Déluges et Fonds Marins
La petite histoire
Comprendre simplement
Domaines de présence
Son interprétation dans l'avenir
Les références
Mais encore …
by Pepe ©
 
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La petite histoire  Up Page
Origine, raisons, hasard
Un article soutenant la thèse de l'existence de l'Atlantide a été publié dans le numéro de novembre 1948 du Science Digest, qui étudie les arguments les plus probants de Donnelly.
Il aborde le sujet scientifiquement en comparant les fonds marins et les terrains avoisinants et en mentionnant l'existence de configurations troublantes: montagnes, vallées, plaines traversées de tranchées ou de fosses évoquant des rivières et des lacs.
 
Mythes et légendes
Les anciennes cultures comportent presque toutes des mythes et légendes évoquant un monde précédent et sa destruction par un cataclysme; les Mayas, les Aztèques et les Hopis pensaient par exemple que quatre mondes, voire plus, avaient précédé le nôtre.
Les livres les plus répandus dans le monde comme la Bible, le Mahabharata, le Coran ou le Dao De Jüng parlent tous d'anciennes civilisations détruites etde cataclysmes dont rien ne dit que la destruction de l'Atlantide soit le dernier.
 
L'Apocalypse
Le mot Apocalypse vient d'une racine grecque "Apo Kaluptein" latinisé en "Apocalypsim", qui signifie découverte ou révélation.
De nombreuses cultures évoquent l'histoire d'un déluge apocalyptique: une nuit chez les Mongols, cinq ans en Chine du Sud, contre quarante jours pour Noé.

Comprendre simplement  Up Page
Lave solidifiée
Au large des Açores, où fut déposé un câble télégraphique en 1898 (reliant Brest au Cap Cod), le fond rocheux, escarpé, présentait des difficultés et les grappins devaient être nettoyés assez fréquemment.
Au microscope, on a découvert que certaines de ces particules de matière étaient de la lave, qui avait dû être solidifiée à l'air libre, car elle était d'une structure vitreuse. La lave solidifiée sous l'eau est de nature cristalline. La région sous-marine avait dû se trouver au-dessus de l'eau à une certaine époque.
 
Le fond de la mer, dans ces parages (47°0' de latitude nord et 29°40' de longitude ouest), présente des caractères d'un pays montagneux avec de hauts sommets, des pentes raides et des vallées profondes. Les sommets sont rocheux et il n'y a de vase que dans le creux des vallées. Le grappin, en parcourant cette surface très tourmentée, se prenait constamment dans des roches à pointes dures et à arêtes vives; il revenait presque toujours cassé ou tordu, et les tronçons remontés portaient de grosses et larges stries et des traces de violentes et rapide usure.
A plusieurs reprises, on trouva entre les dents du grappin de petites esquilles minérales, ayant l'aspect d'éclats récemment brisés. Toutes ces esquilles appartenaient au même genre de roches. L'avis unanime des ingénieurs qui assistaient au dragage fut que les éclats en question avaient été détachés d'une roche nue, d'un véritable affleurement, acéré et anguleux. La région d'où provenaient les éclats était d'ailleurs précisément celle où les sondages avaient révélé les plus hauts sommets sous-marins et l'absence presque complète de vase. Les esquilles, ainsi arrachées à des affleurements rocheux du fond de l'Atlantique, sont d'une lave vitreuse, ayant la composition chimique des basaltes et appelée tachilithe (ou tachylithe) par les pétrographes.
Une telle lave, entièrement vitreuse, comparable à certains verres basaltiques des volcans des îles Sandwich, n'a pu se consolider à cet état que sous la pression atmosphérique.  Sous plusieurs atmosphères, et à plus forte raison sous 3100 mètres d'eau (comme  c'est le cas ici), elle aurait certainement cristallisé. Par conséquent, la terre qui constitue aujourd'hui le fond de l'Atlantique à 900 km au nord des Açores, s'est effondrée, descendant de 3000 mètres; et comme la surface des roches y a gardé l'allure tourmentée, les rudes aspérités, les arêtes vives des coulées laviques très récentes, il faut que l'effondrement ait été brusque.
 
