Angkor: Temple Banteay Srei
La cité somptueuse
Dieux et Déesses
Indra et ses troupes d'assaut
Antéfixe
Les références
Palais royal d'Angkor Thom
Dvarapala
Les tours des santuaires
by Pepe ©
 
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La petite histoire Up Page
La cité somptueuse
Banteay Srei, de taille réduite et peu élevé, passa longtemps inaperçu. Du groupe d'Angkor, il fut découvert le dernier, en 1914, par le capitaine Marec du Service Géographique des Colonies. Les principales structures du temple étaient enfouies sous des monticules de terre accumulée au cours des siècles.

Comprendre simplement Up Page
Dieux et Déesses
Apsara: Danseuse céleste.
Brahma: Divinité à quatre visages, l'un des trois grands dieux du brahmanisme.
Devata: Divinité féminine.
Dvarapala: Gardien de porte de temple.
Indra: Roi des dieux.
Kamsa: Roi, oncle de Krishna.
Krishna: Dieu pasteur, avatar de Vishnu.
Naga: Serpent représenté comme un cobra, généralement polycéphale. Divinité des eaux et gardien des richesses souterraines.
Parvati: Un des noms de l'épouse de Shiva.
Ravana: Géant démoniaque.
Shiva: L'un des trois grands dieux du brahmanisme, à la fois créteur et destructeur.
Vishnu: L'un des trois grands dieux du brahmanisme, conservateur des mondes.

Domaines de présence Up Page
Indra et ses troupes d'assaut

 
Naga, serpent mythique polycéphale


Son interprétation dans l'avenir Up Page
Antéfixe


Les références Up Page
Réseau Pepe
Archeologia novembre 2007 n°449
Pour la Science août 2007 n°358
Voyages et archéologie Guy Rachet

Pourquoi ce site
Je crois que, si les êtres humains que nous sommes ne parviennent pas toujours à évoluer comme ils le souhaiteraient _à s'épanouir professionnellement, sentimentalement et sexuellement (ce que j'appelle les trois pôles d'intérêts) c'est parce qu'il y a des barrages qui entravent leur désir d'accéder à un rêve inachevé. Je pars du principe que tout est possible, à condition de s'entourer de gens qui nous poussent à croire en nous.

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Dvarapala Up Page
Dvarapala


Les tours des santuaires Up Page
Les tours des santuaires
Des apsara parées de lourde orfèvrerie et des gardiens de temple ceinturent les tours des sanctuaires.



Palais royal d'Angkor Thom Up Page
Palais royal d'Angkor Thom
Les nains d'Angkor
Les nains pourraient appartenir à la catégorie des yaksha (génie ou démons de la fertilité), des divinités indiennes qui accompagnent le dieu Kubera ou les rois-nâga, ces derniers étant devenus, dans le folklore khmer moderne, des sortes d'ogres fabuleux.
L'achondroplasie _ l'une des formes les plus fréquentes de nanisme _ s'accompagne d'une exagération de la lordose lombaire et d'anomalies caractéristiques du crâne et de la face (saillie des bosses frontales, aspect tronqué de l'arrière du crâne, aplatissement de la racine du nez) dont on retrouve l'expression dans certains bas-reliefs d'Angkor Vat (nains généralement situés en dessous du palanquin qui transportant une princesse) et de hauts-reliefs de la Terrasse des éléphants.
D'autres formes de nanisme sont également présentes à Angkor, telles celles qui s'accompagnent d'une microcéphalie. Cette représentation est esceptionnelle et caractérise le site d'Angkor, car, à notre connaissance, c'est le seul exemple de ce type d'anomalie.



Terrasse des éléphants
La célèbre Terrasse des éléphants qui se dresse devant le palais royal d'Angkor Thom, au Cambodge, formait selon toute vraisemblance le soubassement de la "salle du trône" des rois khmers et des pièces qui l'accompagnaient. Elle a subi un certain nombre de modifications au cours de son histoire, qui peut avoir commencé dès le début du XIe siècle pour se terminer vers la fin du XVIe siècle. La partie de cette terrasse qui semble avoir été la plus remaniée au cours des siècles est celle orientée au Nord.
Le cheval à cinq têtes constitue le motif le plus remarquable, qui demeure inexpliqué à ce jour, puisque les recherches se sont focalisées sur les légendes bouddhistes auxquelles on croyait que ces reliefs avaient été sculptés à l'instigation du roi bouddhiste Jayavarman VII (1182-1220). Pourtant, les dernières études ont montré que ces sculptures sont plus tardives d'au moins un siècle. Le cheval est entouré principalement de rois-nâga, des divinités populaires que l'on reconnaît à leur chaperon: peut-être était-ce là l'illustration de quelques légendes hindouiste, voire d'une légende locale aujourd'hui perdue.


Empreinte du Bouddha
A Angkor-Vat, gigantesque dessous de pied symbolisant l'empreinte du Bouddha. Cette empreinte, qu'on retrouve couramment dans le monde bouddhique, est appelée en sanskrit Lakshana, et chez les Khmers Prah Bat. Elle est marquée au centre par la roue "à mille rais" qui est l'un des traits spécifiques par lesquels on reconnaît un Bouddha, cette roue étant le symbole de la Loi (bouddhique). Les autre signes, qui ont sans doute une signification astrologique, sont empruntés en partie au brahmanisme. Ce sont les 108 _ ou pour d'autres 32 signes essentiels et 80 secondaires _ qui caractérisent aussi le Bouddha.