Origine des mathématiques
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La petite histoire Up Page Origine, raisons, hasard Les autres sciences comportent des hypothèses qui sont mises à l'épreuve de la preuve expérimentale jusqu'à ce qu'elles se révèlent erronées et que de nouvelles hypothèses leur succèdent. Dans les mathématiques le but est la preuve absolue et une fois que quelque chose est prouvé, c'est pour toujours et sans espoir de changement. |
Comprendre simplement Up Page Invention de l’esprit où réalité de l’Univers ? La physique des mathématiques ressemble à un jeu _cérébral_ où s’échangent des images (visions) et des mots (langage). L’activité mathématique surgirait de la collaboration étroite entre ces deux aptitudes, la vision jouant le rôle de moteur de l’intuition mathématique et le langage celui de traducteur de l’intuition en formes symboliques. |
Domaines de présence Up Page Modèles mathématiques Le mathématicien Morris Kline, du Courant Institute, faisait remarquer dans un récent livre, Mathematics: The Loss of Certainty, qu’on avait découvert, au cours du 20ième siècle, une quantité de modèles mathématiques qui n’ont pas encore trouvé d’applications pratiques dans le monde de la science. Certains d’entre eux s’avèrent encore remarquablement efficaces dans la description du monde physique, et d’autres trouveront peut-être des applications dans le futur. Il suffit d’un exemple: celui du mathématicien et astrophysicien de l’université de Chicago, Subrayhayam Chandrasekhar. Douze heures par jours, sept jours par semaine, Chandrasekhar est assis derrière son bureau à la recherche de la beauté mathématique dans la paysage de ses pensées. C’est au cours d’un de ces voyages cérébraux, dans les années 1960, qu’il eut un aperçu fulgurant de cette beauté dans une entité géométrique mathématique: l’ellipsoïde. Découvrant que d’autres mathématiciens avaient abordé le cas de ces surfaces convexes quadratiques, Chandrasekhar se laissa séduire et décida de les explorer à fond. Ce n’est que vingt ans plus tard, après que les scientifiques eurent commencé à étudier de façon plus approfondie les différentes formes de galaxies, qu’on découvrit que la nature utilisait en effet des ellipsoïdes dans ses machinations. La science et les mathématiques abondent en faits semblables. Au 19ième siècle, le mathématicien Bernard Riemann découvrit un système géométrique entièrement nouveau où l’on ne vit qu’une curiosité mathématique, jusqu’à ce que Einstein s’en serve dans sa théorie générale de la relativité de la gravitation. En 1950, les physiciens Chen Ning et Robert Mills s’enthousiasmèrent pour un groupe d’entités mathématiques ésotériques qu’ils nommèrent par la suite les champs de calibrage. Yang et Mills étaient attirés par les champs de calibrage car il y avait en eux une "une justesse insondable"; personne ne savait que ces entités mathématiques, d’une élégance extraordinaire trouveraient leur application pratique. Depuis les années 1970, on considère virtuellement que toutes les forces de la nature peuvent être décrites en termes de champs de calibrage. |
Son interprétation dans l'avenir Up Page Monde futur En mathématiques, on doit à René Descartes (1596-1650) l'usage qui consiste à utiliser les dernières lettres de l'alphabet pour désigner des valeurs inconnues et les premières pour les valeurs connues, ainsi que la notation en exposant pour exprimer la puissance d'un nombre. |
Les références Up Page Réseau Pepe Dernier théorème de Fermat Simon Singh Science & Vie septembre 1963 n°552 Science & Vie septembre 1999 n°984 Univers: Dieu ou Hasard Michael Talbot Pourquoi ce site Je crois que, si les êtres humains que nous sommes ne parviennent pas toujours à évoluer comme ils le souhaiteraient _à s'épanouir professionnellement, sentimentalement et sexuellement (ce que j'appelle les trois pôles d'intérêts) c'est parce qu'il y a des barrages qui entravent leur désir d'accéder à un rêve inachevé. Je pars du principe que tout est possible, à condition de s'entourer de gens qui nous poussent à croire en nous. Contribuer au Réseau Pepe Ce site est avant tout une encyclopédie ouverte à l'imagination et au savoir, où chacun(e) d'entre vous peut participer. Si vous avez envie de partager une passion, ou si vous sentez le besoin de vous exprimer sur un point précis, je vous invite à m'adresser un e-mail (adresse électronique accessible sur ma page d'accueil). |
Mais encore … Up Page Ce que vous avez toujours voulu savoir Un mathématicien hongrois, le Pr Laszlo Molnar, est maintenant en mesure de calculer 10 fois plus vite que la normale, grâce à une nouvelle méthode qu'il a mise au point et qui a été acceptée par les spécialistes de Budapest et de Miskolc. Sa méthode révolutionne les quatre opérations de base: addition, multiplication, soustraction et division. Comme pour la sténographie, le Pr Molnar a créé un nouveau système de chiffres, des signes "géométriques" avec lesquels le calcul est plus précis, plus facile et le risque d'erreur réduit au minimum. Pour se servir de ce nouveau procédé, il n'est nullement nécessaire d'utiliser des tables, des règles graduées, des tables de logarithmes, ou autres: le Pr Molnar a mécanisé le caulcul lui-même. Chaque formule, par exemple dans l'addition, est inscrite en angle droit et salecture donne la solution en quelque sorte "d'elle-même". Cette méthode ne touche pas au système décimal; les chiffres sont de forme géométrique et au-delà de la notation, au sens strict du terme, ils ont un rôle direct dans les opérations. N'importe qui peut, en quelques heures, apprendre à calculer ainsi sans que des études spéciales soient nécessaires. |