I-ther
Nécessité d’un substrat universel
Conservation de l'énergie et conservation du moment
Hermétisme de l'establishment
Survival Physic
Les références
Ce que vous avez toujours voulu savoir
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Par Ronald Pearson © janvier 2008

La petite histoire Up Page
Nécessité d’un substrat universel
Dans son numéro du 10 décembre 2005, la revue New Scientist publiait un rapport alarmant sur l’état de la physique, issu de la Conférence Internationale Solvay qui s’était tenue à Bruxelles la semaine précédente.
Dans son résumé, le Nobel David Gross reconnaissait la confusion totale régnant parmi les physiciens et le besoin urgent d’approches inédites. Qu’il s’agisse de la théorie des cordes, de la recherche d’une gravité quantique ou de tout autre tentative, chacune débouchait sur une impasse. En 2007, l’éminent physicien Lee Smolin a publié un livre dans lequel il déclare que sa génération s’est avérée incapable de produire quoi que ce soit de valable, malgré le grand nombre de physiciens et l’importance sans précédent des crédits accordés.

Prenant conscience que ma propre discipline (l’ingénierie en mécanique des fluides) m’offrait les moyens de résoudre le problème de la Constante Cosmologique, je me suis donc attelé, dès 1987, à la recherche d’une solution non entachée de paradoxe. Deux ans plus tard, le Nobel Steven Weinberg devait d’ailleurs soulever l’enjeu d’une telle démarche en déclarant dans un article que "la constante cosmologique représente une véritable crise pour la physique". Il m’a semblé évident que, pour résoudre le problème de la création, il fallait envisager l’idée d’un substrat [background] constitué de particules primaires de deux sortes d’énergies, positives et négatives. Ce serait en somme l’équivalent du Yin et du Yang de la philosophie chinoise.
Ces deux énergies forment un fond que j’appelle "I-ther" qui représente un état d’équilibre entre ces deux sortes de particules appelées "primaires". Les opposées peuvent se supprimer mutuellement pour ne laisser que le néant du vide, une représentation de l’annihilation mutuelle. A l’inverse, la création est l’apparition d’éléments opposés à partir du vide.

Cette énergie-là est la substance dont est construit l’univers. En fait, l’énergie négative résulte de l’inversion des forces d’action et réaction des lois de Newton. Dans ce sens, les particules réelles, dites "primaires", positives ou négatives, peuvent s’annuler mutuellement et laisser une énergie zéro. Cela revient à additionner +10 unités à –10 unités, ce qui donne zéro unité, l’annihilation, le néant. Réciproquement, la création serait l’apparition, à partir de zéro, de +10 unités et –10 unités

Comprendre simplement Up Page
Conservation de l'énergie et conservation du moment
Cette approche que j’avais décidé d’appeler Exact Classical Mechanics (ECM) [Mécanique Classique Exacte] devait être compatible avec tous les apports et toutes les avancées manifestes issus de la relativité. Et pourtant, la solution est apparue plus vite que prévu.
Dans l’ECM, la loi fondamentale de physique qu’est la conservation de l’énergie est respectée et pourtant l’univers peut surgir spontanément de rien; elle est aussi en accord avec l’électrodynamique quantique. Ainsi peuvent se produire la création ou l’annihilation pures. Mais comment déterminer laquelle des deux se produira dans des circonstances données ? La réponse se trouve dans une autre loi fondamentale de la physique: la conservation du moment.

Domaines de présence Up Page
Hermétisme de l’establishment
Sous prétexte que "la relativité a résisté à l’épreuve du temps", et sans même accepter le débat, toutes les revues scientifiques ont alors refusé de publier ma théorie. Heureusement, j’ai reçu l’appui d’un personnage qui avait toujours été très critique à l’égard de la relativité, le Dr Louis Essen FRS, physicien et célèbre inventeur de l’horloge atomique au cæsium. Impressionné par l’alternative que je proposais, il a suggéré que je le représente à une conférence qui devait avoir lieu en Russie où, d’après lui, les gens font preuve d’une plus grande ouverture d’esprit. C’est ainsi que ma recherche a été publiée, en 1994, par l’Académie Petrovskaja des Sciences et des Arts, devenue plus tard l’Académie des Sciences de Russie; puis en 1997 dans Frontier Perspectives, et enfin en Inde, en 2005. L’ECM a été examinée par plusieurs scientifiques, dont le Nobel Brian Josephson, et aucun d’eux n’a décelé de faille dans sa logique.

