Jean-Baptiste alias Apollonios de Tyane
Nouveau Testament
Apollonios de Tyane et Jean, l'unique auteur du Nouveau Testament, sont un seul et même homme qui sut habilement orchestrer son histoire et sa vie, afin que l'essentiel de son message parvienne jusqu'à nous, malgré les tentatives millénaires des sectes de modifier ou supprimer son œuvre.Personnages fictifs
Il existe un rapprochement indéniable entre la biographie de Jean telle qu'elle est écrite dans “Le livre de vie de l'Agneau” et celle d'Apollonios de Tyane, rédigée tout au long de sa vie par un certain Damis, cité comme son disciple, mais qui est peut-être Apollonios lui-même sous l'identité de ce fameux Damis (contraction de Damianos désignant “Celui qui est dominé par Dieu pour accomplir Son œuvre”), puisque Jean-Apollonios inventa de nombreux personnages dans ses écrits pour mettre en scène et rendre ses enseignements accessibles même aux simples d'esprit.Le livre de vie de l'Agneau dit : “Par la simulation, Jean a réellement fait prendre aux Romains une chose pour une autre, car il savait fort bien qu'ils s'empareraient du Nouveau Testament dans lequel il présentait le sauveur.”
Premiers essaimages
Les archives témoignent de l'existence d'un certain Jean le Presbytre, ayant vécu au 1er siècle, qui est le même et unique Jean. Tous ces Jean (du Nouveau Testament ou du 1er siècle) sont le même homme dont la vie correspond exactement à celle d'Apollonios de Tyane. La philosophie, la rigueur et l'hygiène de vie d'Apollonios sont en parfaite cohésion avec les préceptes enseignés et “incarnés” par le personnage de Jésus Christ, illustré par Jean dans les évangiles.Un Grec

Après le décès de Jean-Apollonios, le Nouveau Testament se répandit peu à peu en Grèce

Avant que Jésus ne soit connu et loué par le plus grand nombre, c'était Jean qui faisait les honneurs de la maison de Dieu; car Jean avait réellement vécu de manière parfaite devant tous ceux qui le rencontrèrent et qui purent ainsi témoigner de son caractère divin. Et c'est par ce même caractère divin (exactement le même) qu'est décrit son contemporain Apollonios de Tyane.
Ancien Testament
Moïse
Jean-Apollonios s'inspira de sa propre existence pour écrire le scénario de l'histoire de Jésus, décrivant en fait la future vie du Fils de l'homme (qui viendrait au monde 2000 ans après) que Jean-Apollonios pressentit, grâce à son esprit aiguisé, et dont il eut la confirmation en lisant l'Ancien Testament (écrit par Moïse) qui annonce la venue du Messie-Christ-Elie-Emmanuel- Fils-d'homme (parmi les nombreux noms que Moïse lui fit porter dans le Tanakh – Ancien Testament – depuis la Genèse, aux Psaumes et Proverbes, jusqu'aux livres des Prophètes, de Josué à Malachie.Paul de Tarse
Jean-Apollonios inventa le personnage de “Paul de Tarse” qui est un clin d'œil à sa propre vie, puisque c'est à Tarse que Jean-Apollonios commença à étudier, expérimenter et prendre conscience de sa mission d'annonciateur de la venue du Christ au monde entier.Jean-Baptiste
Jean était un homme d'une extrême rigueur qui vivait de peu de choses. Il s'abstenait de tout. Mais ce fut un homme de grande valeur sans lequel le monde ne pourrait être sauvé aujourd'hui. Jusqu'à ce que vienne le Nouveau Testament, dans les pays, disons, colonisés par les Romains, on parlait de lui seulement et non de Jésus, et on élevait son nom au ciel.Et c'est bien parce qu'il en fut ainsi que son nom se répandit parmi les peuples et notamment dans le pays des Gaules où ce nom fut fort usité. Car aux yeux de tous, Jean était le sauveur, l'oint de Dieu, celui qui délivrerait les hommes de l'emprise des Romains. Personne ne connaissait encore le nom de Jésus en ce temps-là, et nul n'évoquait son nom. Tous ignoraient son existence et ce qu'il accomplirait.
Apollonios de Tyane
Jusqu'à aujourd'hui, les académiciens opposent Jean et Apollonios en s'acharnant pour les différencier, sans se rendre compte qu'ils sont le même homme. Cet amalgame fut préparé par Jean afin que la vie de Jésus dans le Nouveau Testament puisse se transmettre tranquillement pendant que les prêtres, les religieux, les intellectuels et autres penseurs, des siècles passés jusqu'à nos jours, se disputent au sujet du mystère entourant Jean, Apollonios, et ses personnages Jésus, Pierre, Paul…Biographie
Apollonius de Tyane
Apollonios est nommé Apollonius, d'un suffixe latin-romain, puisque Rome dominait la Grèce

