Conscientisation
Interaction biochimique
Ce que vous croyez percevoir
"Exprimer la capacité intellectuelle ou sociale d'une espèce vivante (animale, végétale), ou encore l'aptitude d'auto-organisation d'une structure bio-dynamique (événements climatiques, atmosphère, tectonique des plaques) en termes anthropomorphiques (caractère humain tel que la conscience, la pensée, l'action, la réaction, la mémoire, le souvenir, l'empathie, la colère, la vie, la mort, la santé ou la maladie) est une erreur." Philippe Lopes, auteur d'ArboSciences.Chaque "unité" (atome, molécule, micro-organisme, système, structure, entité) est capable de s'autogérer, de s'adapter à son environnement.
Chaque élément qui la compose "sait ce qu'il a à faire", afin de maintenir la cohésion de cette "unité" à laquelle il est associé (rattaché, lié, interconnecté).
Nul besoin de lui dire que cette "unité" fait preuve de "conscience, intelligence". C'est vous, l'humain, qui avez un besoin irrésistible de croire que cette "unité" est douée d'intelligence, d'empathie, de conscience.
Le piège c'est lorsque vous être confronté(e) à une "chose" qui sort de l'ordinaire (objet matériel, inerte ou abstrait) faire preuve des mêmes capacités cognitives (réaction, adaptation, solution), là, vous invoquez "Dieu, Hasard, Chance, Croyance" pour vous raccrocher aux branches !
Ce qu'il faut y voir
"Chaque objet est à sa place dans l'Univers, chaque constituant (objet, gens, champ, vibration) répond à une loi Universelle. Cela fonctionne très bien et nul besoin d'invoquer un vocabulaire inadapté (libre-arbitre, synchronicité, et cetera ...)."Le mieux que nous ayons à faire, c'est d'observer en silence (cerveau en mode off, pas de cogitation cérébrale). Admirez tout simplement ce qui se passe autour de vous.
Vivre l'instant présent, c'est faire preuve d'humilité & prendre conscience qu'en réalité, "je sais que je ne sais rien".
Il n'y a pas de bonnes ou de mauvaises choses, il y a des événements de "moindre importance" (qualifiés comme telle par notre esprit) ainsi que des événement de "grande importance" (qui comptent davantage pour nous).
Il suffit parfois de vivre dans un autre contexte, dans un autre environnement (époque, famille, ethnie, quartier, ville, pays, continent) pour se rendre compte que notre "raisonnement, jugement" dépend fortement du lieu où l'on réside.
Le "Pouvoir de l'Accueil" (qui est également le titre d'un ouvrage de Nassrine Reza), ou le "Pouvoir de l'Acceptation", c'est accepter que les choses doivent être vécues et non retenues.
Les émotions (joie, tristesse, gaité, pleurs), les sentiments (angoisse, colère, peur, haine), les cogitations (nostalgie, avenir, projet) font partie de nous. Si nous nous refusons de vivre ces brièves étapes, elles vont alors nous poursuivre tout le long de notre vie.
C'est toujours notre égo (notre tête) qui cherche à contrôler la situation. Laissez-le s'exprimer, puis, écoutez davantage votre cœur. C'est là que réside la solution à tous nos "problèmes" (pas de réseau internet, pas mon vêtement fétiche, pas ma jolie voiture, pas ma belle coupe de cheveux, et cetera ...).
