Champ Subquantique: Généralités
La petite histoire
Comprendre simplement
Domaines de présence
Son interprétation dans l'avenir
Les références
Mais encore …
by Pepe ©
 
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La petite histoire  Up Page
Les sciences dites exactes évoluent en fonction des résultats de l’expérimentation et jamais nous ne pouvons avoir la certitude de posséder la bonne conception du phénomène. Prenons pour seul exemple celui de la lumière. Newton l’a présentée comme une émission de particules. Huyghens, balayant cette conception, la proclame comme une propagation d’ondes. Maxwell, détruisant à son tour cette assertion, la rattache aux ondes électromagnétiques. Et aujourd’hui nous admettons qu’il peut s’agir d’un aspect ondulatoire du phénomène lié à l’émission d’énergie ou photons, selon la théorie des quantas. Qu’en sera t-il demain?

Comprendre simplement  Up Page
Les Enigmes
Double fente de Young
De récentes expérimentations de physique nous offrent des énigmes déconcertantes. Dans l’expérience de la double fente, bien connue des physiciens modernes, un photon passe en même temps à travers deux orifices. Dans celle des faisceaux séparés les photons émis sont des corpuscules et ils interfèrent comme des ondes. Ni le temps, ni l’espace ne semblent avoir d’action contraignante sur l’effet d’interférence. Nous sommes dans l’obligation de dire que les photons empruntent plusieurs trajectoires à la fois ou bien que chaque photon sait ce que font les autres, quelle que soit la distance qui les sépare lors de leur émission. Il semble alors que, soit dans le temps, soit dans l’espace, des événements éloignés sont interconnectés et ces connexions sont quasi instantanées. Elles vont au-delà de ce qui est permis par la théorie de la relativité.

Alors, quelle sera la prochaine étape de notre conception qui nous permettra de pénétrer plus avant dans les secrets de l’univers et de concevoir des moyens technologiques nouveaux d’une ampleur insoupçonnée?

L'existence de l'Ether
Ces expériences récentes, mais aussi les travaux de certains chercheurs dont nous allons parler, nous prouvent qu’il va falloir revenir sur la conception actuelle d’un espace vide et reconnaître une erreur commise pendant plus d'un siècle.

Un certain nombre de physiciens reconnaissent l’erreur d’ Einstein qui affirmait que l’éther n’existait pas et que la gravitation était une conséquence des courbures de l’espace.

Ils reconnaissent en effet l’évidente contradiction que le néant puisse avoir des courbures, car cette affirmation, si elle satisfait un mathématicien dans l’abstrait, peut difficilement satisfaire un physicien. De plus, quand nous posons la question de savoir pourquoi la matière déforme les géodésiques de l’espace temps, personne ne répond. Nous sommes alors en droit de nous poser la question de savoir si ce n’est pas le milieu contenu dans cet espace qui est déformé.


Domaines de présence  Up Page
L'expérience de Michelson et Morley
La question étant posée, nous allons essayer de comprendre comment les physiciens de la fin du 19 ème siècle étaient venus à concevoir un espace vide.

A la fin du siècle dernier, ils essayaient de démontrer l’existence de l’éther, support, selon eux, des ondes électromagnétiques. Ils pensaient qu’il devait exister un courant au niveau de la surface de la terre, provoqué par le mouvement de celle-ci autour du soleil. De même qu’un nageur se trouve ralenti quand il remonte le courant d’une rivière et accéléré quand il le descend, de même la vitesse de la lumière devait être accélérée dans le sens du vent d’éther et diminuée dans l’autre sens.

Le montage d’optique réalisé par les physiciens Michelson et Morley, qui donnèrent leurs noms à l’expérience, permettait de calculer les vitesses de la lumière dans le sens de déplacement de la terre et de son opposé. Il fut prouvé, de manière irréfutable, que la vitesse était strictement identique dans les deux sens et les physiciens de l’époque conclurent que l’éther n’existait pas.

Et c’est là l’erreur fondamentale, car cette expérience ne prouve pas la non-existence de l’éther. Deux hypothèses auraient dues être émises :

1- Ou l’éther n’existe pas.

2- Ou l’éther existe, mais n’est pas entraîné au niveau du sol par le mouvement de la terre autour du soleil. En d’autres termes, la terre orbite autour du soleil et l'éther aussi.