Hélas ! Toutes mes démarches auprès des revues scientifiques sont restées lettres mortes, ce qui est révélateur du manque de compétence en mécanique et thermodynamique de tous les experts, sauf un: le professeur Jean-Pierre Vigier, de Paris [directeur de recherche au CNRS, décédé en 2004]. Dans sa réponse du 2 août 1987, il reconnaissait la validité de ma première critique dont il souhaitait la publication dans Physics Letters, où il était conseiller en gravitation… en vain ! Ainsi que le souligne avec amertume le physicien australien Brian Martin (1997), l’establishment de la physique opère à huis clos et refuse de prendre en considération des solutions émanant d’autres disciplines.

Son interprétation dans l'avenir Up Page
Survival Physic
L’I-ther possède une structure filamenteuse qui imprègne un fluide auto-généré de particules primaires obéissant à une loi mathématique. Je formule l’hypothèse qu’au fil des âges, cette structure a développé une intelligence lui permettant d’organiser ses propres énergies de manière à donner l’impression que la matière existe, gouvernée par quatre forces de la nature. La conscience serait apparue comme faisant partie d’une ultime réalité. Cette théorie offre ainsi une explication du "paranormal" et de la sur-vie.
[NdT : Nous avons traduit le terme survival par "survie", car il est employé à la fois dans au sens spirituel: la vie après la vie (ou après la mort), et au sens physique: la survie de l’humanité.]
Dans ce modèle cosmologique, les phénomènes psychiques et la vie après la mort apparaissent en tant qu’effets réels. Cela implique qu’il n’est plus possible d’exclure le "paranormal" du domaine de la physique.

Aucune théorie abordant le paranormal ou la sur-vie n’est recevable tant que la relativité tient le haut du pavé, car celle-ci est incompatible avec l’existence d’un quelconque substrat. C’ est sans doute pour cette raison que ce sujet est rejeté.

Quelques scientifiques sont disposés à rejeter le point de vue de l’ establishment et tentent d’élaborer des théories qui ouvrent la physique au paranormal. Des propositions intéressantes ont été faites notamment par le professeur Carr et le Nobel Brian Josephson lors d’une conférence SPR (Society for Psychical Research) le 24 avril 2004.

Les références Up Page
Réseau Pepe
Nexus mars-avril 2008 n°55

Pourquoi ce site
Je crois que, si les êtres humains que nous sommes ne parviennent pas toujours à évoluer comme ils le souhaiteraient _à s'épanouir professionnellement, sentimentalement et sexuellement (ce que j'appelle les trois pôles d'intérêts) c'est parce qu'il y a des barrages qui entravent leur désir d'accéder à un rêve inachevé. Je pars du principe que tout est possible, à condition de s'entourer de gens qui nous poussent à croire en nous.

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Mais encore … Up Page
Ce que vous avez toujours voulu savoir
Au cours de l’année 1988, mon étude m’amenait également à envisager la conscience comme un phénomène sub-quantique impliquant l’immortalité. J’ai rencontré Michael Roll, qui m’a donné accès à une surabondance d’indices indiquant combien la pensée scientifique dominante se fourvoie à ce sujet. En 2004, dans un article pour la Paranormal Review, Roll revient sur cette question en citant la recherche expérimentale sur les phénomènes psychiques dont Sir William Crookes (1871) a été l’initiateur et que d’autres scientifiques ont reproduit avec succès par la suite. Récemment, dans un document intitulé Scole Report, M. Keen, A. Ellison et D. Fontana (1999) ont fait état d’une série d’expériences très convaincantes sur la médiumnité.

Structure de l'I-ther
La matière et les quatre forces de la nature qui semblent contrôler la structure de l'I-ther apparaissent comme une réalité semi-virtuelle, une illusion créée par la conscience pour s’y établir. Ces quatre forces n’existent pas vraiment. L’explication diffère totalement de celle fournie par l’espace-temps courbe ou les dimensions supérieures à forte courbure.

