Généralités sur les planètes
Taille des planètes
Formation des planètes
Age des surfaces planétaires
Mouvements et évolution de la Terre
Les références
Variation de l'axe de rotation de la Terre
Eclipses lunaires et solaires
Bref coup d'œil sur les planètes
Cycle cosmique
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La petite histoire Up Page
Taille des planètes

Formation des planètes Up Page
Les géantes gazeuses
Mis au point à l'aide d'ordinateurs puissants, le nouveau modèle mathématique proposé par un astrophysicien américain indique que la formation des planètes géantes gazeuses, telles Jupiter et Saturne, nécessite quelques centaines d'années. Ce qui est très court en temps astronomique. Publiée dans la revue Science du 29 novembre 2002, cette théorie explique pourquoi ces planètes sont aussi nombreuses dans l'Univers. Plus d'une centaine de géantes gazeuses extra-solaires a été recensée à ce jour.

Formation du disque
Thomas Quinn, astrophysicien à l'Université de Washington, soutient que le disque de matière commence à se fragmenter très tôt (après quelques révolutions autour de son étoile). A mesure qu'il se fragmente, des amas de matière se constituent rapidement et attirent des gaz qui composent l'enveloppe. Le chercheur estime que les planètes se forment pendant cette première phase. Il affirme que si une planète géante gazeuse ne peut pas se structurer rapidement, elle ne se formera probablement pas. Car ces planètes subissent les effets des étoiles environnantes, comme notre Soleil, dont le vent solaire disperse les gaz qui s'agglutinent autour d'elles. Si le processus est trop long, les gaz finissent par se dissiper.

L'enveloppe gazeuse
Le modèle de l'astrophysicien explique pourquoi Uranus et Neptune, deux autres planètes géantes de notre système solaire, n'ont pas une enveloppe gazeuse aussi importante que Jupiter et Saturne. Quand Uranus et Neptune se sont formées, elles n'ont pas eu le temps d'attirer à elles les lambeaux de gaz nécessaires. Ces deux planètes se trouvaient trop près d'une étoile, qui s'est depuis éloignée de notre système solaire. Cette étoile leur a fait perdre une partie de l'enveloppe gazeuse qu'elles avaient accumulée.

Formation courte (gazeuses) ou longue (telluriques)
Cette hypothèse de formation rapide avait déjà été énoncée auparavant, mais les scientifiques ne disposaient alors pas de la puissance de calcul d'ordinateurs à même d'en faire la simulation. Elle ne porte pas sur des planètes de type tellurique, telles la Terre ou Mars, situées plus près du Soleil. Thomas Quinn suppose que ces planètes plus petites se sont formées au cours d'un processus plus long, qui correspond mieux au modèle classique de naissance des planètes.
Domaines de présence Up Page
Age des surfaces planétaires surestimé
Les surfaces des planètes sont datées d'après le nombre de cratères qui les parsèment. En analysant ceux d'Europe, un des gros satellites de Jupiter, des planétologues estiment qu'il faut revoir la copie. Un impact peut en effet provoquer plusieurs cratères.

"Europe est géologiquement actif mais nous ne connaissons pas les processus qui sont en œuvre. Ils peuvent être tectoniques ou chaotiques, résultats de remontée de matériaux qui bouleversent le terrain préexistant. Mais ces formations effacent rapidement toute trace superficielle comme les cratères laissés par les impacts de comètes."

"Sur Europe, il y a environ 40 cratères de plus de 10 kilomètres de diamètre, mais aussi de très nombreuses petites structures de moins d'un kilomètre. Les cratères principaux sont formés par le choc d'une comète ou d'un astéroïde qui heurte la surface très violemment. Mais tous les cratères visibles ne sont pas directement issus du choc.
95 % d'entre eux sont secondaires, c'est-à-dire qu'ils sont formés par les blocs de roche éjectés lors de la formation du cratère principal. Sur 0,2 % de la surface que nous avons particulièrement auscultée, nous en avons répertorié 17 000."

