Trois minutes pour comprendre / Three minutes of learning
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Lors du colloque qui s'était tenu à New York.
A 10 000 km/h, c'est-à-dire afin d'éviter qu'à partir de mach 4 ou 5 les entrées d'air des statoréacteurs latéraux fondent ou se volatilisent sous l'effet de la forte chaleur (gaz césium à 3 000 °C), celes-ci doivent être impérativement occultées.
On peut éventuellement envisager de le relier à l'entrée supvérieure, en aval du "ralentisseur MHD".
Ce système de propulsion mixte (deux turboréacteurs centraux + deux statoréacteurs latéraux) a été mis en œuvre dans les années 1950 par le Français René Leduc, le "turbo-stato".
Moffat introduit le concept de vitesse de la luière variable en 1993, Magueijo en 1999; la revue Pour la Science en mars 2001, puis la revue Ciel & Espace en mai 2002.
Lors d'un colloque aux Etats-Unis, Hal Clancy (physicien théoricien, directeur de l'Institut des sciences avancées d'Austin) fait un exposé consacré au "warp driving" ce qui signifie littéralement "se déplacer en tordant l'espace", puisqu'en principe, selon les lois de la relativité restreinte, il est impossible de se déplacer au-delà de la vitesse, de la lumière, ne pourrait-on pas modifier localement cette vitesse, en l'accroissant, de manière à naviguer dans une "bulle d'espce-temps" à plus de 300 000 km/s ?
Hal Clancy et Alcubiere envisageaient d'injecter de l'énergie autour d'un engin, à l'aide d'un rayonnement électromagnétique, par exemple, au point de modifier, localement, la valeur de la vitesse de la lumière.
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