Un I-ther intelligent
La structure de l’I-ther est capable de générer de la puissance automatiquement n’importe où, chaque cellule fonctionnant comme une petite machine à vapeur. Le fluide de primaires en surrégénération est comparable à une source de chaleur parfaite et les centres d’annihilation dans chaque cellule équivalent à des sources froides. Telles sont les conditions fondamentales de toute machine à chaleur, dont celles à vapeur. Cependant la production de puissance de l’I-ther ne peut se manifester que sous forme d’ondes.
Celles-ci se propagent dans le fluide constitutif de l’I-ther à la manière des ondes sonores dans l’air. Elles doivent être organisées de façon intelligente par la conscience de l’I-ther afin de produire ce que nous appelons la matière; donc une partie de l’émission de puissance doit servir à animer la fonction calculatrice de l’I-ther (I-ther intelligent).
La raison pour laquelle le monde quantique doit fonctionner selon une mécanique ondulatoire semble maintenant évidente: les ondes sont les seuls outils disponibles !

Un monde de vibrations
Les expériences réalisées par les physiciens quantiques font apparaître un système numérique très curieux fondé sur des motifs d’interférences d’ondes, des grilles abstraites utilisées comme nous utilisons des nombres. Ces ondes abstraites servent de signaux complémentaires aux ondes réelles pour les orienter vers des points de concentration. Or des ondes se déplaçant en sens contraires deviennent "stationnaires", c’est-à-dire des vibrations. Nous pouvons donc affirmer que le monde est fait de vibrations, et c’est exactement ce qui nous est dit à travers les communications de nombreux médiums.
Les électrons sont confinés à des orbites pour former les sphères de nuages d’électrons entourant les noyaux atomiques. Les grilles d’ondes abstraites fonctionnant comme des nombres doivent donc être infléchies en trajectoires circulaires. Une autre sorte de nombres interviendra, assimilables à des charges électriques, comme des étiquettes issues de la banque de mémoire de l’I-ther. L’une identifiera telle crête de densité comme étant un électron, dit négatif; une autre identifiera telle autre crête en tant que proton, dit positif. La paire de nombres, déterminant une charge, modifient le calcul de manière à infléchir la grille d’ondes abstraites pour former une sphère. La ligne pointillée se présente en cercles assurant le confinement de l’électron.

Réseau de l'I-ther avec âme, cerveau et matière
Les âmes (consciences) figurent comme des portions évoluées du réseau structurel de l’I-ther. Chacune possède une barrière informationnelle filtrante, programmée dans l’I-ther, séparant le subconscient du conscient. Seul ce dernier agit sur le cerveau présumé fonctionner comme un servomécanisme. La barrière filtrante garantit que la seule information qui puisse atteindre le conscient soit reflétée par la matière. Des yeux connectés aux cerveaux regardent tous un objet cristallin. C’est ainsi que tous les conscients sont maintenus dans l’illusion qu’ils sont des individus isolés, de sorte qu’ils puissent acquérir de l’expérience en interagissant de manière cohérente. Cependant, tous les subconscients de l’univers sont interconnectés par la structure I-ther amorale et c’est cet ensemble qui génère l’univers matériel. Seules des fuites contrôlées dans les barrières filtrantes de deux personnes – bénéficiant d’une sorte de résonance – permettent un transfert d’information par télépathie.

Bosons illusoires
Il n’est nul besoin de charge, ni de force électrique réelle. Faire intervenir une telle force serait redondant, comme porter à la fois une ceinture et des bretelles. Et puisque le magnétisme est de la charge en mouvement, la force magnétique acquiert aussi un caractère abstrait. Quant à la force nucléaire forte, elle n’est nécessaire que pour empêcher les protons de s’écarter à cause de la répulsion de charge électrique, mais comme cette dernière est abstraite, la force nucléaire forte l’est également. Venons-en à la force nucléaire faible qui régit la désintégration radioactive. Cela implique des projectiles éphémères, les "bosons" W et Z, qui provoquent la fission des noyaux instables. Ceux-ci ne sont que des crêtes de densité générées de manière aléatoire.
Ainsi donc, trois des quatre forces de la nature apparaissent en tant qu’abstractions, elles ne sont pas réelles. Reste la quatrième, la gravitation, et celle-ci pourrait aussi s’avérer abstraite, comme les précédentes. Ici surgit une complication parce que les effets comparables aux prédictions de l’« espace-temps courbe » d’Einstein doivent être inclus dans les prédictions de la présente théorie.

