Vision à distance
La petite histoire
Comprendre simplement
Domaines de présence
Son interprétation dans l'avenir
Les références
Mais encore …
by Pepe ©
 
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La petite histoire  Up Page
Tableau informatique
Au cours de ces dix dernières années (nous sommes alors en 1989), les deux physiciens spécialistes du laser, Harold Puthoff et Russell Targ, du Stanford Rechearch Institute (SRI), en Californie, ont découvert ce qu’ils énoncent comme une autre façon de l’esprit d’interagir avec le niveau quantique d’interconnexion, ce que nous avons appelé le tableau informatique. Ils ont découvert que de nombreux individus sont parfaitement capables de décrire ce qui se passe dans des endroits éloignés, même lorsque tous les modes normaux de perception sont bloqués, comme s’ils pouvaient utiliser le niveau d’information de l’univers comme médium.

Comprendre simplement  Up Page
Interconnexion quantique
Les deux physiciens mirent au point une expérience destinée à prouver cette capacité: diverses destinations furent secrètement choisies et notées dans des enveloppes scellées remise au directeur de la division d’information du SRI. Les enveloppes furent ensuite mélangées au hasard et enfermées dans le coffre du directeur. Un individu et un expérimentateur n’ayant aucune connaissances des destinations furent ensuite enfermés dans une pièce à doubles parois, renforcées de cuivre afin d’empêcher toute possibilité de contact radio. Après quoi l’on donna à une équipe d’expérimentateurs l’une des enveloppes choisies au hasard et elle se rendit a lieu désigné.
 
Environ une demi-heure plus tard, le temps pour les membres de l’équipe d’être arrivées à destination, l’expérimentateur resté sur place demanda à son compagnon de décrire ses impressions au magnétophone et de faire des dessins illustrant ses impressions. Dans un de ces tests, un officier de police en retraite qui affirmait avoir souvent utilisé sa capacité de voyance éloignée dans son travail donna une description du lieu où il pensait que se trouvaient les expérimentateurs.
 
A de nombreuses reprises, Puthoff et Targ constatèrent que l’officier de police, comme d’autres sujets, étaient capables de décrire précisément des localités éloignées et parfois même de citer leur nom.
Bien que l’on ne connaisse encore que peu de choses concernant la vision à distance, plusieurs faits sont surprenants. Tout d’abord, le phénomène ne semble pas limité par la distance. Deuxièmement, puisque les écrans anti-électriques n’affectent ni la qualité ni la justesse de la perception, il apparaît que les processus de signalisation impliqués ne sont pas de nature électromagnétique.
 
Les sujets décrivent les localités non pas comme s’ils se mettaient à la place de l’expérimentateur, mais comme s’ils observaient eux-mêmes l’endroit d’un point situé à quelque mille mètres d’altitude.
Puthoff et Targ du Stanford Research Institute (SRI) en Californie, font état des similarités entre la vision à distance et les expériences extracorporelles. La vision à distance ne semblant reposer sur aucune source énergétique connue, ils la rangent dans le domaine de l'interconnexion quantique.

Domaines de présence  Up Page
Expériences extracorporelles
Aussi étonnant et remarquable que cela puisse paraître, les travaux de Puttoff et Targ révèlent que, lorsque la conscience opère au niveau de l'image informatique, non seulement elle n'est plus limitée par les contraintes d'espace ou de distance, mais elle n'est pas non plus soumise à l'écoulement unidirectionnel du temps.
L'expérience du SRI, comme de nombreuses autres réalisées à cet endroit, révèle sans le moindre doute que l'organisme biologique de l'homme est doté de la capacité de se projeter dans le futur, d'y puiser de l'information sur les événements à venir et de traiter cette information dans le présent.
Cela peut nous paraître étrange car nous croyons que nous subissons le flot unidirectionnel du temps, mais la capacité d'un organisme à tirer de l'information de l'avenir pour s'en servir dans le présent est peut-être un état naturel.
Les biologistes ont toujours prétendu que les mécanismes de l'évolution étaient pareillement confinés par l'écoulement unidirectionnel du temps; mais les anomalies que le monde biologique est lui aussi capable, à l'occasion, de surmonter certains impératifs d'évolution et de faire des incursions dans le futur sont nombreuses.

