Au XIIe siècle, les archives de la
Rose-Croix furent tenues par l'historien Phonaire
et furent conservées dans le donjon de Toulouse, c'est-à-dire dans le Château narbonais,
résidence des comtes. "Toulouse fut du reste",
affirme l'auteur, "le siège des Maîtres de la
Rose-Croix
jusqu'en 1487. D'autre part", dit encore Spencer Lewis, "en
1001, un autre monastère rosicrucien fut établi près de Montpellier où il se maintint
jusqu'au XVIe siècle, puis redevint de nouveau actif en 1882."
Spencer Lewis affirme avoir obtenu ces renseignements lors d'un voyage qu'il fit en France au cours
de l'été 1909 et à l'occasion duquel il aurait été conduit à
Toulouse et initié dans cette ville.
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