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Peaux-Noires

Ancien continent Mu

Les premiers humains naquirent noirs, vers - 8500 ans av. J.-C. (à quelques siècles près) aux alentours de l'équateur, et les premiers humains blancs naquirent vers - 5500 ans av. J.-C. (et peut-être un peu avant), partout le long du 42e parallèle nord, sur la latitude du chemin de Compostelle, puis de plus en plus au Pôle Nord, au cours des siècles, jusqu'à ce qu'au quatrième millénaire avant l'an 0, toute la création humaine était en place sur Terre. L'histoire de l'humanité prit alors une dimension différente.

Vers 5500 ans av. J.-C., fut la première rencontre des peaux-noires, aînés des races humaines terriennes, avec les peaux-blanches, nouveaux-nés impressionnés et en plein émerveillement devant la beauté terrestre.

Cela se produisit possiblement ailleurs qu'en Europe Occidentale, comme par exemple dans le secteur de l'Océan Pacifique, qui vit naître des humains à peau blanche sur les restes d'un ancien continent , qui avait dominé cet océan sur presque toute sa surface actuelle, jusqu'à la fin de l'ère secondaire (ayant mis un terme aux dinosaures), il y a plus de 50 000 ans d'après l'échelle cosmique (et non il y a 65 millions d'années, selon l'échelle académique).

Ancien continent Atlantide

Certains peuples peaux-noirs étaient navigateurs et avaient peut-être déjà voyagé partout sur Terre. Beaucoup s'étaient établis bien loin de leur lieu de naissance (jusqu'en Grande-Bretagne Royaume-Uni, par exemple) et d'autres laissèrent des traces de leur passage dans des pays qu'ils n'habitent plus (tels les Olmèques, en Amérique Centrale où une tête avec des traits négroïdes est sculptée).

Les peuples peaux-blanches les appelaient “Pélasques”, les Celtes leur prêtaient le nom de “Pélasks”, ce qui signifait “peaux tannées”, en référence à leur peau noire.

Un peuple de navigateurs peaux-noires se surnommaient eux-mêmes les Atlantes. Ce nom connu se compose de deux mots : Atta, le Maître , l'Ancien, le Père – aita, en basque –; et lant, l'étendue universelle, donnant land, signifiant terre dans tous les dialectes celtiques et dans le basque landa, signifiant le champ, lan, le travail (de la terre, originellement), ou dans landare, désignant une plante, (de cette même racine de ce qui est terrestre) ou encore dans lano, le brouillard, qui est l'étendue de l'eau en suspension au-dessus de la terre. Ces Atlantes, donc, se nommaient littéralement les Maîtres de l'Univers (ou les Anciens), puisqu'ils avaient vogué si longtemps sur terres et sur mers, en s'en rendant les premiers maîtres, que leur ancienneté finit par devenir l'argument en faveur de leur droit légitime de la propriété terrestre.

Langue basque

Cette ancienne langue des Pélasques-Atlantes donne donc la racine commune du mot père (Atta) en : albanais Albanie, lydien, vieil irlandais Irlande, gothique (vieux et moyen haut - allemand Allemagne), en grec ancien Grèce, ou dans les langues indo-iraniennes Inde Iran, en latin, en russe Russie, et dans une foule de langues encore actuelles, qui ont pu transformer ce mot en ajoutant un “t” devant et, ou, en l'enlevant en fin de mot; qui s'est adouci en hébreu pour devenir abba, et dont la racine existe jusqu'en Amérique du Sud …

C'est donc vers les peuples noirs qu'on doit se tourner pour entendre l'origine commune entre la langue basque et la langue pélasque dont le peuple entretenait le souvenir d'un continent englouti dans l'Océan Atlantique; “uasko, ouasko, eusko, vasco, basko, ou ausko” sont un et même mot, premières références écrites sur le peuple basque dans différents euskalkis ou différents parlers de l'euskara. Ce sont les Phéniciens qui firent le pont entre les langues originelles et actuelles.