Son interprétation dans l'avenir  Up Page
Choix des termes
Ce thème est à rapprocher d’un second, les expériences extracorporelles. La différence entre ces deux thèmes semble ne résider que dans le choix des termes, tout comme celui des expériences de prémonition.
La difficulté, quant à l’analyse de nombre de phénomènes physiques, provient du fait que nous attribuons pour chacun d’eux un champ de vocabulaire propre. L’objectif ensuite est d’analyser et de comprendre à travers chaque mot, employé par le physicien, l’idée ou le message qu’il a voulu nous transmettre afin de voir si une unification linguistique est possible.
A notre niveau apparemment objectif d’existence, la causalité règne en maître et les opérations impliquant la matière et l’énergie sont strictement soumises au sens unique du temps. Au niveau informel de l’univers, ces obligations s’effondrent.
Curieux de savoir si la vision à distance était limitée par les contraintes temporelles, Puthoff et Targ tentèrent une variation sur leur méthode expérimentale. Le sujet n’essayait pas de décrire la localité après qu’elle avait été choisie, il s’en efforçait avant.

Les références  Up Page
Réseau Pepe
Univers: Dieu ou Hasard Michael Talbot
 
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Je crois que, si les êtres humains que nous sommes ne parviennent pas toujours à évoluer comme ils le souhaiteraient _à s'épanouir professionnellement, sentimentalement et sexuellement (ce que j'appelle les trois pôles d'intérêts) c'est parce qu'il y a des barrages qui entravent leur désir d'accéder à un rêve inachevé. Je pars du principe que tout est possible, à condition de s'entourer de gens qui nous poussent à croire en nous.
 
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Mais encore …  Up Page
The wreck of the Titan
Morgan Robertson écrivit "The wreck of the Titan", une histoirequi relate sans conteste le naufrage du Titanic, cela quatorze ans avant que l'histoire fantastique ne rattrappe la réalité. Son paquebot ne nommait Titan (Titanic en réalité), pesait 70 000 tonnes (70 000 tonnes également pour le Titanic), mesurait 264 mètres (268m en fait). Il disposait de 3 hélices pour sa navigation (3 hélices aussi), avançait à la vitesse de 25 noeuds (le Titanic en fit de même).
Il y avait 24 canots pour le sauvetage (20, ce qui n'est guère mieux !). Il pouvait contenir 3 000 personnes (3 300 montèrent à bord). le naufrage se déroula un mois d'avril, à minuit (à 23h40, un mois d'avril).
L'auteur disait avoir un partenaire astral, qui l'aidait à rédiger son histoire.
 
Le plus magnifique exemple de prémonition reste pourtant l’aventure littéraire de Morgan Robertson, un écrivain sans grand génie mais tout à fait digne de passer à la postérité. En 1890, il publie un petit roman qui met en scène "le plus grand paquebot jamais construit par l’homme". C’est le Titan, 70 000 t, 2 500 passagers et à peine 24 bateaux de sauvetage, ce qui provoquera un drame puisque, dans ce roman, le géant des mers percute un iceberg en plein Atlantique et coule en emportant la plupart des passagers. Le Titan faisait sa première traverséé.
Le 14 avril 1912, les 66 000 t du Titanic, le plus grand paquebot de l’époque, s’engloutissent au large de Terre-Neuve. Un iceberg vient d’éventrer la coque. Il n’y a qu’une vingtaine de chaloupes à bord : sur les 2 300 passagers, à peine 800 s’en tireront. Le Titanic effectuait sa première liaison transatlantique…
Ironie du sort: on comptait parmi les victimes le fameux journaliste W.T. Stead, qui avait conclu un article sur le livre de Robertson par ces mots: "C’est exactement ce qui pourrait se passer si les grandes compagnies de paquebots persistent à ne pas prévoir assez de chaloupes pour tout le monde !"