11 septembre 2001: Autopsie d'une imposture
Regard sur le monde
Délits d'initiés
Opérations militaires de simulacre
Démolition contrôlée des trois tours
Les références
Pentagone, opération leurre
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La petite histoire Up Page
Regard sur le monde
A l'exception de The Washington Note et du Financial Times, les grands médias ont décidé de ne pas rapporter les propos de Zbigniew Brzezinski qui bouleversent la classe dirigeante états-unienne. Auditionné le 1er février 2007 par la Commission des Affaires étrangères du Sénat, l'ancien conseiller national de sécurité a lu une déclaration dont il avait soigneusement pesé les termes.
Il a indiqué: "Un scénario possible pour un affrontement militaire avec l'Iran implique que l'échec irakien atteigne les limites américaines; suivi par des accusations rendant l'Iran responsable de cet échec; puis, par quelques provocation en Irak ou un acte terroriste sur le sol américain dont l'Iran serait rendu responsable. Ceci pourrait culminer avec une action militaire américains "défensive" contre l'Iran qui plongeait une Amérique isolée dans un profond bourbier englobant l'Iran, l'Irak, l'Afghanistan et le Pakistan."

L'hypothèse de Thierry Meyssan _ selon laquelle les attentats du 11 septembre auraient été perpétrés par une faction du complexe militaro-industriel pour provoquer les guerres d'Afghanistan et d'Irak _ quitte soudainement le domaine du tabou pour être discutée publiquement par les élites de Washington.
Comprendre simplement Up Page
Délits d'initiés
Peu avant le 11 septembre, ont eu lieu de très nombreux délits d'initiés avérés: entre le 6 et le 7 septembre, 4 744 options de vente "put options" portant sur les actions d'United Airlines sont achetées, contre seulement 396 acquises à l'achat.


Par ailleurs, on constate, avant le 11/9, des niveaux élevés d'options de vente sur les actions de sociétés de réassurance susceptibles de payer des milliards pour couvrir les pertes dues aux attentats: Munich Re et le Groupe AXA; le même phénomène sur des compagnies financières touchées par les attentats: Merrill Lynch é Co., Morgan Stanley, Bank of America (par exemple) dans les tours et bien sûr la compagnie Boeing; enfin, des niveaux énormes d'options d'achat sur un fabricant d'armes dont l'action a monté en flèche: Raytheon.

Pour la première fois en  trente-trois ans, le World Trade Center change de propriétaire en avril 2001: Larry Silverstein, homme d'affaires averti, achète pour 3,2 milliards de dollars un bail de quatre-vingt-dix-neuf ans pour la gestion du complexe. Pourtant, les tours commencent à dater, nécessitent des travaux importants, à commencer par de coûteux travaux de désamiantage, et elles n'ont jamais été réellement rentables. Silverstein, qui a pris soin d'assurer le complexe - en incluant une clause qui couvre spécifiquement les attentats terroristes - pour 3,5 milliards dollars, six semaines seulement avant le 11 septembre, demandera ensuite que des endemnités soient doublées, car le WTC a été la cible de DEUX attentats ! Finalement, le tribunal du district de Manhattan lui accordera un dédommagement de 4,6 milliards de dollars.
Domaines de présence Up Page
Opérations militaires de simulacre
Les procédures opérationnelles normales en vigueur en cas de détournement d'avion sont celles de la FAA (Federal Aviation Agency) et du NORAD (North American Aerospace Defense Command). Si les procédures avaient été appliquées le 11 septembre 2001, les chasseurs de la défense aérienne auraient intercepté les vols AA11, UA175 et AA77 bien avant qu'ils ne percutent la tour nord, la tour sud et le Pentagone. Ils auraient également intercepté le vol UA93 longtemps avant qu'il ne s'écrase.
Entre septembre 2000 et juin 2001, le NORAD a réussi 100 % des interceptions dans un délai maximum de vingt minutes, soit en tout soixante-sept interceptions. Le 1er juin 2001, la Maison Blanche retire aux militaires la responsabilité d'abattre les avions identifiés comme piratés. Le vol AA77 se serait écrasé sur le Pentagone, dans la capitale des Etats-Unis, cinquante et une minutes après le premier crash du vol AA11 sur la tour nord !

