Suaire de Turin
Linceuil du Christ
Linceuil d'époque médiévale
Des pièces de monnaie en guise d'yeux
Suaire du Moyen-Age
Photographie de Léonard de Vinci
Les références
Ligne de démarcation
Photographie en 3D
Références à la Cène
Impression 3D
Technique de crucifixion
Linceuil de Jésus Christ
by Pepe ©

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L'origine Up Page
Linceuil du Christ
Les losanges visibles sur le suaire de Turin sont consécutif à l'incendie qui se produisit à la sainte chapelle de Chambéry, en 1532, et aux rapiècements opérés par les clarisses (religieuses) pour obturer les trous dûs à la fonte de chandeliers en argent.

L'exposition du suaire de Turin le 04 mai 1898 suggère au religieux français Noël Noguier, que le linceuil du Christ présente des similitudes avec la technique de la photographie: d'une part avec celle de Joseph Nicéphore Niépce (1765-1833, France) de 1827, ou encore avec celle de Louis Jacques Mandé Daguerre (1787-1851) qui date de 1838. Les phtographies de l'Italien Secundo Pia, prises le 28 mai 1898, du suaire de Turin confirme la même hypothèse.

Un second incendie eu lieu la nuit du vendredi 11 avril 1997, à la chapelle du Saint Suaire.
La petite histoire Up Page
Linceuil d'époque médiévale

Lorsqu'en 1988 fut proclammé par le cardinal de Turin et les scientifiques mandatés par lui, le résultat de la datation par radiocarbone du Linceuil de Turin, son âge médiéval fut pour beaucoup une surprise, mais il fut très généralement admis par l'Eglise et par la communauté scientifique.

Le Linceuil de Turin, est une pièce de lin de 436x110 cm qui présente l'empreinte (face et dos) du corps d'un homme portant les traces de très nombreuses blessures, depuis la tête jusqu'aux pieds. La science est toujours incapable d'expliquer comment cette image s'est formée sur le tissu.

Le tissu du Linceuil est un sergé de lin à chevrons dont le procédé de filage à double fuseau, de tissage par métier à pédale et de blanchiment avant tissage, montrent qu'il s'agit d'une production du Proche-Orient antique (toile phénix ou tissage palestinien ancien). On y a découvert des traces de coton, mais pas de laine. En effet, au Ier siècle, en Judée, on utilisait des métiers différents pour les textiles végétaux et les textiles animaux contrairement aux autres régions.

Des traces de pollens, que l'on ne trouve que dans la région du Jourdain, sur les bords salés de la mer Morte, ont été retrouvées sur le suaire de Turin.
Comprendre simplement Up Page
Des pièces de monnaie en guise d'yeux
Une nouvelle découverte concernant l'authenticité du Saint-Suaire vient d'être faite. Il s'agit de la trace d'une monnaie romaine, localisée sur l'œil gauche du visage imprimé sur la toile en question.

Cette trace est celle d'un lepton frappé en l'an 29 ap J.-C.. à l'époque de Tibet. D'après les chercheurs de l'université de Turin, il est très possible que cette découverte soit la preuve définitive permettant d'affirmer que le Saint-Suaire aurait effectivement recouvert le corps du crucifié.

Des études détaillées de l'empreinte de la monnaie on permis de reconnaître les lettres "TIB" (les initiales de tiberiou kaicanos) ainsi que le sigle "LIS" qui signifie, selon les experts, "seizième année".

Quoi qu'il en soit, c'est la deuxième fois que l'on trouve trace d'une monnaie sur le visage du Saint-Suaire, car le jésuite Francis L. Filas, de l'université de Loyola (Chicago), avait déjà identifié, en 1979, un autre lepton sur l'œil droit de la Sainte-Face.

Cette trouvaille aurait été confirmé par le numismate italien Mario Moroni en 1986, même si cette fois-là, il n'avait pas été possible d'établir la date de frappe de la monnaie.

Certains suggèrent que ces deux pièces de monnaie auraient été frappées du temps d'un préfet, Ponce Pilate, de manière grossière avec des fautes d'orthographe comme le "C" à la place d'un "K", pour "Kaisarios" ("César").

D'après le professeur Baima Bollone, médecin légiste italien, la monnaie couvrant l'œil gauche qui vient d'être identifié grâce à des techniques d'analyses développées, "est une donnée incontestable... Les chances pour que cette toile ait pu recouvrir le corps de Jésus Christ approche des 100%".
Domaines de présence Up Page
Suaire du Moyen-Age

C'est au cours de la conférence de presse au British Muséum, le vendredi 14 octobre 1988, qu'Edward Hall, Michael Tite et Robert Hedges annoncent pour la datation: "1260-1390" !