 
"Les gros cratères, très souvent primaires, restent une bonne indication de l'âge d'une surface, quand on regarde à l'échelle de la planète elle-même. En revanche, l'utilisation de petites structures est à prendre avec des pincettes. Les planétologues martiens qui utilisent les images à haute résolution de Mars Global Surveyor, Mars Odyssey et Mars Express travaillent parfois sur des terrains de quelques kilomètres carrés qui ne montrent aucun grand cratère d'impact. Or, sur Europe, les petits cratères sont en grande majorité des impacts secondaires. Les considérer tous comme primaires, comme on le fait actuellement, est une source d'erreur majeure. L'âge de la surface qu'on en déduit est ainsi largement surestimé."

Edwards Bierhaus, planétologue chez Lockeed Martin Space Explorations System, à Denver, dans le Colorado.
Son interprétation dans l'avenir Up Page
Mouvements et évolution de la Terre
Notre planète, tout comme les huit autres planètes du Système solaire, tourne autour du Soleil qui tourne autour de la Voie-Lactée, notre galaxie, à 240 km/s. Actuellement à une distance de 27 000 années lumière du centre, il faut au système solaire 250 millions d'années pour accomplir un tour autour du coeur de la Voie-Lactée. Mais en plus le Soleil plonge et remonte comme une vague. Il est à 48 années lumière au dessus du plan et en phase ascendante à la vitesse de 7 km/s. Tous les 30 millions d'années le Soleil traverse le plan de la Voie-Lactée. C'est lorsqu'il traverse les bras de la galaxie qu'il s'expose à subir des ondes de choc de supernova ou de nuage de gaz. Toutes les extinctions ont justement eues lieu quand la Terre était dans un bras galactique.

Des averses périodiques de comètes
"Traversé du plan galactique"
Tous les 240 à 250 millions d'années, le système solaire effectue une révolution complète autour de la Voie Lactée, entraînant avec lui les planètes et tous les objets qui s'y trouvent. Les crises biologiques ne se produisent pas au hasard, mais se répètent périodiquement: cinq extinctions majeures et 20 extinctions secondaires d'espèce qui vivaient en milieu marin se succèdent à intervalles assez régulier depuis le début de l'ère primaire, il y a 560 millions d'années.
En traversant le plan galactique, tous les 26 à 28 millions d'années, le Soleil passe au voisinage d'objets massiques, essentiellement des nuages de moyenne densité. Cette valeur est également celle de la demi-période d'oscillation du Soleil autour du plan galactique. Cette proximité perturberait l'orbite des objets les plus faiblement liés au Soleil. Evoluant aux confins du Système solaire, les comètes seraient les premières à subir cet "effet de marée". Certaines d'entre elles quitteraient définitivement le Système solaire, et d'autres seraient déviées vers l'intérieur. Une dizaine d'entre elle entreraient en collision avec la Terre. Elle laisseraient une empreinte géologique similaire à celles de la limite Crétacé-Tertiaire (iridium, magnétite nickélifère, minéraux choqués, cratères, etc.).
Les références Up Page
Réseau Pepe
Cybersciences
Pour la Science avril / juin 2006 Les éléments en furie n°51
Quid Editions Robert Laffont
Recherche décembre 2005 n°392
Science & Avenir juillet 2004 n°689
Science & Avenir Hors-Série La dixième planète Décembre 2005 / janvier 2006 n°145
Sociétés Secrètes et leur pouvoir au XXème siècle Jan van Helsing Editions Ewertverlag 1995

Pourquoi ce site
Je crois que, si les êtres humains que nous sommes ne parviennent pas toujours à évoluer comme ils le souhaiteraient _à s'épanouir professionnellement, sentimentalement et sexuellement (ce que j'appelle les trois pôles d'intérêts) c'est parce qu'il y a des barrages qui entravent leur désir d'accéder à un rêve inachevé. Je pars du principe que tout est possible, à condition de s'entourer de gens qui nous poussent à croire en nous.

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Mais encore … Up Page
Variation de l'axe de rotation de la Terre
L'axe de la Terre varie au cours du temps décrivant un cône en 25 860 années : les saisons se déplacent sur l'orbite terrestre. Ceci est dû à l'attraction combinée du Soleil et de la Lune sur le bourrelet équatorial. Actuellement l'axe de rotation de la Terre est dirigé vers l'étoile polaire de la Petite Ours mais dans 12 934 ans elle sera dirigée vers l'étoile Véga de la constellation de la Lyre et 12 934 ans plus tard l'axe de la Terre sera de nouveau pointé vers l'étoile polaire.