Il est établi qu'il a avait au moins quinze exercice militaires en cours le 11 septembre ou directement liés aux événements de ce jour. Ruppert se concentre exclusivement sur les exercices qui ont paralysé la défense aérienne, et que l'on peut appeler exercices de laissez-faire délibéré. Le plus évident est l'exercice réalisé ce matin-là au siège du Bureau national de reconnaissance (NRO) à Chantilly, en Virginie, et qui impliquait la simulation d'un avion de ligne s'écrasant contre la tour où se trouve le siège du NRO.
En d'autres termes, il s'agissait d'un avion s'écrasant contre le bâtiment. Vu tout ce que nous avons appris sur la relation intime entre exercices militaires et actes terroristes, il est clair qu'il existe de forts arguments a priori pour penser que l'exercice du NRO en question était en réalité un centre de contrôle ou un instrument permettant d'envoyer des avions ou d'autres objets volants s'écraser contre les tours du WTC.
Son interprétation dans l'avenir Up Page
Démolition contrôlée des trois tours

Les 236 colonnes des façades venaient renforcer les 47 volumineuses colonnes supports du cœur du bâtiment, permettant ainsi la mise en place de très vastes superficies de bureaux, plus lucratives. A ce propos, voici le plan d’un étage et deux photos du chantier de construction des WTC.
A ce jour, AUCUNE explication officielle n’existe sur les raisons de l’effondrement structurel du WTC 7; je répète : a-u-c-u-n-e. Et celles mises officiellement en avant pour expliquer les effondrements des Tours Jumelles ne sont pas satisfaisantes au regard de la physique.

Les tours 1 et 2 du World Trade Center, touchées à un quart d'heure d'intervalle se sont écroulées sue elle-mêmes, respectivement cinquante-six et cent minutes après l'impact des avions. Ces deux tours de cent dix étages se sont effondrées sur leur base à une vitesse proche de celle de la gravité, c'est-à-dire en dix secondes environ. Ceci très étrange pour des bâtiments solidement construits et prévus pour résister à un, voire de multiples crashes d'avion.
Les Tours jumelles ont été conçues avec un coeur de quarante-sept colonnes et deux cents quarante colonnes périphériques en acier de haute qualité, soit deux cent quatre-vingt-sept colonnnes en acier au total. Que le feu et les dommages (la théorie officielle) aient pu causer l'effondrement complet des tours est de moins d'une chance sur mille milliards.

William Rodriguez Le week-end avant les attentats, une opération de maintenance inhabituelle avait été menée, et de nombreux ouvriers avait occupé l'immeuble. L'électricité avait été coupée; de sorte que les caméras vidéo et les systèmes de contrôle ne fonctionnaient plus. Un analyste qui travaillait dans le World Trade Center a déclaré que dans les semaines précédant les attentats, il y avait eu une série de simulations imprévues et inhabituelles au cours dequelles des sections des deux tours et du bâtiment 7 avaient été évacuées pour "raisons de sécurité", les chiens renifleurs d'explosifs qui scrutaient les bâtiments avaient été soudainement retirés quelque temps avant les attentats.
William Rodriguez De nombreux témoins ont fait part d'explosions entre le crash de l'avion et l'écroulement des tours, à différents étages. Les pompiers en particuliers ont mentionné ce fait et des ordres ont été donnés d'évacuer les tours avant qu'elles ne s'écroulent à cause de l'éventualité de nouvelles bombes. Des journalistes ont également témoigné en direct de ces explosions. Un témoignage particulièrement précis est celui d'un gardien du WTC, Mr William Rodriguez, qui a entendu des explosions au sous-sol et a constaté d'importants dégâts (une presse de quarante-cinc tonnes volatisée, des portes anti-incendie arrachées et tordues, des gens blessés, avant qu'il ne quitte la tour.
Des phénomènes inexplicables ont été observés durant l'effondrement des tours: des jets de poussière expulsés en dessous de la zone d'écroulement, des flashes et des flammes. Des pompiers positionnés à proximité décrivent des explosions successives comme lors "d'une démolition contrôlée".
Juste après l'effondrement de chacune des tours, on observe le déploieent d'un nuage pyroclassique qui s'étend jusqu'à cinq fois son volume de départ, et qui est caractéristique d'une explosion. Il apparaît que le béton a été quasiment entièrement pulvérisé, et on le retrouve sous forme de particules fines autour du Ground Zero, formant une couche de poussière omniprésente. On n'a retrouvé que de très petits morceaux de tout le matériel qui se trouvait dans les tours.
De plus, des traces évidentes d'acier fondu ont été vues dans les décombres. On a même retrouvé des points d'acier fondu, significatifs de hautes températures, et qui ont fumé pendant dix semaines. Ceci a été confirmé par des photos prises le 16 septembre 2001 par un satellite de la NASA où l'on observe des tachess de hautes températures (>700°C) sur les sites du WTC. Cet acier fondu ne peut correspondre qu'à l'usage d'explosifs spéciaux.