Fonds vaseux
"Or donc, dans cette île Atlantide, s'est formée une grande et merveilleuse puissance de rois. Elle dominait l'île entière, ainsi que beaucoup d'autres îles et de parties du continent. Les rois régnaient sur la Libye jusque vers l'Egypte, sur l'Europe jusqu'à la Tyrrhénie.
Mais, voilà que, rassemblant toutes ses forces, cette puissance, se jetant sur la Grèce, entreprit de l'asservir. Athènes l'emporta finalement sur ses agresseurs. Mais, dans le temps qui suivit, il se fit des tremblements de terre violents et des cataclysmes. Dans l'espace d'un jour et d'une nuit funeste, l'île Atlantide s'enfonça sous la mer et disparut. De là vient que, de nos jours encore, la mer est impraticable, et inexorable, encombrée par les bas-fonds de vase que l'île a déposé en s'abîmant."

Ce passage du Timée, détaillé et confirmé dans le Critias (ou l'Atlantide), un autre des dialogues de Platon, entretient le "mystère atlante" depuis vingt-cinq siècles.

Domaines de présence  Up Page
Plantes d'eau douce
Un article de R.W. Kolbe publié en 1957 fait état de l'étude d'une "carotte" extraite à une profondeur de 3 000 mètres environ sur une portion de la dorsale Nord-Atlantique.
La découverte de plantes d'eau douce (diatomes) sur les sédiments prouve sans contexte que cette partie au moins de la dorsale s'est trouvée à une période ou une autre au-dessus de la surface des mers.
 
En procédant à des sondages dans le lit de l'Atlantique équatorial, le navire suédois Albatross a découvert, à une profondeur de plus de 3 219 mètres, des traces de plantes d'eau douce. Le professeur Hans Pettersson, chef de l'expédition, a émis l'avis qu'une île  avait été engloutie en cet endroit.
 
Cèdres, sapins et bouleaux
Il y avait jadis, sur les Grandes Bermudes, une vaste forêt de cèdres qui se trouve aujourd'hui sous l'eau. Le test au carbone 14 nous révèle que la forêt a disparu de la surface il y a 11 000 ans environ. On a pu constater que l'âge d'un amas de boue du lac Knockacran, en Irlande, appartenant à la dernière couche de glace, était vieille  de 11 787 ans. Une forêt de sapins près de Two Creeks, dans le Wisconsin, a été détruite par l'avance des glaciers, il y a environ 11 000 ans. C'est aussi il y a environ 10 800 ans que des bouleaux furent arrachés dans le nord de l'Allemagne par des blocs de glace mouvants.
 
Mollusques, madrépores et Atlantide
L'étude de la faune terrestre actuelle des îles des quatre archipels, Açores, Madère, Canaries, Cap-Vert, a convaincu M. Louis Germain de l'origine nettement continentale de cette faune; il y révèle même de nombreux indices d'une adaptation à la vie désertique. En particulier, la faune malacologique se rattache à celle de la région circaméditerranéenne, tandis qu'elle diffère de la faune équatoriale africaine. Les mêmes analogies avec la faune circaméditerranéenne s'observent dans les mollusques du quaternaire.
En second lieu, les formations quaternaires des Canaries ressemblent à celles de la Mauritanie et renferment les mêmes espèces de mollusques, par exemple les mêmes Helix. De ces deux premiers faits se dégage, pour M. Louis Germain, cette conclusion nécessaire, que les quatre archipels ont été liés au continent africain jusqu'à une époque très voisine de la nôtre, tout au moins jusque vers la fin du Tertiaire.
Troisième fait: il y a, dans les mollusques actuels des quatre archipels, des espèces qui semblent être les survivantes d'espèces fossiles du Tertiaire européen; et pareille survivance existe aussi dans la série végétale, une fougère, l'Adiantum reniforme, actuellement disparue d'Europe, mais connue dans le Pliocène du Portugal, continuant aujourd'hui de vivre aux Canaries et aux Açores.
Louis Germain déduit de ce troisième fait la liaison, jusqu'aux temps pliocènes, avec la péninsule ibérique, du continent qui embrassait les archipels; et la coupure de cette liaison pendant le Pliocène.
En quatrième lieu, les mollusques pulmonés qu'on appelle Oleacinidæ ont une répartition géographique singulière. Ils ne vivent que dans l'Amérique centrale, les Antilles, le bassin méditerranéen, et les Canaries, Madère et les Açores. En Amérique, ils ont gardé la grande taille qu'ils avaient en Europe à l'époque miocène; dans le bassin méditerranéen et dans les îles atlantiques, ils se sont fortement rapetissés.
Cette répartition géographique des Oleacinidæ implique évidemment l'extension jusqu'aux Antilles, aux débuts du Miocène, du continent qui embrassait, pendant Açores, Canaries et Madère, et l'établissement, pendant le Miocène ou vers sa fin, d'une coupure entre les Antilles et ce continent.
 
