Vivre ou se laisser mourir : Sociabilité (acte I)

Accueil Chroniques  Nouveautés

Loi de survivance
Aptitude d’une espèce à préserver la survie de ses congénères, en utilisant soit des moyens légaux (officiels, à la loyale) soit illégaux (officieux, délictueux)

LE YIN

LE YANG

Procréer ? Oui ! Profiter ? Non !

Sensibiliser ? Oui ! Materner ? Non !

Avoir plus de deux enfants, c’est un choix ; au frais de la société, surtout pas.

S’enfermer dans sa bulle (réseaux sociaux, jeux vidéo, Internet), c’est se priver de contact humain.

 

 

 

 

Permis de naissance !

Des amis ? Une poignée pour la vie !

L’augmentation d’enfants maltraités (car en surnombre ou parents immatures), mériterait une étude.

En moyenne 4 à 5 amis (ou couple d’) feront partie véritablement de notre vie (Internet inclus…)

 

 

 

 

Dépersonnifier, c’est déresponsabiliser (déshumaniser) !

Corps sain & esprit sain pour enfant viable !

Laisser la technologie gouverner à notre place, c’est ne plus être sensibilisé(e) à l’ampleur de nos actes.

Mieux vaut un enfant heureux dans un couple homoparental, qu’un couple qui maltraite un enfant !

 

 

 

 

Les machines ne remplaceront JAMAIS les parents

Don de proximité !

"Fourguer" un ordi (tablette, téléphone) dans les pattes de l’ado, ne remplace pas des sentiments.

Le don de personne (don de soi) est plus enrichissant que le don numérique (don d'argent).

 

 

 

 

L’individualisme prône sur le collectif

Aider uniquement les retraités et les (vrais) handicapés !

La Société rend les gens solitaires (loisirs individuels, auto-entrepreneur multi-cartes, son propre patron).

Mieux vaut donner de l’argent aux "accidentés" de la vie, qu’aux "handicapés" (fainéants) du travail

 

 

 

 

Nouvelle (mauvaise) tendance : un enfant = un parent ! (notamment, l’Allemagne, pour l’heure…)

La vie c’est comme un jeu : il y a toujours une solution !

Volonté égoïste d’un(e) géniteur (trice) pour éduquer seul(e) l’enfant, ou tout au plus chacun chez soi…

Si vous mettez trop de temps, c’est que ce n’est pas la bonne solution : changez de méthode !

 

 

 

 

Tout travail mérite salaire

Regarder le passé c’est bien, voir l’avenir c’est mieux !

Tirer les prix vers le bas, ne garantit pas que le travail accompli soit fait dans de bonnes conditions.

Allez de l’avant, ressassez moins le passé et pensez à décharger vos fardeaux de temps en temps.

 

 

 

 

S’exprimer plutôt que s’enfermer !

Recette du bonheur en trois propositions

Toute parole est bonne (ou préférable) à dire, les "on-dit" n‘amènent rien de bon.

Pouvoir se dire ce que l’on ressent, ce dont on a besoin et ce que l’on est prêt(e) à faire (concessions).

 

 

 

 

L’addiction n’est pas la solution, encore moins une échappatoire !

La qualité plutôt que la quantité !

Se confier à ses ami(e)s, apporte la lumière et l’espérance, l’obscurité (ou l’obscurantisme) l’inverse.

Les ami(e)s d’enfance sont souvent les meilleur(e)s : pensez à les garder et à les protéger.

 

 

 

 

Celui qui a besoin, a tout le temps besoin. Celui qui donne, ne peut pas tout le temps donner !

Des communautés (ou lieux) de parole

Aider celui qui migre (argent au passeur) au mépris de celui qui erre (sans le sou dans la rue) : Stop !

Pouvoir échanger avec les gens du quartier (fête des voisins) est une sage et belle initiative.