Le WTC7, un immeuble de quarante-sept étages qui faisait également partie, avec les Tours Jumelles du complexe du World Trade Center, s'est écroulé le 11 septembre 2001, à 17h20. Son effondrement est significatif d'une démolition contrôlée. Ce bâtiment n'avait subi que des dommages superficiels dus à l'effondrement des Tours Jumelles, et était séparé de la tour nord (WTC1) par une autre tour (WTC5), qui, elle, n'a été que partiellement détruite. L'effondrement a duré environ 6,6 secondes, soit à peine plus que la durée théorique (en l'absence de résistance d'air) de la chute d'un objet du haut de l'immeuble (environ 6 secondes).
La conclusion s'impose d'elle-même: les explosifs nécessaires à la démolition contrôlée du WTC7 étaient déjà en place à l'intérieur du bâtiment le jour des attentats contre les Twin Towers. Le WTC7 abritait, entre autres, des bureaux de la CIA, des services secrets,de l'IRS (Internal Revenue Service, le fisc américain), le bunker du maire de New York, Rudolph Giuliani, ainsi que le SEC (Securities & Exchange Commission - équivalent de la COB française), qui a perdu quelque 3000 à 4000 dossiers concernant des fraudes importantes à Wall Street (World.com, Enron, etc.).

Le Dr Jones a déclenché une controverse des plus passionnés dans les cercles scientifiques en montrant de manière définitive, à l'aide d'échantillons réels provenant du site du World Trade Center que des explosions à base de thermate sont sans doute la cause de l'effondrement des trois immeubles du WTC. La démonstration figure sur un DVD disponible en ligne sur http://tinyurl.com/y3kh34. La thermate peut rapidement trancher des poutres en acier très épaisses en à peine quelques secondes. Les échantillons en question mettent instantanément fin à toute polémique sur la responsabilité des terroristes d'Al-Qaïda.

Pourquoi les pompiers étaient-ils confiants ?
"Question: A votre avis, pourquoi avaient-ils une telle confiance ?
Témoin n°5: Les bâtiments dotés d'armatures en acier ne s'écroulent pas comme ça à cause d'un incendie.
Question: Comment le savons-nous ?
Témoin n°5: Parce qu'aucun incendie n'a jamais fait effondrer un bâtiment d'acier."

Les références Up Page
Réseau Pepe
Nexus mars / avril 2007 n°49

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Je crois que, si les êtres humains que nous sommes ne parviennent pas toujours à évoluer comme ils le souhaiteraient _à s'épanouir professionnellement, sentimentalement et sexuellement (ce que j'appelle les trois pôles d'intérêts) c'est parce qu'il y a des barrages qui entravent leur désir d'accéder à un rêve inachevé. Je pars du principe que tout est possible, à condition de s'entourer de gens qui nous poussent à croire en nous.

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Pentagone, opération leurre
Les faits paraissent clairs: le vol 77 d'American Airlines, un Boeing 757 avec soixante-neuf personnes à bord, qui a décollé de Washington à 8h20 à destination de Los Angeles, est détourné par un commando de cinq terroristes et s'écrase sur une aile du Pentagone à 9h37. Pourtant, à y regarder de plus près, les invraisemblances s'accumulent...
Il y a tout d'abord, l'absence de trace d'impact sur la façade correspondant à celui d'un appareil de l'envergure du Boeing 757; ensuite, on ne relève quasiment aucun débris sur la pelouse ni de trace observable de kérosène. Enfin, on constae un "trou de sortie" inexplicable au niveau du troisième anneau du bâtiment. Rien ne laisse supposer qu'une quelconque partie d'un avion soit à l'origine de ce trou.
_ Le pilote supposé, Hani Hanjour, auquel une école de pilotage a refusé le prêt d'un petit Cessna pour "insuffisance", effectue des manœuvres parfaitement maîtrisées: spirale descendante avec perte d'altitude contrôlée, approche en rase-motte avec des manoeuvres d'évitement d'obstacles, impact entre le RDC et le premier étage du Pentagone (ce qui signifie que la bas des réacteurs est au niveau du sol), le tout, d'après la boîte noire analysée par le NTSB, à 850 km/h (530 miles/h).
_ Une journaliste de l'US Navy, Barbara Honeger, a rapporté qu'une explosion avait eu lieu préalablement à l'impact sur la façade. Elle a également constaté que plusieurs pendules étaient restées bloquées à 9h32 alors que l'heure officielle du crash est 9h37.
_ Le FBI s'est rendu très vite sur tous les sites possédant des caméras de surveillance autour du Pentagone et a saisi tous les enregistrements, donnant l'ordre aux employés d'un hôtel proche qui avait visionné une vidéo du crash, d'observer un silence absolu.
Cinq lampadaires reposent sur le sol, apparemment percutés par l'avion. Cependant, l'enregistreur de vol, dont les données ont été rendues publiques en 2006, montre une altitude de plus de cent mètres au-dessus du sol sur la zone des lampadaires.
Certes, certains témoins disent avoir vu un avion de ligne, très vite entreperçu. D'autres, plus précis et émanant pour certains de professionnels de l'aviation civile ou militaire, évoquent un avion beaucoup plus petit "... pouvant contenir une dizaine de personnes" ou " ... ressemblant à un drone". La Commission n'a retenu que les premiers témoignages, RIEN ne prouve qu'un Boeing de cent tonnes contenant 20 000 litres de kérosène se soit écrasé sur le bâtiment.

