OVNI à l'aéroport d'Orly (Paris, France)
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La petite histoire Up Page Origine, raisons, hasard Le 17 février 1956 vers 22h50 des opérateurs radar à ORLY AEROPORT enregistrent sur leur écran un signal "anormal". On apprend qu'un OVNI survole l'Ile de France, qu'il disparaît, qu'il réapparaît, qu'il s'immobilise et que sa vitesse est fantastique : mini 2600 km/h - Maxi 4600 km/h ! Impensable. |
Comprendre simplement Up Page Vulgarisation, de 7 à 77 ans Une situation totalement anormale. Vers 24h 00 le commandant Dessavoi, à la hauteur de Bougival, venant de décoller, se trouve face à un OVNI qui se dirige sur lui. L'engin l'évite au dernier moment. Une nuit de terreur pour les pilotes qui virent cette nuit là à de très nombreuses reprises des objets se jouant des avions en leur fonçant dessus, les évitant, passant à droite, à gauche etc..... Vers deux heures du matin l'objet disparaît. |
Domaines de présence Up Page Douglas Dakota DC-3 La météo était exceptionnellement froide durant tout ce mois de février 1956, plus froid que jamais depuis, et il n'y avait aucun orage. Le ciel était clair et sans nuages. Par la suite, alors que l'objet était toujours détecté sur les radars, un Douglas Dakota DC-3 de Air France transportant des passagers d'un vol régulier en provenance de Londres entre dans le champ du radar. Lobjet inconnu, qui à ce moment était stationnaire, est vu sur lécran radar accélérer à une vitesse foudroyante et foncer vers le DC-3. La tour d'Orly appelle alors le DC-3 pour lui demander s'il ne voit rien. Le pilote du DC-3 répond qu'ils voient une lumière rouge clignotante se dirigeant vers leur avion apparemment à très grande vitesse. Il indique que la position de la lumière est à la verticale des Mureaux, ce qui correspondait à la position de l'objet sur le radar. Le pilote du DC 3 dut changer de cap pour éviter une collision qui lui semblait imminente, puis lobjet disparut à ses yeux. Pour la tour de contrôle, l'objet semblait maintenant être du côté du Bourget, ce dont ils informent le pilote du DC-3. Le copilote, en se tournant vers ce côté, aperçoit de nouveau non seulement la mystérieuse lumière clignotante, mais bien lobjet lui-même, énorme et noir sur le fond du ciel. Lui et le Capitaine regardèrent l'OVNI pendant une demi-minute avant qu'il ne disparaisse. Dans son rapport, le Capitaine déclarait que l'objet qu'ils avaient vu ne portait aucune des lumières de navigation obligatoires. Ce manège dura trois heures consécutives. Au dire des enquêteurs de laviation civile, les pilotes des divers appareils qui atterrirent ou décollèrent cette nuit-là à Orly après avoir vu la lumière clignotante, et parfois lobjet, manoeuvrer autour d'eux à des vitesses folles, étaient blêmes de peur. |
Son interprétation dans l'avenir Up Page Aimé Michel Aimé Michel, qui a donné fort peu de détails sur les événements eux-mêmes mais étudié ce cas avec attention, donne des informations complémentaires qu'il a recueillies auprès des personnels impliqués: a) lobjet "connaissait" lexistence et la position des radio-balises. Il se déplaçait fréquemment de lune à lautre à des vitesses atteignant 3 600 kilomètres-heure. b) Il "connaissait" lexistence et les limites du radar. Quand aucun avion n'était en vue, il sortait du champ du radar par la verticale, et n'y rentrait que pour foncer vers lavion en train d'approcher. c) Et voici le plus fantastique. A un moment, pour en avoir le cur net, les opérateurs appelèrent le radar du Bourget: - Avez-vous la même réception que nous? "Aussitôt, le radar d'Orly fut brouillé par une puissante interférence. Pour échapper au brouillage, les opérateurs d'Orly changèrent de fréquence. Plus de brouillage pendant quelques secondes, au cours desquelles lobjet redevint parfaitement visible sur lécran. Après quoi le brouillage reprit sur la nouvelle fréquence: tout se passait comme si lobjet, ayant intercepté et compris la conversation entre Orly et Le Bourget, avait jugé importun le repérage radar et lavait brouillé, et ceci de fréquence en fréquence, car radar et brouillage ne cessèrent à partir de ce moment de se poursuivre! Cette interprétation, il faut le souligner, je la tiens des techniciens de laéronautique qui enquêtèrent ensuite sur lincident. Détail: le radar du Bourget, en dérangement, ne fonctionnait pas cette nuit-là. Ainsi, dans ce cas particulier, lobservation radar fut doublée non seulement de lobservation optique, visuelle, par les pilotes qui aperçurent lobjet en vol, mais par tout un manège chat et souris évoquant irrésistiblement une activité intelligente." |
Les références Up Page Réseau Pepe Source Pourquoi ce site Je crois que, si les êtres humains que nous sommes ne parviennent pas toujours à évoluer comme ils le souhaiteraient _à s'épanouir professionnellement, sentimentalement et sexuellement (ce que j'appelle les trois pôles d'intérêts) c'est parce qu'il y a des barrages qui entravent leur désir d'accéder à un rêve inachevé. Je pars du principe que tout est possible, à condition de s'entourer de gens qui nous poussent à croire en nous. Contribuer au Réseau Pepe Ce site est avant tout une encyclopédie ouverte à l'imagination et au savoir, où chacun(e) d'entre vous peut participer. Si vous avez envie de partager une passion, ou si vous sentez le besoin de vous exprimer sur un point précis, je vous invite à m'adresser un e-mail (adresse électronique accessible sur ma page d'accueil). |
Mais encore … Up Page Magazine Quick-Texte, de Münich, dans son numéro 11 de mars 1956 Soudainement un brouillard en forme de banane s'est formé autour d'un corps géant mystérieux sur l'écran de visualisation du radar. "Il est resté immobile, et nous pouvions exactement voir comment un DC-3 qui décollait et un Constellation qui atterrissait ont plongé sous le corps géant. Il m'a semblé que c'était comme si le vaisseau fantôme voulait observer le trafic aérien de Paris," a dit une des personnes des radars. Mais le vaisseau fantôme s'est reposé dans la direction du nord-est de lui, s'est arrêté là et a finalement sauté vers un avion de la la poste. "Nous avons déjà craint une collision, quand l'objet impossible à fait un cercle: il avait découvert une nouvelle cible sous forme du vol 103 de la Swissair venant de Londres. Il a croisé le cours du DC-3 FBAXI qui venait juste de décoller. Leur pilote nous a parlé d'une boule de feu compacte rougeâtre." Le vaisseau fantôme a suivi le vol 103 de la Swissair pendant 40 secondes. Alors il a disparu en un clin d'oeil au-dessus d'Orly, pendant que les avions de chasse que le technicien de radar a alerté trois heures avant pour être envoyés en interception décollaient. L'Etat Major Général Français Staff examine maintenant pourquoi l'envoi des avions de chasse depuis le terrain d'aviation de Tours à 200 kilomètres de là avait été si long. L'explication proposée est "des causes indéterminables"... |