
mémoire de l'eau”, lequel explique l'efficacité des hautes
dilutions homéopathiques (volumes aquatiques
dans lesquels toute trace de la molécule initialement diffusée a
disparu). Il expliqua leur effet par la transmission d'informations
(Information versus greffon)
imprégnées, de surcroît enregistrables et transmissibles
par Internet. Il subira toujours l'ostracisme des cénacles officiels
jusqu'à son décès en 2004.

Hulda Clark 
Doctoresse canadienne 


Pierre Delbet 
Grand patron chirurgien (1861-1957), membre des Académies de médecine et de chirurgie,
qui découvrit durant la guerre de 14-18 l'effet régénérateur et
anticancéreux du chlorure de magnésium. Il
prouva la validité de cette thérapie par de nombreuses expériences ainsi
que par des cartes géographiques faisant apparaître la bien moindre fréquence
du cancer dans les régions riches en magnésium,
mais il ne parvint jamais à persuader ses confrères de proposer une politique
préventive du cancer.

Norbert Duffaut 
Chimiste (1923-1993) qui découvrit en 1957 le silicium organique et ses vertus thérapeutiques
et régénératrices. Il put apporter, au cours d'essais hospitaliers, la
preuve de son efficacité contre le cancer et les maladies cardio-vasculaires. Malgré
des succès spectaculaires et des demandes réitérées, il ne réussit
jamais à obtenir l'autorisation de mise sur le marché de son DNR comme médicament.

Jean Elmiger 
Médecin homéopathe suisse qui mit au point la méthode “homéopathie
séquentielle”. Malgré l'accumulation des preuves de validité, il se heurte
à l'hostilité du corps médical.

Raoult Estripeaut 
Professeur français d'anthropologie pathologique qui inventa un remède
anti-cancéreux très efficace à base d'enzymes pancréatiques,
méprisé par les cancérologues.

Marcel Ferru 
Professeur de sciences fondamentales, titulaire de la chaire de clinique médicale
infantile à l'Ecole de Médecine de Poitiers, qui démontra
l'inefficacité et la nocivité du vaccin antituberculeux BCG. Il lutta
énergiquement mais sans succès contre son obligation légale adoptée
en 1958. (La France est le seul pays d'Europe où ce vaccin nocif est encore obligatoire.)

André Gernez 
Ancien médecin-chef (1923-) à l'hôpital de Roubaix, qui découvrit
dans les années soixante le moyen de stopper toute apparition du cancer par
la prise périodique d'un sédatif léger couramment utilisé
pour les nourrissons et ne présentant aucun effet secondaire. Bien qu'ayant
retenu un moment l'attention du gouvernement américain du Président Nixon,
cette découverte fut finalement étouffée en France comme aux Etats-Unis.

Ryke Geerd Hamer 
Médecin allemand (1935-) qui fit la même découverte que Moirot, à
la suite d'un drame familial (le meurtre de son fils) qui déclencha un cancer
chez lui et chez son épouse. Il mit au point un traitement original appelé
“médecine nouvelle” grâce auquel il put guérir
de nombreux malades. Mais il fut radié du corps médical en Allemagne et en
Autriche, puis poursuivi et condamné en France, oû il est actuellement en prison.

Félix d'Hérelle 
Médecin québécois qui fit carrière en France et inventa un excellent
traitement des maladies infectieuses par des virus bactériophages. Mondialement connu puis
oublié.

René Jacquier 
Ingénieur chimiste (1911-), qui élucida, en 1947, le processus thérapeutique du
“voyage en avion” contre la coqueluche, ce qui lui permit d'inventer un
procédé catalytique d'oxygénothérapie efficace contre de nombreuses
maladies, notamment cardio-vasculaires. Il établit également l'efficacité
de l'oxygénation en traitement anti-cancéreux tant préventif que curatif.
Sa thèse ne fut jamais reconnue, ni même examinée, par les Académies
des sciences et de médecine.

Paul Kammerer 
Biologiste autrichien (1880-1926), qui, en 1924, prouva par des expériences sur les salamandres
l'hérédité des caractères acquis. Accusé à tort
par des savants américains d'avoir falsifié le résultat de ses
expériences, il fut “suicidé” par les nazis, car sa
découverte ruinait le dogme de l'immuabilité génétique. Les
savants occidentaux maintinrent le dogme, refusant de réhabiliter Kammerer.

Louis Kervran 
Biologiste français (1901-1983) qui découvrit dans les années 1960 la réalité des
transmutations biologiques, c'est-à-dire la transformation des atomes à
l'intérieur des organismes vivants, analogue aux transmutations revendiquées
par les alchimistes médiévaux. (C'est ainsi que les poules qui ne trouvent
pas de calcaire dans leur environnement picorent les parcelles de mica que leur corps
transforme en calcaire pour édifier les coquilles d'œufs). Malgré les
nombreuses preuves qu'il apporta de ce que l'on appela après lui la &“fusion
froide”, le monde scientifique refuse encore de croire à cette
possibilité qui ouvrirait à la science de larges horizons énergétiques
et biologiques.

