Lettrines ArboSciences

Modèle du Dr Robert Moon

Projet Manhattan

Le Dr Robert James Moon (1911-1989) pouvait tout expliquer dans le tableau périodique grâce à la géométrie. Il était l’un des principaux scientifiques impliqué dans le projet Manhattan (70 scientifiques dont Albert Einstein & Leo Szilard) après avoir développé la première réaction de fission thermonucléaire contrôlée.

Il était le deuxième scientifique à avoir construit un cyclotron dans les années 1930 (1,30m de diamètre pour 50 tonnes) et il a considérablement amélioré le premier, qui avait été construit par Ernest Orlando Lawrence United States (1901-1958, prix Nobel de physique en 1939 pour son cyclotron), en utilisant l'élément carbone comme modérateur (un des rares éléments chimiques n'arrêtant pas les neutrons).

Effet Hall quantique

En 1980 Klaus Von Klitzing Allemagne (prix Nobel de physique en 1985 pour l'effet Hall quantique) expose chacun des rubans de divers matériaux conducteurs refroidi à basse température, à un champ magnétique.

Klaus Von Klitzing constate que leur conductibilité ne varie pas de façon continue avec la températue, mais par sauts (phénomène nommé effet Hall quantique). La conductibilité électrique est quantifiée. Stupéfait par ce résultat, Robert James Moon suggère que les phénomènes de quantification sont la manifestation des propriétés de l'espace, pas seulement celles du matériau.

Paire de Weber

Le physicien allemand Wilhelm Eduard Weber Allemagne démontre que deux particules de même charge électrique tels que deux protons du noyau, qui normalement se repoussent, peuvent aussi s'attirer lorsqu'elles sont suffisamment proche (jusqu'à 3 . 10-19 l'une de l'autre). Nul besoin d'inventer l'existence d'une force nucléaire forte ou faible.

Robert James Moon s'inspire également des théories électrodynamiques d'André-Marie Ampère, et des travaux de Carl Friedrich Gauss.

Solides de Platon

Corps élémentaires de Platon
Les polyèdres de Platon (tétraèdre, cube, octaèdre, dodécaèdre & icosaèdre) représentent des symétries particulières de l'espace qui, selon Robert James Moon, doivent être indroduit dans le modète atomique.

S'inspirant des travaux de Johannes Kepler sur le mouvement des planètes autour du Soleil, Robert James Moon remettra en question le modèle de Bohr-Rutherford (modèle de Bohr + modèle de Rutherford) pour expliquer la structure des atomes.

En 1986, Robert James Moon propose un nouveau modèle nucléaire (incluant quatre des cinq solides de Platon) contenant seulement des protons, et laissant de côté les neutrons (présents dans les isotopes).

Laurence Hecht (directeur de 21th century science and technilogy magazine) incorporera plus tard les neutrons dans le modèle nucléaire.

Modèle atomique de Moon

Les protons sont placés successivement aux sommets de chacun des polyèdres (cube, octaèdre, dodécaèdre & icosaèdre).

Au départ, les huit premiers protons se positionnent sur les sommets d'un cube, ce qui génère les éléments depuis l'hydrogène (Z=1) jusqu'à l'oxygène (Z=8). La configuration spatiale des protons adopte alors la forme d'un ballon de football.

Les sommets du cube occupés, les six prochains protons se matérialisent sur les sommets d'un octaèdre (structure spatiale créée au-dessus du cube), lesquels vont générer les éléments depuis le fluor (Z=9) jusqu'au silicium (Z=14). La configuration spatiale des protons épouse alors la forme d'un ballon de rugby.

Les sommets de l'octaèdre pris, les douze protons supplémentaires se répartissent sur les sommets d'un icosaèdre (structure spatiale créée au-dessus de l'octaèdre), lesquels vont générer les éléments depuis le phosphore (Z=15) jusqu'au fer (Z=26). La configuration spatiale des protons adopte alors la forme d'un ballon de football.

Les sommets de l'icosaèdre saturés, les vingt autres protons se mettent en place sur les sommets d'un dodécaèdre (forme spatiale créé au-dessus de l'icosaèdre), lesquels vont générer les éléments depuis le cobalt (Z=27) jusqu'au palladium (Z=46). La configuration spatiale des protons adopte alors la forme d'un ballon de football.

Les sommets du dodécaèdre occupés, un deuxième dodécaèdre vient s'accoler sur une des douze faces du premier dodécaèdre. Cela génèrera les éléments depuis l'argent (Z=47) jusqu'à l'uranium (Z=92). La configuration spatiale des protons adopte alors la forme d'une cacahuette.

Volumes atomiques au minima

Volumes atomiques au minima
La courbe des volumes atomiques classés par numéro atomique croissant, présente des minima pour tous les éléments occupant l'intégralité des sommets de chaque solide de Platon: le cube (Z=8) pour l'oxygène, l'octaèdre (Z=14) pour le silicium, le dodécaèdre (Z=26) pour le fer, l'icosaèdre (Z=46) pour le palladium, le double icosaèdre (Z=92) pour l'uranium.

Susceptibilités magnétiques au maxima

Susceptibilités magnétiques au maxima
La courbe des susceptibilités magnétiques classées par numéro atomique croissant, présente des maxima pour certains éléments occupant l'intégralité des sommets de certains solides de Platon: le cube (Z=8) pour l'oxygène, le dodécaèdre (Z=26) pour le fer, l'icosaèdre (Z=46) pour le palladium.