Restent deux faits, relatifs aux animaux marins et qui paraissent ne pouvoir s'expliquer, l'un et l'autre, que par la persistance, jusque très près des temps actuels, d'un rivage maritime courant des Antilles au Sénégal, et, même, reliant la Floride, les Bermudes et le fond du golfe de Guinée. Quinze espèces de mollusques marins vivent à la fois dans les Antilles et sur les côtes du Sénégal, et ne vivent pas ailleurs, sans que cette coexistence puisse s'expliquer par le transport des embryons. D'autre part, la faune de Madréporaires de l'île San-Thomé, étudiée par M. Gravier, comprend six espèces: une ne vit, en dehors de San-Thomé, que dans les récits de la Floride; et quatre autres ne sont connues qu'aux Bermudes. Comme la durée de la vie pélagique des larves de Madréporaires est seulement de quelques jours, il est impossible d'attribuer au jeu des courants marins cette étonnante répartition.
En tenant compte de tout cela, Louis Germain est conduit à admettre l'existence d'un continent atlantique lié à la péninsule ibérique et à la Mauritanie, et se prolongeant assez loin vers le sud, de façon à posséder quelques régions au climat désertique. Au Miocène encore, ce continent va jusqu'aux Antilles. Il se morcelle ensuite, d'abord du côté des Antilles, puis dans le Sud, par l'établissement d'un rivage marin qui va jusqu'au Sénégal et jusqu'au fond du golfe de Guinée, puis enfin dans l'Est, probablement au Pliocène, le long de la côte d'Afrique. Le dernier grand débris, finalement abîmé et n'ayant plus alors laissé d'autres vestiges que les quatre archipels, serait l'Atlantide de Platon.
 
Cascade souterraine
Les spécialistes de l'Arctique et de l'Antarctique viennent d'apporter peut-être une goutte d'eau supplémentaire à l'histoire de l'Atlantide. Il s'agit d'une chute d'eau géante, sur le fond de l'Océan Atlantique. Son débit est de plusieurs fois celui de tous les fleuves et rivières de toutes les terres émergées. Cette chute d'eau se situe sur les roches des barrières sous-marines séparant l'Atlantique des mers nordiques.
Cette masse d'eau froide, très riche en oxygène, contribuerait à raviver les profondeurs océaniques.

Son interprétation dans l'avenir  Up Page
Flèches et pointes solutréennes
René Malaise, dans sa "Géologie et les fonds marins", démontre que la majorité des configurations de terrain de la dorsale Nord-Atlantique, en particulier les gorges et les ravins, n'ont pas pu être provoquées par la turbulence de courants sous-marins mais ont dû se former alors que le fond marin se trouvait à la surface.
Son article présente aussi des dessins comparant des pointes de flèches trouvées à Sandia Cave, au Nouveau-Mexique (USA) avec des pointes solutréennes provenant de France et du Maroc.
Comme ces flèches seraient vieilles de 25 000 ans, Malaise en conclut que ceux qui les employaient se sont installés à l'est et à l'ouest de l'Atlantide.