Interconnection symbiotique
Harmonisation
Quand il existe une "union" (association) étroite entre deux "choses" (objets, êtres vivants) ou lorsqu'il se crée une "cohésion" (collaboration) étroite entre plusieurs organismes différents, laquelle contribue à un bénéfice mutuel (c'est du gagnant-gagnant pour chacune & chacun), on parle alors de "symbiose, harmonisation".Imitation
Le "mimétisme" consiste à reproduire à l'identique les choses que l'on observe. Toutes les espèces vivantes le font car, si cela "fonctionne" pour elles, cela devrait "fonctionner" pour nous aussi (voir ce qu'elles mangent, ce qu'elles boivent, ce qu'elles utilisent comme outil, comment elles se déplacent dans l'espace sans GPS, et cetera ...).Collaboration & auto-médication
Les "accords" donnant-donnant (je te donne ceci, tu me donnes cela) observés dans la nature, & les "adeptes" de la pharmacopée (je cueille telle feuille ou telle racine en vue de soigner tel symptôme ou telle contrariété biochimique de mon corps) contribuent à maintenir la sauvegarde des espèces vivantes.Compréhension
Observer une espèce dans son environnement naturel ou en captivité (lieu fermé, tel qu'un zoo ou bien un centre de recherche), en interférant le moins souvent possible, permet de mieux comprendre l'espèce concernée, et d'en apprendre davantage sur nous.L'ethnologie (études des us-et-coutumes d'une espèce, langage et communication), mais aussi l'éthologie (étude des mœurs et du comportement d'une espèce, attitudes et habitudes) font tout cela.
Entente communautaire
Communion
Chaque "travail d'équipe" (collaboration entre plusieurs espèces différentes) a sa raison d'être, son utilité, même si à première vue cela ne se voit pas, même si l'on ne saisit pas l'importance.Sociabilisation
Chaque "communauté" (cercle d'individus, cellule spécifique) agit dans son propre intérêt, qui est la survie du groupe.Hybridation
Chaque "seuil critique" (circonstance aggravante, mise en péril de l'espèce) peut amener cette espèce à opérer certaines "fonctionnalités" (modification alimentaire, changement de sexe, procréation particulière).Adaptation
La nature a toujours fait preuve de réactivité & d'adaptabilité, dans le but ultime de préserver son espèce.Relation inter-espèces
Animal-Animal
Animal-Environnemental
Animal-Végétal
Végétal-Végétal
Humain-Animal
Humain-Humanoïde
Animal-Animal 
Blaireau - Coyote
Bouc - Tigre
Bovin - Oiseau
Crabe - Oursin
Lion - Ours - Tigre
Loup - Ours
Loutre - Orang outan
Mangouste - Phacochère
Primate - Félin
Animal-Environnemental
AnimalEnvironnemental001
Animal-Végétal
Actiniaire - Poisson
Insecte - Plante
Végétal-Végétal
VegetalVegetal001
Humain-Animal
Humain - Dauphin
Humain-Humanoïde
Type Primate - Humanoïde
Type Homin - Meganthrope
Type Astronaute - Cosmonaute
Blaireau - Coyote 
Bouc - Tigre
Timour le bouc - Amour le tigre
Timour le bouc - Amour le tigre 
En 2015, Timour le bouc devait servir de repas à Amour, le tigre de
Sibérie 
, mais c'est une amitié
miraculeuse qui s'est créée entre ces deux animaux.
En 2015, l'herbivore était promis à une mort violente tandis que le parc animalier de Vladivostok (Russie
)
venait de l'offrir en casse-croûte à l'une des stars du zoo, aux dents
bien plus acérées.
Agé d'environ cinq ans, Timour n'avait montré aucune peur lorsqu'il avait été introduit dans la cage du tigre en 2015. Ce courage, face à une mort presque certaine, expliquerait la réaction du tigre, selon ses soigneurs.
Timour et Amour sont ensuite devenus inséparables. Ils mangeaient, jouaient et dormaient ensemble. Le félin avait même entrepris d'apprendre au bouc à chasser. Le directeur Dmitri Mezetsev, spécialiste des tigres et des léopards, comparait cette relation à un "miracle" et à un appel à l'amour "venu d'en haut".
Mais le bouc a commencé à taquiner de plus en plus son compagnon à rayures. Dmitri Mezetsev raconte que Timour a "harcelé" Amour pendant près d'un mois.
En janvier 2016, après avoir été piétiné par Timour, le tigre l'a violemment repoussé, le faisant tomber d'une colline. Après cet incident, la santé du bouc, désormais séparé d'Amour, s'est progressivement dégradée. On l'a emmené à Moscou, à 9 000 kilomètres de là, pour être soigné, mais il ne s'est jamais remis complètement de ses blessures. Timour succombera le 05 novembre 2019, laissant sa soigneuse Elvira Golovina, dans un profond chagrin.