Le vol 93 volatilisé
Selon la thèse officielle, le vol 93 de United Airlines se serait écrasé en Pennsylvanie ... D'après des témoins, dont le maire de la ville concernée, il n'y aurait jamais eu de trace de cet avion au sol... Initialement prévu pour décoller à 8h01 (heure locale), le vol 93 de United Airlines, un Boeing 757-200, a quitté Newark (New Jersey) à 8h42 à destination de San Francisco (Californie).
Selon la thèse officielle, l'avion n'a pu atteindre sa cible suite à l'intervention de personnes à bord contre le commando composé de quatre terroristes. Le vol 93 s'est finalement écrasé (ou a explosé) à 10h03 (selon le NORAD), ou a 10h07 (selon la FAA), près de la petite localité de Shanksville, en Pennsylvanie.
Le nombre de victimes varie, lui aussi, selon les sources: "Le vol United Airlines 93 s'est écrasé en Pennsylvanie avec quarante-cinq personnes à bord. La liste officielle n'en mentionne que trente-trois et pas un seul des quatre pirates de l'air qui ont embarqué. Le Rapport de la commission reprend le même nombre: trente-sept personnes, dont les quatre terroristes" (Eric Laurent - La Face Cachée du 11 Septembre).
La capacité d'un avion de ce type est d'environ deux cents passagers. Le taux de remplissage était donc de 20 %, un taux exceptionnellement bas.

Crash ou destruction ?
Le site du crash se résume à un cratère dans le sol, profond de 4,5 mètres et large de 9 mètres, laissant supposer que l'avion se serait écrasé en piquet. Malgré cela, de petits débris ont été retrouvés éparpillés sur plus de 12 km autour du cratère: "Il n'y a rien sur le sol que l'on puisse voir. Il y a seulement de petits bouts de débris" (Frank Monaco - police de Pennsylvanie). "Lorsqu'on nous a alertés en nous disant qu'un avion s'était écrasé, nous sommes vite accourus. Mais à notre grande surprise, il n'y avait pas d'avion, aucun avion" (Ernie Stull, maire de Shanksville). "Il y a un cratère creusé dans le sol; l'avion est pratiquement désintégré. Ilo n'y a plus rien sauf des arbres calcinés." (Mark Stahl, de Somerset). Des témoins ont vu un deuxième appareil, un jet de couleur blanche, juste avant d'entendre une explosion; des ouvriers à Indian Lake Marina ont vu "un nuage de débris comme des confettis" descendre sur le lac et près des fermes quelques minutes après l'explosion. La chaîne CBS rapporte, quelques minutes avant le crash, que deux F16 talonnaient le vol UA93. Une photo prise au moment du crash montre un nuage sombre en forme de champignon: exactement le genre de nuage observé lors de bombardements américains en Afghanistan.

Les attentats
L'examen des bandes vidéo et la trajectoire décrite par les témoins conduisent les experts à considérer qu'une force "g" de 5-7 était nécessaire pour manœuvrer au moins deux des avions. La seule manière d'expliquer cette manoeuvre, c'est que le contrôle manuel ait été supplanté par un système de téléguidage.
A Los Angeles en juin 2006, Jim Heikkila, ingénieur dans l'armement, communiquait de nouvelles données concernant les avions utilisés contre les tours: des limitations prévues dans les logiciels des avions en question empêchaient ceux-ci d'effectuer un virage avec une force d'inertie centrifuge "g" supérieure à 1,5.