L'axe de rotation de la Terre est actuellement incliné de 23,27° justifie l'existence des différentes saisons. Mais il varie entre 21°59' et 24°50' sur une période de 41 000 années.
Cette fluctuation agit sur la répartition géographique de l'énergie. Quand l'obliquité atteint 24°50' cela entraîne des hivers rigoureux aux latitudes moyennes.

Variation de l'orbite terrestre
La masse du Soleil commande le mouvement de la Terre dans l'espace, mais la présence des autres planètes (surtout Jupiter) du Système Solaire perturbe ce mouvement et entraîne des variations à long terme des paramètres de l'orbite de la Terre. L'excentricité de 0.02 mesure l'écart entre l'orbite terrestre et un cercle parfait. Il varie entre 0 et 0,07. Sa période varie selon une période 400 000 ans et une de 100 000 ans, donc, le flux global du rayonnement qu'elle reçoit du Soleil varie, suivant sa répartition dans l'espace et le temps.

Dans la figure ci-dessous, l'excentricité a été exagé.

Les éclipses Up Page
Eclipses solaires
La longueur de l'ombre de la Lune varie entre 367.000 et 379.800 kilomètres, et la distance séparant la Terre de la Lune varie entre 357.000 et 407.100 kilomètres. Les éclipses solaires totales se produisent lorsque l'ombre de la Lune atteint la Terre. Le diamètre de l'ombre ne dépasse jamais 268,7 kilomètres quand elle touche la surface de la Terre. Par conséquent, la zone d'où l'on peut observer une éclipse solaire n'est jamais plus vaste. Elle est presque toujours plus réduite. La largeur de la zone de pénombre, dite aussi zone d'éclipse partielle, est d'environ 4.828 kilomètres. A certains moments de son passage entre la Terre et le Soleil, l'ombre de la Lune n'atteint pas la Terre. Une éclipse annulaire se produit alors, et l'anneau lumineux du disque solaire apparaît autour du disque noir de la Lune. L'ombre de la Lune se déplace sur la surface de la Terre en direction de l'est. Comme la Terre tourne également vers l'est, la vitesse de déplacement de l'ombre de la Lune sur la Terre est égale à celle de la Lune se déplaçant sur son orbite, moins la vitesse de rotation de la Terre. La vitesse de l'ombre au niveau de l'équateur est d'environ 1.706 km/h; au niveau des pôles, où la vitesse de rotation est presque nulle, elle est de 3.380 km/h.