Bovin - Oiseau
Buffle d'eau - Héron garde-bœufs
Crabe - Oursin
Lion - Ours - Tigre
Trois animaux sauvages saisis lors de l'arrestation d'un dealer de drogue (narcotrafiquant) à Atlanta (Géorgie, Etats-Unis
), ont
été confiés en 2001 au refuge Noahs Ark (L'Arche de Noé)
un centre de sauvetage pour bêtes sauvages.
L'équipe de l'Arche a d'abord essayé de les séparer, mais les trois compères montrèrent de la résistance. Il a alors été décidé de les laisser vivre ensemble.
Baloo (l'ours noir d'Amérique), Leo (le lion d'Afrique) et Shere Khan (le tigre d'Asie) passent aujourd'hui leur temps à se câliner, jouer à la balle, se courir après ou manger des cookies.
L'histoire de ces trois animaux sauvages est riche en enseignements. L'acceptation des
différences, le refoulement de ses bas instincts (la violence, notamment) et la
vie en communauté sans préjugés en font partie.
Comme le disait Martin Luther King : "Apprenons à vivre ensemble comme des frères sinon nous mourrons comme des idiots".
Le lion Leo est décédé en 2016 à cause de plusieurs tummeurs au foie. Deux ans plus tard, Shere Khan le tigre est mort dans les bras de son principat soignant, avec Balou l'ours à proximité.
Loup-Ours
Louve grise - Ours brun mâle
Louve grise - Ours brun mâle
L'ours et le loup sont deux prédateurs qui ne se côtoient guère. Il faut dire que ces deux grands carnivores sont des concurrents directs qui luttent pour se retrouver à la même place dans la chaîne alimentaire.
Au détour d'un safari photographique à l'Est de la Finlande
, le photographe Lassi Rautiainen est pourtant
tombé sur une scène de vie peu commune : une amitié et une
coopération visible entre un ours brun mâle et une louve grise.
Si le comportement n'est pas forcément évident sur les photographies, l'artiste l'assure : ":;les deux animaux partagent chaque repas, s'apportant l'un à l'autre les proies tués".
Selon lui, il est probable que l'ours et le loup se soient retrouvés seuls dans leur jeune âge et, ne sachant trop comment survivre, auraient décidé de s'entraider.
Quoiqu'il en soit, il est toujours étonnant et émouvant de voir des animaux si différents collaborer en toute sérénité.
Loutre - Orang outan
Loutres - Orang Outan Ujian
Loutres - Orang Outan Ujian
Les équipes de soigneurs du parc zoologique de Pairi Daiza, situé
à Brugelette en Belgique 
, ont permis
à la rivière dans laquelle vivent les loutres de serpenter (ruisseler)
dans l'enclos des orangs-outans.
Chez les orangs-outans, Ujian le père a 24 ans, Sari la mère a 15 ans, et Berani le plus jeune a 4 ans. Les animaux peuvent parfois se lier d'amitié entre espèces différentes.
Une amitié qui contribue à enrichir la vie des deux communautés, si l'on en croit Mathieu Godefroy, porte-parole du parc zoologique de Pairi Daiza situé à Brugelette en Belgique
.
"Deux facteurs sont très importants pour le bien-être d'un animal en captivité : la taille de son enclos, mais également la qualité de cet enclos. Cela signifie qu'un animal, et c'est encore plus le cas chez les orangs-outans avec lesquels les humains partagent 97% de leur ADN, doivent être divertis, occupés, défiés mentalement, émotionnellement et physiquement, et ce à chaque instant."
Point de vue de Mathieu Godefroy.
Et lorsque les soigneurs ne sont pas en mesure de passer du temps avec les primates, notamment via leur programme d'enrichissements via lequel les orangs-outans sont divertis par le biais de jeux mentaux, d'énigmes ou de puzzles, c'est là que les loutres entrent en jeu.
