Rayon alpha
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La petite histoire  Up Page
Origine, raisons, hasard

Comprendre simplement  Up Page
Particules alpha
Les particules alpha (a) sont des noyaux d'atomes d'hélium (2 protons et 2 neutrons) dotés d'un faible pouvoir de pénétration. Elles sont arrêtées par une simple feuille de papier. Dans un champ électrique, les rayons dévient vers le pôle négatif. Leur charge est donc positive (2+).

Domaines de présence  Up Page
Hans Geiger (1882-1945)
Il travailla de 1906 à 1912 avec Ernest Rutherford à Manchester. C'est là qu'il mit au point, en 1908, la première version de son détecteur de particules alpha. Geiger et Rutherford démontrèrent que ces particules portent deux charges élémentaires. L'année suivante, Geiger et Ernest Marsden constatèrent que certaines étaient déviées selon de grands angles lorsqu'elles touchaient une fine feuille d'or ou d'argent. Ces expériences sur la diffusion furent à la base de la théorie de l'atome développée par Rutherford.
 
Sir James Chadwick (1891-1974)
En 1909, il commença à travailler pour le physicien Ernest Rutherford. À la fin de la Première Guerre mondiale, il se rendit avec Rutherford à l'université de Cambridge, où ils poursuivirent une collaboration fructueuse jusqu'en 1935.

Son interprétation dans l'avenir  Up Page
Monde futur
Rutherford obtint la réponse à l’expérience effectuée par Hans Geiger et Frederick Soddy, concernant une émission de particules a (alpha) sur une mince feuille de métal. Expérience en contradiction avec le modèle de J.J. Thomson (charges positives reparties).
Si l’ensemble de la charge positive est concentré dans un volume minuscule, beaucoup plus petit que celui de l’atome, une particule alpha frappant occasionnellement de plein fouet cette infime concentration de matière et de charge rebondirait, alors que la plupart des particules alpha parcouraient à toute vitesse l’espace vide entre les parties positivement chargées des atomes.
Rutherford proposa ce modèle atomique en 1911. Il dit qu’il devait exister une petite région centrale de l’atome, qu’il nomma noyau. Le noyau contient toute la charge positive de l’atome, une quantité exactement égale et opposée à la charge négative du noyau d’électrons qui entoure le noyau, de sorte qu’ensemble le noyau et les électrons forment l’atome électriquement neutre.
Puisque des charges dissemblables s’attirent l’une l’autre avec autant de force que des charges semblables se repoussent, pour quelle raison les électrons négatifs ne tombent-ils pas dans le noyau positif ? La réponse fut fournie par une analyse de l’interaction des atomes et de la lumière, et fut à l’origine de la première version de la théorie quantique.
Si un électron se tenait immobile à l’extérieur du noyau d’un atome, il devrait être aspiré dans le noyau, et l’atome ne serait donc pas stable. La seule façon de contrer cette tendance à l’effondrement de l’atome consistait à imaginer que les électrons tournaient autour du noyau, de la même manière que les planètes autour du système solaire. Même en recourant au mouvement orbital, on ne peut empêcher l’effondrement de l’atome de Rutherford. Le mouvement orbital implique une accélération constante, or la vitesse des électrons en orbite se modifie, entraînant une déperdition d’énergie.

Les références  Up Page
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Je crois que, si les êtres humains que nous sommes ne parviennent pas toujours à évoluer comme ils le souhaiteraient _à s'épanouir professionnellement, sentimentalement et sexuellement (ce que j'appelle les trois pôles d'intérêts) c'est parce qu'il y a des barrages qui entravent leur désir d'accéder à un rêve inachevé. Je pars du principe que tout est possible, à condition de s'entourer de gens qui nous poussent à croire en nous.
 
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