Chemin de Compostelle
Latitude 42° Nord
Selon la légende, le peuple Basque arriva par l'Océan Atlantique et débarqua sur la côté espagnole
vers l'actuel Saint-Jacques-de-Compostelle, puis remonta le pays espagnol en suivant le
“chemin des étoiles”, le champ de la Voie Lactée, où
se mélangent et meurent ces étoiles – le “Compost Stella” –,
entamant ce fameux pèlerinage de l'Atlantique à la Méditerranée
(d'ouest en est, à l'inverse de ce qui se pratique traditionnellement aujourd'hui)
sous le regard de la Galaxie du Chien de Chasse et toujours attentif à l'étoile
Sirius qui se trouve dans la Constellation du Grand Chien – faisant naître la légende
de Saint Jacques avec son chien en pèlerinage jusqu'à Compostelle, le lieu où
tout commença pour les Basques, alors que leur continent mythique
(Atlantide) était définitivement englouti dans cet
océan atlante …
C'est le long de ce 42e parallèle parcourant tout le globe (latitude 42° nord, qui passe par Saint-Jacques-de-Compostelle jusqu'à Perpignan) que des champs de stèles (mégalithes) ont été dressés attestant du passage des hommes en migration. Ces alignements mégalithiques (menhirs, dolmens, cromlechs – et peintures rupestres – dont certains furent remplacés plus tard par des temples ou des cathédrales et récupérés ensuite par les Romains-Catholiques fossoyeurs) se retrouvent également sur d'autres parallèles, passant par des baies atlantiques qui permettent de haler (remorquer) des navires à sec (comme à la côte nord de Cornouailles ou à la pointe du Finistère, la “fin de la terre”), tout en étant des abris très sûrs pour ceux qui arrivèrent possiblement de l'Atlantique.
Des Basques ou d'autres peuples ont donc pu venir depuis l'Atlantide en Grande-Bretagne
,
en Bretagne 
, au Portugal 
,
ou encore aux Îles Canaries et au Maroc
(devenant les tribus Kabyles
puis Berbères … ? ).
Sabéisme
Selon la tradition du chemin de Saint Jacques de Compostelle _où “Jakin” en basque signifie “savoir”, et “Jainko” désigne “Dieu, celui qui a le savoir, la science et la connaissance”_ les trois branches du coquillage de Compostelle représente une patte d'oie, puisque l'oie se dit ”auca“ en oc-citan qui parle la langue d'Oc, d'auca ou d'oca, la langue de l'Oie, cet oiseau de l'aqua (“eau”, en latin), analogue au cygne qu'on retrouve dans toutes ces légendes pour sa majestuosité et qui passait pour être doué d'un vol infatigable ! Ce compagnon des voyages d'Apollon : le dieu revenait du pays des hyperboréens dans un char traîné par des cygnes. (Un signe ?)Il est vraisemblable que l'un des plus anciens cultes que pratiquaient les Osques fut le sabéisme : l'adaptation des enseignements reçus depuis les Atlantes peaux-noires, qui les avaient eux-mêmes reçus des dieux – ou ayant été transmis directement des dieux au peuple Osque-Basque, telle que la légende du Basajaun (Pays-Basque)
le signifie – d'un univers astrologique et astronomique …
Sabéisme vient du mot “Zaab” désignant le ”Soleil“ dans la langue primitive de nombreux peuples africains. Il signifiait proprement le “Père vivant ou resplendissant”. De là, le mot hébreu (“זָ ָהב zahab”), l'or.
Foisonnement culturel
Les Tosques (ou Osques) occupaient les côtes de l'Europe
depuis le Tage (fleuve coupant l'Espagne
et le Portugal
en leur milieu, jusqu'à Lisbonne) jusqu'au Tanaïs (l'actuel fleuve
Don, en Russie 
) il y a 6 000 ans.
Lorsque les Phéniciens vinrent s'établir en Occitanie (sur les côtes méditerranéennes, de Perpignan jusqu'à Nice, peut-être vers 2 000 ans avant notre ère) cette contrée était habitée par des peuples qu'ils soumirent à leur joug.