Les références  Up Page
Réseau Pepe
ARTvision
Atlantide et le règne des géants Denis Saurat
Atlantide et continents disparus Guy Rachet
Géo avril 2005 n°314
Le Grand Livre des ENIGMES France Abonnements
Mu, le continent perdu (I) James Churchward
Science & Vie septembre 1960 n°516
Sens de la Vie
Technologies des Dieux David Childress
Visions de l'Atlantide Edgar Cayce
 
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Mais encore …  Up Page
Dépôts marins en altitude
Les vestiges prodigieux que l'on découvre dans les Andes à 4 000 mètres d'altitude, était jadis baigné par les océans. Cela est prouvé par une ligne de dépôts marins que l'on peut suivre pendant 800 km à ces altitudes.
 
Animaux marins
Les trous creusés par des animaux marins dans les fameuses murailles colossales de Tiahuanaco, au Pérou, à 3 000 mètres d'altitude; ne concordent pas du tout avec notre connaissance de l'histoire de l'évolution des espèces depuis des temps reculés.
 
Empire aztèque
Quatre mondes, ou Soleils, ont précédé le nôtre. Le premier était peuplé de géants, qui furent dévorés par des jaguars. Le deuxième fut détruit par des ouragans, et les hommes se transformèrent en singes. Le troisième succomba sous une pluie de feu. Enfin, un déluge vint à bout du quatrième et les hommes furent changés en poissons. Notre ère, le cinquième Soleil, est également vouée à disparaître, anéantie par d'effroyables tremblements de terre.
 
Le déluge biblique
Las de la méchanceté de l'humanité, Dieu décida de l'anéantir. Il demanda à Noé de construire une arche, d'y embarquer sa famille et un couple de tous les animaux de la création, puis y déchaîna les cieux. Toutes les sources du grand abîme jaillirent et des pluies diluviennes s'abatirent sur le Terre pendant quarante jours et quarante nuits. Les eaux décrurent après cent cinquante jours, et l'arche s'arrêta sur le mont Ararat. Lorsque la terre fut sèche, Noé, sa famille et les animaux sortirent et repeuplèrent la planète.
 
La déesse Pélé

Pélé, la déesse du feu et des volcans, se querella aves sa soeur Mamakaokahai, la déesseocéane. Pélé se réfugia sur une île, dans un cratère au nord d'Hawaii, mais sa soeur noya le cratère. Cette course se répéta, donnant naissance à l'archipel. La dernière résidence de Pélé est le Kilauea où elle continue à se mettre en colère et à provoquer des éruptions.
Pélé, la farouche et vengeresse déesse du feu des Hawaiiens, est censée vivre dans le cratère du Kilauea. Cette figurine de bois possède de vraies cheveux et des yeux en coquillages.
 
La grenouille

Il y a fort longtemps, toutes les eaux du monde étaient concentrées dans le ventre d'une grenouille. Assoiffés, les animaux imaginèrent un stratagème pour libérer les eaux prisonnières. C'est une anguille qui remporta le défi: elle réussit à faire rire la grenouille en se contorsionnant. L'eau jaillit alors de sa gueule et envahit la totalité de la terre.
 
Gilgamesh
Mésopotamie. Vers 2 700 avant notre ère, Outa-Napishtim raconta à Gilgamesh, roi d'Ourouk, comment il reçut l'ordre divin de construire une embarcation pour sauver les siens et un couple de chaque espèce. Durant sept jours et sept nuits, le déluge dévasta la terre. Le septième jour, Outa-Napishtim lâcha une colombe, puis une hirondelle qui, n'ayant pas trouvé où se poser, revinrent à bord. Il libéra un corbeau qui repéra le retrait des eaux. Alors, le bateau s'ouvrit aux quatre vents.
 
Thor

Scandinavie. Fils d'Odin et de la géante Jord, le dieu nordique Thor parcourt le ciel orageux sur un char tiré par deux boucs. Il commande aux vents et à la foudre. Dieu du tonnerre et de l'orage, il combat Jormungand, le serpent qui enserre le monde et provoque raz-de-marée et trenblements de terre.
 