Berani et Ujian ont développé un lien particulier avec leurs partenaires à fourrure.
Mangouste - Phacochère
Primate - Félin
Chimpanzé - Tigre
Orang outan - Tigre
Chimpanzé - Tigre
Le 22 octobre 2008 dans un zoo de Caroline du Sud aux Etats-Unis
,
une tigresse est devenue agressive envers ses petits.
C'est donc l'équipe du zoo qui s'en occupe, et une série de photos a été prise avec une femelle chimpanzé, très affective avec les tigreaux.
Ce qui est épatant dans ces images, ce n'est pas tant la relation affective inter-espèce que le regard et l'attitude du singe.
Sur chacune d'entre elles, on pourrait aisément imaginer un être humain à la place de la chimpanzé. Avec les mêmes attitudes, les mêmes expressions.
Les grands singes (chimpanzés, bonobos, gorilles, orang-outans) sont extraordinairement proches de nous, génétiquement et comportementalement parlant.
Etudier et comprendre un tel singe, c'est aussi mieux étudier et comprendre l'humanité.
Orang outan - Tigre
En mai 2015, une femelle orang-outan joue les mamans avec trois bébés tigres, de la réserve animalière, Myrtle Beach Safari, en Caroline du Sud aux Etats-Unis
.
Les images sont pleines de tendresse, la maman de substitution n'hésite pas à prendre les bébés sur ses épaules, les câliner, jouer avec eux et même donner un biberon à l'un d'entre eux.
AnimalEnvironnemental001
AnimalEnvironnemental1
AnimalEnvironnemental1
Actiniaire - Poisson
Anémone de mer - Poisson-clown
Anémone de mer - Poisson-clown
Insecte - Plante
Fourmi (Allomerus Decemarticulatus) - plante (Hirtella physophora)
Fourmi (Allomerus Decemarticulatus) - plante (Hirtella physophora)
VegetalVegetal001
VegetalVegetal1
VegetalVegetal1
Humain - Dauphin
Humain- Dauphin (Brésil)
Humain - Dauphin (Brésil)
Mauricio Cantor (Université de l'Oregon, Etats-Unis ),
constate en avril 2023 que le taux de survie sur plusieurs années des dauphins participant
à la pêche est plus élevé que la moyenne.
Dans la ville côtière de Laguna, au sud du Brésil
, on pratique la pêche artisanale
au filet de coulée. Les pieds dans l'eau, les pêcheurs lancent à
la main de petits filets sphériques lestés qui se déploient
en l'air avant de retomber à la surface de l'eau et de couler. Lorsqu'on
tire dessus, les filets se referment, emprisonnant éventuellement des
poissons. Durant la pêche, il n'est pas rare que certains dauphins vivant dans
la lagune s'approchent des humains en rabattant vers eux des bancs de mulets lebranches.
Les pêcheurs connaissent le signal : lorsqu'un dauphin situé à une
dizaine de mètres plonge brusquement, il est temps de jeter les filets. Une
coordination extrêmement efficace : d'après les observations des chercheurs,
cela multiplie par dix-sept en moyenne la probabilité de remonter des poissons dans les filets !
Les dauphins ne rabattent pas les bancs de poissons vers les pêcheurs par simple altruisme : eux aussi sont en chasse. Lorsque les protagonistes sont synchronisés – et seulement dans ce cas –, les chercheurs ont observé chez les cétacés des comportements caractéristiques de la recherche active de nourriture : une durée de plongée plus importante ou une augmentation du nombre de clics ultrasonores émis. Cela suggère que les dauphins prennent bien en compte la présence de filets dans leur stratégie de chasse.
En se basant sur douze ans de suivis individuels des dauphins de la lagune, Mauricio Cantor et ses collègues ont également montré les bénéfices à long terme de la collaboration entre dauphins et pêcheurs. Sur la période, le taux de survie des cétacés qui participaient parfois ou régulièrement à la pêche était 13 % plus élevé que celui des individus qui n'y participaient pas. Ces derniers, préférant chasser dans des zones plus éloignées, seraient trois fois plus exposés au risque d'être pris dans les filets d'autres types de pêche et d'y mourir.