L’expérience de Michelson et Morley est donc impuissante à prouver l'existence ou l'inexistence d'un éther... "Tout ce qu'elle permet de prouver, c'est si oui ou non la Terre se déplace par rapport à cet éther."

Il est vraiment incroyable que les physiciens de l’époque n’aient pas pensé à ce qui relève du simple bon sens et conclurent que s’il n’y avait pas de vent d’éther, il n’y avait pas d’éther non plus.

Pour les comprendre, il faut savoir qu’à l’époque les théories d'Einstein gagnaient un très fort appui auprès des milieux scientifiques, gràce à des observations célestes qui concordaient de près avec les valeurs qu'Eistein avait prévues. Les physiciens de l'époque se sont alors cru devoir rallier ses thèses. Einstein affirma en effet que l’espace était vide pour asseoir sa théorie, alors qu’elle eut aussi été valable s'il l’avait appliquée à un milieu dont nous révélerons plus loin les caractéristiques. Au lieu de dire que la matière courbait l’espace temps, il lui suffisait de dire que la matière modifiait la pression du milieu et que les lignes isobares de celui-ci, habituellement rectilignes, se courbaient par la présence de la matière. Nous verrons dans notre exposé sur l'origine de la force de gravitation qu'il y a identité entre le rayon de courbure de l'espace temps et l'inverse du gradient de la pression du champ et qu'il n'y a pas d'opposition entre l'existence d'un tel champ et les théories de la relativité.

Dans une biographie écrite quelque temps avant sa mort, Einstein admit d’ailleurs qu'il y avait une erreur fondamentale dans sa Relativité : il s'agissait pour lui d'une erreur qui, une fois corrigée, expliquerait comment la lumière, une forme ondulatoire évidente, pouvait se propager à travers un espace apparemment non-inertiel. Mais jamais il ne soupçonna qu’il puisse exister un champ subquantique, que les récentes expériences de physique permettent aujourd’hui d’appréhender.


Son interprétation dans l'avenir  Up Page
Réponse aux énigmes
Comment une simple particule ou grain de lumière pourrait-il passer par deux fentes en même temps, si ce grain de lumière n’était aussi une onde se propageant dans un milieu. De même dans l’expérience des particules jumelles, si ces particules étaient de simples grains se propageant dans le vide, comment la particule pourrait-elle être informée des mesures effectuées sur sa jumelle. Par contre, si nous avons affaire à des grains qui se déplacent dans un champ subquantique, les ondes latérales produites par le déplacement du grain dans le champ mettent les deux particules en relation et une modification apportée sur une particule sera perçue par l’autre, grâce à l’interaction des ondes latérales.

Maintenant que nous percevons la possibilité d'existence d'un milieu cosmique ou champ subquantique, nous allons aborder la passionnante question de la structure même de ce milieu.

Pour cela, nous ferons référence aux travaux de deux chercheurs dont l’un est français et l’autre américain.


Les références  Up Page
Réseau Pepe
Homme et l'Univers Jean Charon Albin Michel
 
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Je crois que, si les êtres humains que nous sommes ne parviennent pas toujours à évoluer comme ils le souhaiteraient _à s'épanouir professionnellement, sentimentalement et sexuellement (ce que j'appelle les trois pôles d'intérêts) c'est parce qu'il y a des barrages qui entravent leur désir d'accéder à un rêve inachevé. Je pars du principe que tout est possible, à condition de s'entourer de gens qui nous poussent à croire en nous.
 
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Mais encore …  Up Page
Le milieu subquantique de Bohm-Vigier
En prolongeant les idées de Helmholtz et Bolzman sur la thermodynamique statistique, pour en faire une thermodynamique relativiste, on était amené à constater que la variation de masse propre d'une particule n'était pas du tout un phénomène aussi singulier que beaucoup de physiciens (ignorants de ce type d'études) pourraient le supposer. Il suffisait en effet d'admettre les deux hypothèses suivantes:
_La particule observée est elle-même de structure complexe comportant un grand nombre de degré de liberté, comme ce serait par exemple le cas si la particule était constituée de sous-particules en mouvement. On est alors capable de définir une "température" de la particule, caractérisée par l'énergie des sous-particules qui la forment.
_La particule est plongée dans un milieu sub-observable remplissant tout l'espace avec lequel elle peut échanger de la chaleur. C'est le milieu subquantique portant le nom de ses inventeurs, Bohm et Vigier; c'est ce que de Broglie nomme encore le "thermostat caché".