Génome du corail
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Les références Up Page Réseau Pepe BE Australie Pourquoi ce site Je crois que, si les êtres humains que nous sommes ne parviennent pas toujours à évoluer comme ils le souhaiteraient _à s'épanouir professionnellement, sentimentalement et sexuellement (ce que j'appelle les trois pôles d'intérêts) c'est parce qu'il y a des barrages qui entravent leur désir d'accéder à un rêve inachevé. Je pars du principe que tout est possible, à condition de s'entourer de gens qui nous poussent à croire en nous. Contribuer au Réseau Pepe Ce site est avant tout une encyclopédie ouverte à l'imagination et au savoir, où chacun(e) d'entre vous peut participer. Si vous avez envie de partager une passion, ou si vous sentez le besoin de vous exprimer sur un point précis, je vous invite à m'adresser un e-mail (adresse électronique accessible sur ma page d'accueil). |
Particularités Up Page Ce qui la distingue des autres Semblable à celui de l'homme Le corail possède à peu près le même nombre de gènes que les humains. Ce résultat inattendu issu de l'analyse de l'une des espèces de corail les plus abondantes en Australie, le corail Acropora, remet en question nos idées sur la façon dont ont évolué les différents organismes. Les chercheurs de l'Université Nationale Australienne et de l'Université James Cook, qui ont jusqu'à présent trouvé 6.000 gènes, suggèrent que le génome de ce corail en contient environ 20.000. Malgré sa structure apparemment simple, le polype semblerait être un organisme biochimiquement complexe. Un certain nombre de gènes trouvés dans le corail existent chez les humains mais sont absents chez la drosophile et les nématodes, espèces modèles couramment étudiées pour accroître notre compréhension de la génétique et de la biologie du développement. Il semblerait donc que le corail et les vertébrés possèdent un ancêtre commun, et que la mouche du vinaigre et les nématodes ont perdu des gènes pendant leur évolution. Ces résultats indiquent également que l'ancêtre commun des humains et du corail possède un génome plus vaste et une complexité biochimique plus importante qu'on ne le pense. La connaissance du génome du corail permettrait en outre d'étudier des mécanismes biochimiques intrinsèques aux coraux comme ceux qui régissent le contrôle de leur symbiose avec des micro- algues, association qui peut conduire au blanchiment des récifs. |
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