Philippe Lagarde 
Médecin français (1941-) qui perfectionna une technique de dépistage du cancer
élaborée par le chercheur allemand Henri Heitan. Il mit au point un traitement
anticancéreux efficace à base de produits autorisés en Suisse. Poursuivi
sur plainte de l'Ordre des médecins, il fut emprisonné à Nice. à
sa sortie de prison, il s'exila vers l'Italie et il créa en République de San
Marino le Centre Health Service, où il dirige une équipe médicale
performante pratiquant toutes les thérapies efficaces.

Jean Laigret 
Médecin et bactériologiste français qui parvint à fabriquer
du pétrole à partir de cultures bactériennes. Son invention est
demeurée inexploitée à ce jour.

Georges Lakhovsky 
Ingénieur russe émigré en France, inventeur d'un tire-fond
révolutionnaire (vis qui fixe les rails de chemin de fer) ayant amélioré
la sécurité des trains. Il créa en 1923 son premier appareil
émetteur à usage thérapeutique, l'oscillateur à ondes multiples,
qui put guérir de nombreux cancéreux. La médecine officielle refusa de
reconnaître la valeur de l'appareil, malgré les multiples témoignages de
praticiens de tous pays qui l'utilisèrent avec succès.

Loïc Le Ribaut 
Docteur ès-sciences (1947-), inventeur de l'exoscopie (technique d'analyse au microscope
électronique à balayage), ancien expert en microanalyse près la
Cour d'Appel de Bordeaux, rénovateur de la police scientifique française et
créateur du G5, efficace en thérapie contre de nombreuses maladies, qu'il
ne put jamais faire agréer en France (mais qui l'est dans le Commonwealth). Poursuivi
par l'Ordre des médecins, il fut emprisonné durant deux mois et demi. Aujourd'hui
en exil.

Auguste Lumière 
Co-inventeur du cinéma (1862-1954), qui consacra la seconde partie de sa vie à
des recherches médicales très poussées et couronnées
de succès, notamment contre la tuberculose. Auteur de plus de 20 ouvrages
médicaux, créateur de 150 spécialités pharmaceutiques
et d'une clinique lyonnaise réputée employant 15 médecins et
30 collaborateurs, il ne put jamais faire reconnaître officiellement la valeur
de ses travaux et son œuvre tomba dans l'oubli.

Jean-Pierre Maschi 
Médecin généraliste niçois (1928-) qui découvrit dans les
années 60 que la &“pollution électrique” était
la cause principale de la sclérose en plaques. Il put mettre au point un traitement
efficace pour traiter celle-ci. Ses nombreux succès lui valurent les premières
pages de la presse et une accusation de publicité par l'Ordre des médecins,
qui le radia à vie. Sans se soucier de cette radiation, il continua de soigner de
nombreux patients.

Michel Moirot 
Médecin français (1912-1997) qui découvrit l'importance des traumatismes psychologiques
dans la genèse du cancer. Il se livra à de longues études sur des patients
en milieu protégé, en l'occurrence au sein des confréries religieuses.
Malgré une démonstration rigoureuse et des confirmations multiples, il ne put faire
admettre sa théorie par les mandarins, qui refusèrent d'abandonner à la
psychologie une partie de leur “domaine réservé”.

Gaston Naessens 
Inventeur (1921-) en 1945 d'un médicament anti-cancéreux très efficace,
grâce à un microscope révolutionnaire mis au point par lui-même.
Il fut poursuivi et condamné en France pour exercice illégal de la médecine
et il dut, en 1964, s'exiler au Québec, d'où il continue de diffuser son
produit vers 80 pays, malgré les ennuis que lui créent parfois les autorités
médicales canadiennes.

Hans Nieper 
Médecin allemand (1928-1998) réputé, il combattit toute sa vie le conformisme
médical et inventa des traitements originaux efficaces que le corps médical
continue d'ignorer. également physicien, il créa l'Association allemande
pour l'énergie du champ du vide, qui encouragea de nombreuses expériences dans
la recherche de nouvelles énergies, notamment sur “l'eau combustible”,
permettant de faire fonctionner un moteur “brûlant” 90 % d'eau.

Yvette Parès 
Docteur en sciences et en médecine qui devint praticienne des thérapies
traditionnelles africaines et prouva leur efficacité contre la lèpre, le
paludisme et le sida. En vain.

Linus Pauling 
Biochimiste américain (1901-1994) mondialement connu, Prix Nobel de chimie 1954 et Prix Nobel
de la Paix 1963. Bien qu'unanimement célébré, il fut soudain violemment
critiqué et mis à l'index lorsqu'il développa sa théorie selon
laquelle le cancer peut être mis en échec par la simple prise de Vitamine C
à hautes doses. Le corps médical fut contraint d'admettre la valeur de cette
vitamine, mais déconseilla les fortes doses et n'admit que les doses minimes sans
véritable effet thérapeutique.