La moyenne de toutes les mesures effectuées par les trois laboratoires (Oxford en Angleterre, Tuscon aux Etats-Unis et Zurich en Suisse) est de 690, + ou - 30 BP (Before Present, avant 1930, date de référence). Ce qui se traduit par l'intervalle de temps en années calendaires de 1270 à 1390 après J.-C. Comme le montre le schéma de correction, on constate que la date se situe beaucoup plus probablement autour des années 1290 ou 1375.

Dater l'âge du suaire de Turin (la toile), ou bien dater l'âge d'une statue en pierre, signifie seulement que l'œuvre en question a été réalisée après. Son "créateur" s'est servi d'un support de rétention (support que l'on grave ou que l'on sculpte) afin d'y laisser son "empreinte" dans le temps.
Son interprétation dans l'avenir Up Page
Photographie de Léonard de Vinci
En 1988, des test de datation au carbone ont prouvé, sauf pour certains croyants obstinés, qu'il s'agissait d'une création remontant à la fin du Moyen-Age ou au début de la Renaissance.

Le suaire de Turin se présente comme une photographie - ses partisans et ses détracteurs s'accordent au moins sur ce point. Il restitue de prime abord une image floue dont les détails se précisent peu à peu à la manière d'un négatif photographique.

Aucun tableau, aucune gravure ne produisant cet effet, les partisans de l'authenticité du suaire de Jésus y ont vu la preuve de la nature miraculeuse de l'image.

Toutefois le suaire produit l'effet d'une photographie pour la bonne raison qu'il s'agit d'une photographie. Seul un génie pouvait créer cette "relique" fascinante. Le maestro qui a forgé de toutes pièces le suaire de Turin - longtemps considéré comme un linge sur lequel se serait miraculeusement imprimé le visage du Christ mourant, se nomme Léonard de Vinci !

Mystification
Bien que le visage représenté sur le suaire ne soit pas celui de Jésus, contrairement à ce que l'on a affirmé pendant si longtemps, ce n'est pas moins celui du mystificateur lui-même. Oui, le suaire de Turin est une photographie de Léonard de Vinci, vieille de plus de cinq cents ans.

Avait-il imaginé que des individus intelligents se convertiraient au catholicisme pour avoir contemplé ce magnifique visage torturé ? Avait-il anticipé que l'image de Jésus venérée en Occident serait aussi largement influencée par le visage du suaire ? Avait-il supposé que des milliers de personnes, dans le monde entier, vénéreraient ce grand homme (hérétique homosexuel de surcroît) du XVe siècle en lieu et place de leur Dieu bien aimé, lui, Léonard de Vinci littéralement le modèle de Jésus-Christ.
Les références Up Page
Réseau Pepe
BE Italie n°114, 10 mai 2013, article 72997.htm
Dossiers de l'Archéologie septembre 2005 n°306
Révélation des Templiers Lynn Picknett et Clive Prince

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Je crois que, si les êtres humains que nous sommes ne parviennent pas toujours à évoluer comme ils le souhaiteraient _à s'épanouir professionnellement, sentimentalement et sexuellement (ce que j'appelle les trois pôles d'intérêts) c'est parce qu'il y a des barrages qui entravent leur désir d'accéder à un rêve inachevé. Je pars du principe que tout est possible, à condition de s'entourer de gens qui nous poussent à croire en nous.

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Ce que vous avez toujours voulu savoir Up Page
Ligne de démarcation
La technologie informatique a permis de retracer le "contour" de l'image, et il est apparu que le trait en question souligne la partie inférieure de la tête, laquelle se trouve ainsi coupée du corps.

A cela deux raisons. l'une est purement pratique, car l'image est un montage: le corps est celui d'un vrai crucifié et le visage est celui de l'artiste. Le trait correspond donc, presque par nécessité, à la "jonction" des deux éléments. Il est probable qu'il ait cherché délibérément a rendre cette ligne de démarcation évidente pour transmettre un message à "ceux qui ont des yeux pour voir".

Il lui eût été relativement aisé d'obscurcir ou de masquer cette ligne de démarcation.

Un dépité "sur" un crucifié
La ligne de démarcation évidente entre la tête et le corps, nous pousse à penser que Léonard de Vinci voulait suggérer une décapitation. Or, pour autant que nous le sachions, Jésus n'a pas été décapité. Cela signifie que cette décapitation concerne une personne de l'entourage proche de Jésus.

Dans la Cène, la jeune femme "M" semble menacée par une main qui "tranche" son cou délicat.
Ce que vous devez absolument savoir Up Page
Photographie en 3D
Un halo de mystère entoure toujours cette étoffe, ultime relique du Christ pour certains, vaste supercherie pour d'autres ... D'autres pensent qu'il s'agirait de l'œuvre de Léonard de Vinci, artiste génial, qui aurait mis son savoir-faire et ses connaissances scientifiques au service de son esprit subversif (trublion, agitateur) en réalisant en réalité un autoportrait.

