Homme-poisson
La petite histoire
Comprendre simplement
Domaines de présence
Son interprétation dans l'avenir
Les références
Mais encore …
by Pepe ©
 
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La petite histoire  Up Page
Origine, raisons, hasard
Un inventeur israélien a mis au point un système qui permet de récupérer l'air dissout dans l'eau, comme le font les poissons avec leurs branchies.

Comprendre simplement  Up Page
Vulgarisation, de 7 à 77 ans
Il existe déjà des systèmes qui créent de l'oxygène par électrolyse de l'eau, mais ils consomment beaucoup d'énergie et ne sont pas envisageables sur les petits sous-marins, encore moins pour un plongeur. Les bouteilles d'air comprimé, quant à elles, ont trois inconvénients majeurs : leur capacité est limitée, l'équipement est onéreux et nécessite un entretien particulier, et le poids des bouteilles varie pendant la plongée, selon la quantité d'air contenue. L'atout majeur de ce nouveau système, qui pourrait être adapté aux plongeurs et aux sous-marins, est sa quasi-autonomie sous l'eau.

Domaines de présence  Up Page
Monde présent
L'idée de cet inventeur, Alon BODNER, est de récupérer l'air dissout dans l'eau (par le vent et les vagues), à la manière des branchies. Même à 200 mètres de profondeur, il y a 1,5% d'air dissout dans l'eau, ce qui serait suffisant pour respirer avec un circuit fermé. A. BODNER a exploité la loi de Henry : abaisser la pression de l'eau à l'aide d'une centrifugeuse pour relâcher le gaz qu'elle contient. Un kilogramme de batterie au Lithium peut alimenter le système pendant une heure de plongée.
Selon l'inventeur, un prototype de ce système pourrait être opérationnel dans environ deux ans (pour 2007).

Son interprétation dans l'avenir  Up Page
Lunettes inview
La mise au point, par une étudiante de l'Université de Brunel, de nouvelles lunettes de natation, va permettre aux nageurs de se concentrer sur leur technique et de contrôler leurs temps. Katie Williams, étudiante en design indutriel, a développé des lunettes de natation qui affichent le nombre de longueurs effectuées ainsi que le temps de nage et ce à l'intérieur des verres en ligne directe avec la vision du nageur. Ces lunettes appelée "Inview" sont composées d'un appareil électronique muni d'un compas placé à l'arrière de la tête du nageur. Lorsque le nageur entre dans l'eau il active ses lunettes, le compas détermine alors dans quelle direction il se déplace et le temps et le nombre de longueurs effectuées par le nageur s'affichent. En effet, le compas détecte le changement de direction et permet de faire un décompte précis du nombre de longueurs parcourues. Katie Williams, ancienne maître nageur, a voulu faciliter l'entraînement des nageurs qui, pour vérifier leur temps, doivent regarder leur montre à leur poignet, ralentissant et altérant leur style et leur rythme.

Les références  Up Page
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Je crois que, si les êtres humains que nous sommes ne parviennent pas toujours à évoluer comme ils le souhaiteraient _à s'épanouir professionnellement, sentimentalement et sexuellement (ce que j'appelle les trois pôles d'intérêts) c'est parce qu'il y a des barrages qui entravent leur désir d'accéder à un rêve inachevé. Je pars du principe que tout est possible, à condition de s'entourer de gens qui nous poussent à croire en nous.
 
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Mais encore …  Up Page
Pourquoi nous avons deux narines
Nos ancêtres aquatiques avaient deux orifices nasaux antérieurs pour laisser entrer l'eau et deux postérieurs pour l'évacuer. Leur "nez" ne leur servait pas à sentir mais seulement à respirer. L'évolution vers le nez que nous connaissons actuellement a débuté avec l'arrivée des vertébrés sur la terre ferme qui s'est combinée avec le déplacement de deux des orifices nasaux. Ils ont d'abord pris place dans la mâchoire puis se sont déplacés vers le pharynx. Aujourd'hui, nous respirons donc à travers deux sinus nasaux par lesquels nous pouvons, en plus, sentir ce que nous mangeons ou buvons.
 
Lorsque l'air arrive dans le nez, il passe d'abord un goulot d'étranglement puis est réchauffé et humidifié à l'arrière. Là, une petite partie du sinus est tapissée de muqueuse ou des millions de cellules neuro-sensorielles, spécialisées dans la perception des molécules olfactives, sont immobilisées. Après fixation
 
"d'odeurs" sur leurs récepteurs spécifiques de surface, un signal nerveux est transmis au cerveau, le long du nerf olfactif. Hors des muqueuses, un autre nerf est impliqué dans l'odorat: le nerf trijumeau. Ses terminaisons réagissent à une stimulation chimique mais seulement si les composés sont présents en concentration importante.
 
"Nous pouvons sentir en stéréo", précise Thomas Hummel, responsable du département "Gout et Odorat" du centre Hospitalier Universitaire de Dresde. "Cependant, c'est seulement lorsque le nerf trijumeau est stimulé que l'on peut différencier finement les odeurs". Une inspiration courte et intense aide à distribuer plus efficacement les molécules odorantes dans le nez. Les scientifiques ont également pu montrer que la deuxième narine ne servait pas seulement à respirer en stéréo mais aussi à mieux respirer. En inspirant 50% d'une odeur dans chacune des narines, elle est percue plus intensément que si elle empruntait seulement un sinus.