Trois minutes pour comprendre / Three minutes of learning
philippelopes@free.fr
Une étude de 2012 qui a été soutenue par les National Institutes of Health (NIH), jette un nouvel éclairage sur le fait que l'efficacité de ces médicaments de lutte contre le cancer est, en fait, de courte durée et peut se transformer en un scénario effrayant ayant des conséquences éventuellement mortelles. La nouvelle recherche montre que le traitement agressifs (utilisé pour la réduction ou la disparition, même de relativement petites tumeurs, inoffensives à croissnce lente ou encapsulées) peut créer une situation où tout le corps est criblé de cancers très agressifs.
Le cancer est une des dernières tentativesde guérison de l'organisme qui tente de revenir à un état d'équilibre (l'homéostasie) et cette nouvelle recherche montre clairement que le cancer constitue l'un des mécanismes de protection les plus évolués et sophistiqués de l'organisme.
L'vtude a révélé que les thérapies _qui réduisent le cancer en coupant l'approvisionnement en sang des tumeurs_ peuvent, par inadvertance, fabriquer des tumeurs plus agressives et susceptibles de se propager. Dit autrement, pour aider à empêcher le cancer d'être hors de contrôle et d'envahir d'autres parties de l'organisme, le corps fabrique, avec ténacité etdélibérément, des vaisseaux sanguins supplémentaires.
L'approche médicale qui s'applique actuellement à détruire ces vaisseaux sanguins est donc contre-productive et doit être considérée comme dangereuse. Elle détruit le système que tout le corps met en place pour s'assurer qu'une tumeur cancéreuse particulière, reste un événement isolé et curable et ne dégénère pas en un processus de maladie qui se répand incontrôlable et auto-entretenu.
Le corps n'est pas une machine mais un être vivant et il répond avec émotion par des changements biochimiques à tout ce que vous pensez, ressentez et ce à quoi vous vous exposez.
Le corps utilise sa propre méthode de survie intégré et des programmes de guérison pour garder le cancer sous contrôle et le laisser (le cancer) faire son travail de ratissage des toxines et des déchets accumulés et pour éviter qu'il se propage ou s'installe dans d'autres parties du corps.
"Et si en tuant les cellules cancéreuses avec la chimiothérapie, nous favorisions par inadvertance des structures d'ADN qui font que les cellules cancéreuses survivantes soient plus invasive ? L'idée fait mal au ventre ...", a déclaré en 2012 Katri Selander, MD, Ph. D, professeur adjoint à la Division des UAB hématologie et d'oncologie
et chercheur
co-principal de la suvention, dans un communiqué
aux médias.
Doute en 2020
"Des études récentes ont fourni des preuves concrètes que le microbiote intestinal peut avoir un effet positif sur l'immunité antitumorale et améliorer l'efficacité de l'immunothérapie dans le traitement de certains cancers, mais la façon par laquelle il y parvient demeurait un mystère", explique Kathy McCoy en 2020 dans un communiqué publié par l'Ecole.
La chercheuse Kathy McCoy et ses collègues de l'Ecole de médecine Cumming (Université de Calgary, Canada
) ont
identifié dans le microbiome intestinal (colonie d'environ 100 000 milliards de bactéries)
des bactéries qui aident le système immunitaire à combattre les tumeurs cancéreuses.
"La maladie est une précieuse messagère, une amie qui vous veux du bien, parce qu'elle vous invite à goûter à la peur.
Non pas à la peur de mourir, mais à la peur de vivre ses propres émotions. Toute manifestation physique est le support d'une émotion qui n'a pas été accueillie.
Si le corps a le pouvoir de créer un symptôme, il peut également le faire disparaître.", nous conseille Nassrine Reza
intuitive
médicale, conférencière internationale & fondatrice
de la méthode de la Nutri-Emotion.
L'étonnant nettoyage du foie et de la vésicule biliaire Andreas Moritz Editions Nature & Partage - décembre 2017
Pouvoir de l'Accueil Nassrine Reza Editions Eyrolles - août 2022
Radio-Canada 17 août 2020