Eclipses lunaires
La Terre, éclairée par le Soleil, projette dans l'espace une longue ombre conique. En tout point situé dans ce cône, la lumière du Soleil est complètement cachée. Autour de ce cône se trouve une zone d'ombre partielle appelée pénombre. La longueur moyenne du cône d'ombre est d'environ 1.379.200 kilomètres ; et à une distance de 384.600 kilomètres, distance moyenne séparant la Terre de la Lune, son diamètre est de 9.170 kilomètres. Quand la Lune est alignée avec la Terre et le Soleil et qu'elle pénètre dans la zone d'obscurité projetée par la Terre, alors elle disparaît au fur et à mesure : c'est alors une éclipse lunaire.
Une vue d'ensemble Up Page
Bref coup d'œil sur les planètes
Particularités des planètes Soleil Mercure Venus Terre Lune Mars Jupiter Saturne Uranus Neptune Pluton
Rotation 26jours 58,65 jours terrestres 4 jours 23h56 27jours 24h37 ou
24,62h
9h50
9,92h
10h39min24s
10,66h
17h14min (10h07?)
17,24h
16h6min30s
16,11h
153,29h
6j9h
6,39jours)
Révolution sidérale 87,9 jours ou 0,2408 an 243jours ou 225jours (0,6152 an) 1 an 27,3217 jours ou 27 jours 7h 43min 11,5s 1,880 7 ans 11,856 ans 29,46 ou 29,424 ans 84,02 ou 83,747 ans 164,77 ou 183,723 ans 248,02
Révolution synodique 29,53=29j 12h 44mn 12,8s
Densité (g/cm3) 1,4 5,43 5,24 5,5 3,3 3,8 ou
3,93
1,3 à
1,4
0,69 1,3 1,2 à
1,6
1,75
Masse volumique (kg/m3) 3,344.103
Diamètre (n fois la Terre) 109 0,37
4879km
0,97
12104km
1 0,27
3474,6km
0,54
6794km
11 fois
142984km
9,4 fois
120536km
4,0
51118km
4,3
49528km
2390km
Masse [n fois la Terre (ou kg)] 333 000 (2.1030) 0,055 (3.1023) 0,82 (5.1024) 1 0,0123 (7,34.1022) 0,11 (6.1023) 317,8 fois (2.1027) 94 fois à
95,2
(6.1026)
14,5 17,1 0,2% à
0,003
Champ magnétique (n fois la Terre) 1/200 de la Terre Non détecté Incliné entre 0° et 12° 50 fois 500 fois à
1 000 fois
Incliné à 55-59°
1 000 fois
0,25 gauss
Incliné à 50°
Energie émise (n fois) 2,5 fois plus que le Soleil ne lui en fournit 1,76 fois plus que le Soleil ne lui en fournit 900 plus faible que sur Terre
Demi grand axe (UA) 1UA=150106km 0,387 10 0,723 33 1,000 00 384 400 km 1,523 66 5,203 36 9,537 07 19,191 3 30,069 0 39,481 7
Excentricité (ou degré d'aplatissement) 0,205 631 0,006 773 0,016 710 0,044 à 0,067 tous les 421j 0,093 412 0,048 393 0,054 151 0,047 168 0,008 586 0,248 808
Inclinaison sur l'écliptique (°) 7,004 8 3,394 7 0,000 0 5° à 5°18 tous les 173j 1,850 6 1,305 3 2,484 5 0,769 9 1,769 2 17,141 7
Température atmosphérique moyenne +430° à -180° +464°C +127° à -233° +27°C à 133°C -145°C 60K (-214°C) -200°C -223°
-230°C
Moment magnétique 100 fois plus faible que sur Terre
Pression atmosphérique (bar) 10-12 92 atmosphères 3.10-10Pa 0,007 atm
Eloignement (cm/an) 4,4 ± 0,6
Gravité 0,38Terre 0,91Terre 0,38 2,64 0,92 0,86 1,2 (surface des nuages) 0,06
Vitesse d'échappement 4,3km/s 10,4km/s 5km/s 59,5km/s 35,5 21,3 23,5km/s 1,2km/s
Eclairement solaire reçu 450-1040% / Terre 190% (au-dessus des nuages)
5% en surface
36-52%/Terre 3-4%/Terre 1%/Terre 0,2-0,3%/Terre 0,1%/Terre 0,04-0,1%/Terre
Albédo 11% 65% 15% 52% 47% 51% 41% 50%
Inclinaison axiale sur l'orbite 3,13° 26,7° 97,8° 28,3° 122,5°

Le temps dans l'espace Up Page
Cycle cosmique
D'après les dires des Templiers, nous sommes non seulement au seuil d'une ère nouvelle (comme c'est le cas tous les 2 155 ans), mais aussi à la fin d'une année cosmique et au seuil d'une autre. Il s'agit du passage de l'ère des Poissons à l'ère du Verseau.

L'année cosmique dure environ 25 860 années, ce qui signifie que la Terre reçoit les derniers faibles rayons de l'ère des Poissons avant d'entrer dans l'ère du Verseau au fort rayonnement.

Alors que notre année solaire correspond aux douze révolutions de la Lune autour de la Terre (que l'on on arrondi à 30 ou 31 jours), de même que la révolution du Soleil autour du gros soleil central, le "soleil noir" dont parlent des anciens mythes (le fameux "trou noir" de notre galaxie, est également divisée en douze parties.

C'est aussi la précession du mouvement conique de la Terre sur elle-même due à l'inclinaison de son axe, qui détermine les ères. Cette phase de transformation de l'ancien vers le nouvel âge est désignée dans la doctrine de la Mésopotamie de "trois pas doubles de Marduk". C'est un laps de 168 années au milieu duquel est attendue sur Terre l'arrivée du rayon ILU, du rayon divin.