Antoine Priore 
Ingénieur électronicien (1912-1983), qui construisit en 1950 une machine rayonnant
des champs électriques et électromagnétiques détruisant
les tumeurs et les cellules cancéreuses. Malgré les preuves incontestables
de son efficacité et le soutien de professeurs d'université bordelais ainsi
que de Jacques Chaban-Delmas, son appareil, avec lequel il guérit clandestinement
de nombreux malades, ne fut jamais agréé par les cancérologues parisiens.

René Quinton 
Scientifique autodidacte (1867-1925), qui découvrit la similitude de notre milieu intérieur
et de l'eau de mer. Il acquit en 1906 une célébrité mondiale en sauvant,
par l'injection d'eau de mer isotonique, des milliers d'enfants atteints du choléra et
il démontra que la transfusion d'eau de mer pouvait remplacer la transfusion de sang.
Salué au début du XXe siècle par la presse américaine comme le
“Darwin Français”, il a été totalement effacé
de notre culture.

Matthias Rath 
Médecin allemand créateur du concept de médecine cellulaire
et spécialiste de la vitaminothérapie. Bête noire de la
&lquo;nomenklatura” médicale qu'il défie sur Internet.

David Rees-Evans 
Guérisseur gallois héritier d'une longue tradition familiale en
phytothérapie, qui parvenait à détruire les tumeurs
cancéreuses avec des cataplasmes de plantes. Malgré divers procès,
sa notoriété due à ses succès ne cessa de s'étendre
en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis. La pression de l'opinion publique obtint du
gouvernement britannique la nomination d'une Commission d'enquête officielle,
mais celle-ci contesta ses résultats et tenta de le discréditer.

Royal Raymond Rife 
Ingénieur américain (1888-1971), qui mènera aux USA des travaux analogues
à ceux de Lakhovsky et construira des appareils également efficaces.
Il fut le premier chercheur à identifier et photographier au microscope le
bacille de la tuberculose. Ayant refusé de se plier aux exigences du dirigeant
corrompu d'une grande association médicale, il sera traîné en justice et
complètement ruiné. Malgré une reconnaissance tardive, il terminera
sa vie dans une misère totale.

Alexandre Salmanoff 
Prestigieux docteur russe (1875-1964), diplômé des Facultés de Moscou, de Berlin
et de Pavie, qui fut chargé durant la révolution d'organiser la lutte contre
la tuberculose et de réorganiser les stations thermales sur l'ensemble du territoire
russe et devint le médecin particulier de Lénine. Non communiste, il émigra
en France en 1922, où il élabora une méthode complète de
médecine naturelle que le corps médical refusa d'examiner.

Jean Solomidès 
Docteur en médecine (1911-1979), licencié ès-sciences, diplômé
de bactériologie, chercheur à l'Institut Pasteur durant huit ans, qui
inventa les “physiatrons synthétiques” destructeurs des
cellules cancéreuses. Chassé de l'Institut, il ouvrit son propre
laboratoire et guérit de nombreux cancéreux. L'Ordre des médecins
le poursuivit pour “exercice illégal de la médecine”
car il était médecin de l'Université (non de la Faculté),
et ne pouvait donc être inscrit à l'Ordre pour exercer, bien qu'ayant toutes
les compétences requises.

Joël Sternheimer 
Physicien français (31 janvier 1943 - 31 décembre 2023) qui a inventé un
procédé de régulation de la synthèse protéique exploitant
l'influence de la musique sur les organismes vivants. Ses expériences ont démontré
que la mélodie spécifique d'une protéine, si elle est amplifiée et
diffusée à proximité immédiate d'un organisme, peut stimuler en lui la
synthèse de cette protéine. C'est ainsi que la production d'un plant de tomate a pu
être multipliée par vingt. Si cette technique était appliquée, le
problème de la faim dans le monde serait résolu.

Paul Thépenier 
Ingénieur des arts et métiers (1893-), spécialiste des exploitations
pétrolières, qui découvrit avant la guerre de 1940 le moyen de soigner
avec succès la tuberculose et le cancer grâce à des moisissures de
pétrole. Encouragé par un professeur de médecine, il put effectuer
en milieu hospitalier des essais réussis. Mais toutes ses communications à
l'Académie de médecine furent ignorées et sa découverte fut
négligée.
Jules Tissot 
Professeur de physiologie générale (17 février 1870 - 17 juin 1950)
au Muséum d'Histoire naturelle, qui confirma les thèses du précédent
et en apporta les preuves par des photographies de haute précision de cellules
végétales et animales. Il démontra que les organismes vivants, quand ils se
dérèglent, produisent eux-mêmes bactéries pathogènes et virus.
Il fut victime, comme Béchamp, de la conspiration du silence entretenue par les pasteuriens.