Namazu

Il existe dans les anciennes légendes japonaises un énorme poisson-chat appelé Namazu. Enfoncé dan la vase, au fond de la mer, sous les îles de l'archipel nipon, il provoquait de gigantesques trenblements de terre. Pour éviter ces catastrophes, le dieu Kashima fut chargé de le surveiller et de l'immobiliser.
 
Les écluses du ciel
Il y a longtemps, les dieux incas, déçus par les hommes, ouvrirent les écluses du ciel et les noyèrent. Du lac Titicaca, surgit une silhouette au visage barbu: le dieu créateur Viracocha. Muni d'un bâton, il se dressa sur l'île voisine et commanda aux astres d'apparaître.
 
La création
Parmi les peuples de la terre, il existe une légende de la création et dans tous les cas j'ai été frappé par la similitude de ces légendes, et je n'ai pu qu'en conclure qu'elles avaient une origine commune, et que leur genèse était Mu.
Les tablettes Naacals
Le septième commandement fut le plus difficile à traduire. Le déchiffrage en soi fut assez facile mais nous nous trouvâmes dans l'impossibilité de découvrir des mots dans nos langues modernes ayant exactement la même signification que ceux de cette langue morte (langue Naga-Maya).
Par exemple, "âme" et "esprit" ont été les plus proches que nous ayons pu donner à "ce qui a été placé dans le corps de l'homme", le mot "vivant" n'est peut-être pas exactement ce qu'on pensé les auteurs du texte original. Le mot "impérissable" est, sans nul doute, absolument correct.
Mais que veut dire au juste "à notre image" ? Certainement pas une ressemblance physique. Cela se refère probablement aux pouvoirs mentaux et mystiques, confirmés par cette phrase: "Donnons-lui le pouvoir de régner sur la terre".
La Bible
La Bible emploie un bon symbole quand elle parle du "souffle de Dieu". Quoi qu'il en soit, il est clair que cela signifie des "pouvoirs spéciaux reçus de Dieu", l'homme pouvant être ainsi considéré comme une partie de Dieu, comme la feuille fait partie de l'arbre. L'homme est venu de Dieu et doit y retourner.
Version scientifique
Aussi surprenant que cela puisse paraître, la version la plus scientifique - et celle qui, plus que toutes les autres, à part celle des Naacals, peut être confirmée par la géologie - est celle que l'on trouve chez les races à demi sauvages des îles du Pacifique, aux Marquises en particulier. Les Hindous, les Chaldéens, les Egyptiens, les Mayas et les Grecs plus tard, ont éliminé les côtés scientifiques, dans leurs récits de la création, et relaté au moyen de symboles les faits simples, sans les pourquoi ni les comment.
La raison en est donnée par Clément d'Alexandrie qui dit:
"Les Egyptiens gardaient le secret de leurs mystères et ne dégradaient pas leur connaissance des choses divines en les confiant aux profanes; ils les réservaient pour l'héritier du trône, et pour les prêtres qui excellaient en vertu et en sagesse."
Autrement dit, les significations ésotériques (ou cachées) n'étaient pas rendues publiques.

Le catéchisme
Il est absolument certain que la légende égyptienne de la création, d'après laquelle Moïse a écrit la Genèse, était venue de l'Inde quand les Naacals allèrent en Egypte comme missionnaires, pour y enseigner les sept écritures inspirées et sacrées, la religion et les sciences.
Par conséquent, l'histoire racontée aux enfants à l'école du dimanche et au catéchisme dans tout le monde chrétien d'aujourd'hui a son origine dans le continent de Mu.
Adam et Eve
Une légende similaire existe chez les sauvages et demi-sauvages des îles Polynésiennes. "Taaraa a créé l'homme de la terre rouge Ataca et a soufflé dans ses narines. Il a créé la femme des os de l'homme et il l'a appelé Evi."
En polynésien, Evi se prononce Eve-i.
On trouve des légendes semblables dans les écrits égyptiens.