L'une des énigmes les plus étranges posée par le Linceuil est que l'empreinte qu'il porte est isotope (c'est-à-dire que l'on ne décèle aucune direction dans son tracé, ce n'est donc pas une peinture) et tridimentionnelle, c'est-à-dire qu'analysée par un appareil de la NASA spécialisé dans la traitement des images satellite (le VP8), elle forme une image en relief.


En 1976, Bill Mottern découvre à l'aide d'un VP-8 Analyser, la structure tridimentionnelle de l'image imprégné du visage de Léonard de Vinci, sur le suaire de Turin.

Un français, Paul Gastineau avait déjà vérifié en 1973 l'intuition que les variantes d'intensité de l'image encodaient la distance entre le linge et la peau du supplicié.

Il avait donc, à l'aide d'un lecteur laser, couplé un microdimensimètre à un stylet électrique graveur pour prendre la mesure de l'intensité lumineuse de chaque point du visage. L'image obtenue est donc tout à fait remarquable puisque tridimensionnelle.

Références à la Cène Up Page
Le doigt levé
Jésus, pour sa part, semble menacé par un doigt pointé vers son visage. Chez Léonard de Vinci, ce doigt levé - ce fameux "geste de Jean" - se retrouve dans l'Ecole d'Athènes de Raphael (1509).

Nous y voyons le vénérable Platon l'accomplissant - la référence n'est pas aussi mystérieuse qu'on pourrait le supposer. En fait, ce Platon a les traits de Léonard de Vinci.

Jean-Baptiste
Ce saint, qui annonce la venue de Jésus, dit au monde de "regarder l'Agneau de Dieu" dont il n'est pas digne de délier la courroie des souliers. Il revêt une importance capitale pour Léonard de Vinci, si on en juge par son omniprésence dans ses œuvres. Curieuse obsession de la part d'un artiste dont les rationalistes affirment qu'il ne s'intéressait pas à la religion.

Jean-Baptiste a marqué la vie de Léonard, tant à un niveau conscient - dans ses œuvres - qu'à un niveau inconscient - dans les coïncidences qui ont marqué son existence. C'est comme si le saint suivait ses pas.

Sa seule sculture à nous être parvenue (exécutée avec Giovan Francesco Rustici, un célèbre occultiste), est elle aussi, consacrée à Baptiste.

Abondance de sang
L'abondance de sang qui coule le long du bras de Jésus, semblerait contredire l'absence symbolique de vin sur la table de la Cène. Il s'avère que c'est tout l'inverse dont il s'agit.

Le Saint Suaire a été reproduit en laboratoire
Paolo Di Lazzaro, responsable du laboratoire Excimère du centre de recherche ENEA de Frascati a déclaré : "Quand on parle d'un flash de lumière qui réussit à colorer un tissu de lin, de façon similaire au Suaire, il est simple d'arriver aux discours sur le miracle et la résurrection. Mais en tant que scientifique, nous nous occupons seulement d'évènements reproductibles, et la résurrection ne l'est pas. Ce que je peux dire avec certitude est que notre résultat est réalisable en laboratoire. Si nos résultats scientifiques doivent ouvrir un débat philosophique et théologique, nous laisserons les conclusions aux experts des domaines respectifs, et en définitive à la conscience de chacun".
Technologie avant-gardiste Up Page
Impression 3D

Dans cette animation 3D, la dimension tridimentionnelle du suaire de Turin ne fait aucun doute.
La deuxième image a été prise par Gérard Colombat en janvier 2018, à la basilique du Sacré-Cœur (Paris, France).
Espace dit "de Destot" en chirurgie Up Page
Technique de crucifixion
Le point (espace de Destot) de clouage des poignets et non de la paume des mains (car la paume n'est pas assez forte pour supporter et retenir le poids d'un corps humain cloué sur une croix), pose énigme.

Le chirurgien français monsieur Barbet, avait en effet prouvé qu'il était impossible de suspendre un corps humain en le clouant à l'intérieur de la paume des mains, les chairs se déchirant immédiatement. La disparition du pouce, comme le montre l'empreinte "digitale" sur le suaire, recroquevillé derrière chacune des mains, est dû au pincement du nerf dans l'espace dit "de Destot". Les faussaires ignorant cette particularité, ont toujours placé l'empreinte des clous à l'intérieur de la paume des mains selon la tradition.
Images du Saint Suaire de Turin Up Page
Linceuil de Jésus Christ