Explorateurs Phéniciens
Canaries et les Açores
De la Cornouaille à la Crète
Divinités de l'Ancien Monde
Phénicien au Guatemala
Les références
Dans la jungle brésilienne
by Pepe ©
 
Accueil Arborescence Page précédente


La petite histoire Up Page
Canaries et les Açores
Vers 600 av. J.-C., le pharaon d'Egypte Néchao II chargea ces marins intrépides d'accomplir la circumnavigation de l'Afrique. Les Phéniciens de Carthage sillonnèrent également l'Atlantique: contournant la péninsule Ibérique, ils abordèrent aux Canaries et parvinrent même jusqu'aux Açores, où des monnaies puniques furent découvertes dans l'île de Corvo, au XVIIIe siècle.

On considère généralement que les Phéniciens atteignirent les Açores. Sur la plus occidentale de ces îles, Corco, on dit qu'il y aurait eu des découvertes de monnaies carthaginoises (en 1749), des rumeurs persistantes (quoique obscures) de l'existence de ruines phéniciennes, y compris la découverte, lorsque les Portugais y arrivèrent, "d'une statue équestre désignant l'ouest", qui, si cela est vrai, aurait été détruite depuis très longtemps.

Comprendre simplement Up Page
De la Cornouaille à la Crète
La plus célèbre des routes maritimes est la route de l'étain qui va de la Cornouaille britannique à la Crète en passant par Lyon. D'autres routes nous sont moins bien connues, notamment la route de l'or allant des mines du roi Salomon quelque part en Afrique, jusqu'à Jerusalem.

Il existe également une route de l'obsidienne qui va de l'Arménie à l'Espagne et _aussi fantastique que cela puisse paraître_ une route de l'uranium.
L'obsidienne est un verre naturel noir, en provenance des volcans, qui servait, il y a dix mille ans, à fabriquer des outils coupants.

Vers 425 av. J.-C., Himilcon (navigateur carthaginois) fit voile sur la Bretagne, traversa la Manche et explora la Cournailles, où il organisa le lucratif commerce de l'étain.

Domaines de présence Up Page
Divinités de l'Ancien Monde
L'hypothèse phénicienne est loin d'être absurde, car l'abondance des traces d'apports sémitiques au Nouveau Monde, dans le langage et les techniques, est tout à fait confondante. Un exemple: ces divinités révérées (traitées avec le plus profond respect) par les Indiens de l'Amazonie sous les noms de Keri et de Kamiso, Keri étant pourtant une déesse carthaginoise et Kamisi une divinité des Moabites.

Son interprétation dans l'avenir Up Page
Phénicien au Guatemala
Serait-ce un habitant de Phénicie que l'artiste précolombien voulut ainsi représenter ? De type sémite très pur, avec son ovale allongé, son nez large et incurvé, sa barbe en pointe, ce fin visage, coiffé d'un diadème, orne un brûle-parfum qui fut exhumé à Iximche, au Guatemala.

Les références Up Page
Réseau Pepe
Derniers Mystères du Monde Sélection du Reader's Digest
Livre de Inexplicable Jacques Bergier - J'ai lu 1972
Rêveries, hypothèses et impostures Guy Rachet
Science & Vie décembre 1970 n°639

Pourquoi ce site
Je crois que, si les êtres humains que nous sommes ne parviennent pas toujours à évoluer comme ils le souhaiteraient _à s'épanouir professionnellement, sentimentalement et sexuellement (ce que j'appelle les trois pôles d'intérêts) c'est parce qu'il y a des barrages qui entravent leur désir d'accéder à un rêve inachevé. Je pars du principe que tout est possible, à condition de s'entourer de gens qui nous poussent à croire en nous.

Contribuer au Réseau Pepe
Ce site est avant tout une encyclopédie ouverte à l'imagination et au savoir, où chacun(e) d'entre vous peut participer.
Si vous avez envie de partager une passion, ou si vous sentez le besoin de vous exprimer sur un point précis, je vous invite à m'adresser un e-mail (adresse électronique accessible sur ma page d'accueil).

Ce que vous avez toujours voulu savoir Up Page
Dans la jungle brésilienne
En 1872, à Parahyba (actuelle Paraïba), au Brésil, fut découverte une pierre qui portait une inscription en huit lignes dont les caractères n'appartenaient très évidemment pas aux cultures connues de l'Amérique du Sud.

Selon le Dr Cyrus H. Gordon de l'université Brandeis (De Waltham, Massachusetts, USA) l'usage des mots dans l'inscription de la pierre de Parahyba est correct.

De son côté, le Dr Jules Piccus, de l'université du Massachusetts à Amherts confirme l'existence d'un carnet de notes ayant appartenu à Wilbeforce Eames, l'un des conservateurs en chef de la New York Public Library au XIXe siècle. Dans ce carnet, se trouvait une lettre du 31 janvier 1874 adressée à Mr Eames pour le Pr Netto. Le Dr Piccus montra cette lettre au Dr Gordon. Celui-ci en conclut que la transcription des caractères dans la lettre était plus plausible que la version "définitive" précédente, publiée en 1899.

Egalement en 1872, un ingénieur du nom de Francisco Pinto prétendit avoir découvert dans plus de vingt cavernes dans la jungle brésilienne; en tout, environ 250 inscriptions. Sur l'invitation du gouvernement brésilien, le philosophe allemand, Ludwig Shoenhagen, vint au Brésil, étudia les inscriptions pendant quinze ans et les déclara phéniciennes.

Le bulletin New World Antiquity (Markham House Press Ltd, Brigthon, Angleterre) signale dans son numéro de septembre/octobre 1971 l'ouvrage The Parahyba Phoenician Inscription, publié par son auteur, Mr Joseph Ayood (Aliquippa, Pa, U.S.A., 1971) qui est la traduction en anglais de son livre intitulé Sakhrat Barahyba, publié à Beyrouth en 1961. On y trouve cette nouvelle traduction de l'inscription: "Nous couchons au tombeau (le) fils de Canaan venu de SRNM (Surinam), la ville en ruines et un entrepôt abandonné. Pas moi YZD (Yazid) le graveur à midi et des gens qui recherchent le meilleur de toute chose. Et ainsi les neuvième et dixième années de HRM (Hiram), notre roi trépassa. (Avions) quitté joyeusement ASU (Ezion-Geber) pour un embarcadère sur la mer Rouge et fîmes voile avec dix navires. Tous hélas disparurent pour moi: Hor et Chittim (noms des navires) furent jetés sur cette terre maudite; chaleur, froit et tempêtes de neige. Mir Baal et Lan (navires) qui voguaient de conserve, peut-être les reverrons échappés aux tempêtes. Moururent venus de KSHN (Kazakhstan ?), six personnes de Mbayh (six Koushites de Mbeye), R (Rab, le capitaine) et un nombre de dix hommes périrent. Des pertes pour moi et (mais) pourquoi pour (mon) camarade Hnna (Hanno)."

Il ne fait aucun doute que les inscriptions sont d'origines phéniciennes, ugaritiques et autres langues sémitiques du Nord-Ouest.