Type Primate - Humanoïde
Humanoïde Haurrio
Humanoïde Karran (ou Carain)
Humanoïde Voyageur
Type homin - Meganthrope
Créature velue de 1,30cm
Type Astronaute - Cosmonaute
Astronaute Convoyeur
Humanoïde Haurrio
Le 26 novembre 1979, sur le boulevard de l'Oise à Cergy-Pontoise
en France 
.
Franck Fontaine, Jean-Pierre Prévost & Salomon N'Diaye aperçoivent à l'aube (4h à 4h30 au matin), une sphère de lumière envelopper le véhicule dans lequel ils sont. Franck sentira sa voiture se soulever, flotter vers la droite, perdra connaissance, avant de disparaître. Huit jours plus tard, il réapparaît dans un champ de choux, à proximité d'une centrale E.D.F. de transformation de courant.
Interrogé sous hypnose par Daniel Huguet (à gauche) & enregistré par Jimmy Guieu (à droite), Franck Fontaine se souvient avoir repris conscience dans un Laboratoire-ufo, où deux humanoïdes ("boules de lumière") conversent avec lui. Les signes figurant sur le mur sont fidèlement reproduit mais les détails des tableaux de commande sont flous, dans son esprit. Cette régression mémorielle révèlera le rôle prépondérant (déterminant) de Jean-Pierre Prévost, comme Contact privilégié avec les "Intelligences du Dehors".
"Haurrio", tel qu'il apparut pour la première fois à Jean-Pierre Prévost. L'humanoïde venait avec un compagnon casqué. Tous deux portaient un collier ("pendentif" représentant une pyramide) et un ceinturon "compensateur de gravité". Portrait-robot (aspect mimétique) de cet "Extra-Terrestre".
Humanoïde Karran (ou Carain)
Vers 1 980, à Belo Horizonte (Rio de Janeiro, Brésil ).
Hermonio & Bianca, deux célèbres contactés brésiliens. Hermonio désigne le portrait de Karran (ou Carain), l'humanoïde rencontré à quatre reprises, lors de leurs enlèvements (séjours) à bord d'un vaisseau extra-terrestre.
Créature velue de 1,30cm
Vers 1 980, au Brésil .
E.B.E. (Extraterrestrial Biological Entity) portrait-robot réalisé par Silvio Usaï d'après la description de Luli Oswald, enlevée au Brésil par ses créatures "inamicales".
Descriptif détaillé de l'humanoïde
Bipède d'environ 1,30 mètre, aux épaules étroites, aux bras minces, corps recouvert de poils, absence de queue, physionomie masculine mais organe sexuel non visible, aux pieds palmés vraisemblablement.
La tête présente de nombreux points communs avec l'espèce des "muridés" (rat, souris, mulot), et plus spécialement le rat noir (Rattus rattus).
Le crâne est très allongé, volumineux, bien séparé du tronc. Grandes orbites très rapprochées antérieurement & encadrées par des bords proéminents, pommettes hautes. Les yeux sont grands (adaptés à l'obscurité ?). Ronds, très noirs. La bouche très fine & droite. Le nez est fin, assez long, narines ouvertes vers le bas, cloison nasale mince. Les oreilles sont identiques à celles du rat, grandes, lisses à l'intérieur, pratiquement dépourvues de poils. La peau est recouverte de poils courts, raides & luisants, couleur allant de l'ardoise sombre au brun clair.
Cet humanoïde ne communique pas par la parole, uniquement par télépathie. Niveau intelligence, cette espèce extra-terrestre maîtrise une technologie bien supérieure à la nôtre.
Il nous est difficile de décrire avec plus de précision cet être n'ayant comme seules données, que les témoignages incomplets de personnes profondément traumatisées, et faisant des descriptions sous hypnose (amnésie partielle).