Portance
La petite histoire
Comprendre simplement
Domaines de présence
Son interprétation dans l'avenir
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Mais encore …
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La petite histoire  Up Page
Origine, raisons, hasard
La portance est exercée par l'air qui s'écoule sous les ailes. Il existe une différence de vitesse entre l'air qui s'écoule au dessus des ailes et l'air qui s'exerce au dessus. Cette différence de vitesse créé une différence de pression entre les deux faces des ailes: la pression exercée par l'air étant plus importante sous les ailes.

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Vulgarisation, de 7 à 77 ans
C'est la portance qui permet à l'avion de vaincre son poids et de ne pas tomber. La portance est une force exercée par l'air sur la face inférieure des ailes.  La traction du moteur permet à l'avion de se déplacer horizontalement et de vaincre la résistance exercée par l'air sur l'avion: la traînée. Lorsque l'avion augmente sa vitesse il augmente la portance et prend de l'altitude.  Pour rester à la même altitude le pilote modifie l'angle que font les ailes avec l'horizontale.  Cet angle est appelé angle d'incidence. Cette opération est délicate.  Si l'angle d'incidence est supérieure à un angle seule un tourbillon se forme autour des ailes et la portance disparaît.

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Plus de portance
L'Aerocity: un moyen de transport respectueux de l'environnement, confortable et très rapide
Le bureau d'ingénieurs-conseils Movares a développé en 2008 un nouveau concept de transport présenté comme une alternative aux lignes à grande vitesse. L'Aerocity est un véhicule qui plane dans un bac à béton, comme un avion, et peut atteindre une vitesse maximale de 500 km/h.
L'Aerocity est basé sur le principe de l' effet de sol (wing-in-ground): juste au-dessus du sol, un avion est soumis à moins de résistance et plus de portance qu'à plus grande altitude; il se retrouve en quelque sorte sur un coussin d'air. En enfermant cet air sous des ailes, il est tout à fait possible de voler à ras-du-sol. Ainsi, à 200 km/h, l'Aerocity se soulève de 50 centimètres. Ce planeur, très silencieux, peut accueillir cent passagers et, selon l'ingénieur Everard van Rees, il est beaucoup moins cher qu'une ligne à grande vitesse ou à sustentation magnétique. Les besoins d'entretien et de construction seraient en effet moindres. Une ligne à sustentation magnétique coûte environ 60 millions d'euros par kilomètre, 50 millions d'euros pour une ligne à grande vitesse, contre 25 millions pour l'Aerocity.
Movares cherche désormais des partenaires pour continuer la recherche sur ce projet car certains aspects restent encore incertains, comme le degré de stabilité d'un tel appareil ou les matériaux a utiliser pour sa construction. Un premier test est envisage par la suite.

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Monde futur

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Réseau Pepe
BE Pays-Bas 22 décembre 2008 n°31
 
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Je crois que, si les êtres humains que nous sommes ne parviennent pas toujours à évoluer comme ils le souhaiteraient _à s'épanouir professionnellement, sentimentalement et sexuellement (ce que j'appelle les trois pôles d'intérêts) c'est parce qu'il y a des barrages qui entravent leur désir d'accéder à un rêve inachevé. Je pars du principe que tout est possible, à condition de s'entourer de gens qui nous poussent à croire en nous.
 
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