La densité zéro, condition de la télépathie
Les ondes réelles qui implosent et génèrent les crêtes qui représentent toutes les particules sub-atomiques d’objets massifs comme le Soleil causent un accroissement local de la densité de l’I-ther. L’excédent traverse par percolation la structure poreuse de l’I-ther et produit des gradients de densité de ce dernier. La théorie ECM conclut aussi à l’existence de ces gradients et offre des effets parallèles à ceux de la relativité générale.
Autre caractéristique importante: chaque filament d’annihilation va comporter un mélange de masses de densités positives et négatives, de sorte que leur somme égale zéro. La densité zéro est la condition de propagation de l’information à une vitesse infinie. Cela révèle un mécanisme qui expliquerait la nonlocalité et la télépathie. L’information pourrait être transmise instantanément de n’importe quel point de l’univers à n’importe quel autre. La propagation de l’information n’est donc plus limitée à la vitesse de la lumière, comme dans la relativité. En fait, certaines expériences de vision à distance permettent de déduire que l’information se déplace plus vite que celle-ci.

Des expériences de vision à distance conduites au cours d’une journée d’étude de la SPR le 24 avril 2004 ont été décrites par Edwin May et publiées plus tard dans la Paranormal Review (2005). Il s’agissait de la vision de Io, satellite de Jupiter. Le satellite a été observé au moment où il disparaissait dans l’ombre de la planète. Les phases de cette disparition ont été déterminées à quinze reprises avec une précision de dix secondes, mais l’événement n’a été observé au télescope que quarante minutes plus tard. May avança alors l’hypothèse que la différence de temps pouvait s’expliquer par la précognition et suggéra qu’une nouvelle sorte d’espace était peut-être concerné.

Près de quatre fois la vitesse de la lumière
Mais il y a peut-être une autre explication. Tandis que la Terre et Jupiter parcourent leurs orbites, la distance qui les sépare varie d’un maximum de 967 800 000 km à un minimum de 588 800 000 km. Même lorsqu’elles sont au plus loin, la lumière, qui se déplace à 300 000 km/s, met 53,8 minutes pour parcourir cette distance. Donc le temps maximal de la vision à distance eut été de 53,8 – 40 = 13,8 minutes, ce qui donne une vitesse correspondante de 1 170 000 km/s, soit 3,9 fois la vitesse de la lumière. La Physique de la Sur-vie prédit que la télépathie se propage à une vitesse infiniment grande, ce qui correspondrait à une distance de séparation de 720 000 000 km, soit environ la moyenne entre les deux extrêmes. [NdT : 720 000 000/300 000 = 2 400 sec., soit 40 min.] Si May avait inclus la date de l’expérience, un astronome aurait pu calculer la distance qui séparait les deux planètes à ce moment. On aurait alors pu comparer avec les valeurs données ici.

Des preuves de la vie après la vie
Victor Zammit (2006) offre quantité de preuves de l’existence de la vie après la vie. Emma Heathcote-James (2004) en apporte d’autres, et de nombreux livres traitent du sujet. J’en apporte davantage dans ma nouvelle vulgarisation (Pearson 2008).

[NdT : Dans l’exposé qui suit, nous avons traduit le terme mind par "âme" – indépendamment de toute notion religieuse – dans le sens de "conscience" afin d’éviter la confusion avec les deux termes utilisés plus loin pour désigner les zones psychiques distinctes que sont le conscient et le subconscient.]

Le "paranormal" s’explique brièvement comme suit: le cerveau est entouré d’une âme, fragment hautement évolué de la structure de l’I-ther, et par conséquent immortelle. Chaque âme comporte un sub-conscient et un conscient séparés par une barrière informationnelle filtrante entourant ce dernier. Le conscient enveloppe et régit le cerveau matériel. Cependant, les sub-conscients de tous les esprits sont interconnectés par la structure de l’I-ther et forment la supra-conscience génératrice d’univers parallèles interpénétrés; les mondes de l’esprit et le nôtre. La barrière informationnelle filtrante laisse passer l’information de tous les conscients vers leurs subconscients respectifs dans le but d’enrichir le "tout" des expériences individuelles.