Ensuite, le récit présente Esculape qui est une divinité et un personnage symbolique que l'on apprend à rencontrer en soi-même, dans sa conscience, lorsqu'on est suffisamment pur et à l'écoute de sa petite voix intérieure. De nombreux gens en quête d'un esprit sain (et saint) venaient donc chercher Esculape dans les temples, construits de main d'hommes, qui lui sont dédiés.
Son adolescence
Apollonius naquit à Tyane, ville grecque de Cappadoce
Parvenu à l'âge où l'on commence à instruire les enfants, Apollonius donna des marques d'une grande mémoire et d'une grande ardeur pour l'étude. Il se servait en parlant du dialecte attique, et jamais le contact de l'idiome de son pays n'altéra la pureté de son langage. Il attirait tous les regards par sa beauté. Quand il eut atteint sa quatorzième année, son père le conduisit à Tarse (ville traversée par le fleuve Cydnus), chez Euthydème le Phénicien, rhéteur célèbre alors qui se chargea de son instruction.
Sur la demande qu'il en fit à son père, Apollonius se transporta avec son maître (Euthydème le Phénicien) dans une ville voisine, à Égées (archipel appelé aujourd'hui Égée-Méridionale), où il devait trouver une tranquillité plus favorable aux études philosophiques, et des exemples meilleurs pour la jeunesse : de plus, il y avait là un temple d'Esculape, et Esculape lui-même s'y montrait aux hommes.
Apollonius se trouva dans cette ville avec des platoniciens, des élèves de Chrysippe et des disciples du Portique; il ne négligea pas d'écouter les leçons des épicuriens, que lui délivra Euxène. Euxène vécut à la mode d'Épicure, se laissa vaincre par la gourmandise et par les plaisirs de l'amour, sans mettre en pratique sa philosophie, mais Apollonius se sentit une préférence secrète pour les doctrines de Pythagore.
Son émancipation
Arrivé à sa seizième année, il prit son essor vers la vie pythagoricienne.Il décida ensuite de faire comme les médecins : “Leur premier soin est de purger; et ainsi, ils préviennent les maladies ou les guérissent.”
À partir de ce moment, il ne mangea d'aucun animal (c'était, selon lui, une nourriture impure et propre à alourdir l'esprit); il se nourrit de légumes et de fruits, disant que tout ce que donne la terre est pur. Quant au vin, il considérait comme pure la boisson que fournit un arbuste si précieux à l'homme; mais il jugeait cette boisson contraire à l'équilibre de l'esprit, comme troublant la partie supérieure de l'âme.
Après avoir ainsi purifié son estomac, il s'honora de marcher nu-pieds, ne porta que des étoffes de lin, renonçant à toutes celles qui sont faites de poils d'animaux, laissa croître sa chevelure, et vécut dans le temple.
Il fit l'admiration de tous ceux qui étaient attachés à ce temple, et Esculape ayant dit un jour au prêtre qu'il était heureux d'avoir Apollonius pour témoin des guérisons qu'il opérait, on vint de tous côtés à Égées pour le voir, non seulement des villes de Cilicie, mais des provinces voisines.
Sa tempérance
Apollonius alla même jusqu'à offrir la moitié de sa part d'héritage pour persuader un jeune Assyrien à renoncer à ces vices (passion du jeu, du vin et des femmes, des orgies).Arrivé à l'âge de cent ans, il surpassait Simonide, et il chantait un hymne à la Mémoire, où il est dit que le Temps détruit tout, mais que lui-même, grâce à la Mémoire, ne connaît ni la vieillesse ni la mort.
Souvent, sur le point d'adresser à quelqu'un une réprimande, il s'était dit à lui-même : “Prends patience, mon cœur ; prends patience, ma langue !” Et il avait laissé passer, sans y répondre, plusieurs attaques dirigées contre lui.”
Cette dernière parole d'Apollonius est une allusion à un vers d'Homère, dans lequel Ulysse se dit à lui-même : “Patience, mon cœur ! tu as supporté des maux bien plus cruels.” (Odyssée, XX, v. 18.)
Appolonius se mettait à enseigner la foule; ce qu'il ne faisait cependant jamais avant midi, mais à partir de midi précis. Lorsqu'il pensait avoir assez parlé, il se faisait oindre et frotter, puis se jetait dans l'eau froide, disant que les bains chauds sont la vieillesse des hommes.
Triptyque
Paul de Tarse
C'est dans le livre des “Actes”, du Nouveau Testament, que Paul de Tarse apparaît pour la première fois. Il est le personnage central de ce livre. Paul (qui est son nom en français) s'écrit Paulos en grec, qui signifie “Petit”, alors que Jean signifie “Géant”, qui pouvait aussi s'écrire “Jéhan” en français.Paul le Petit est donc un personnage inventé par Jean le Géant pour symboliser l'œuvre de tout homme qui souhaite aller à la rencontre du Christ pour s'unir à lui et rejoindre le corps de l'église chrétienne ou christique. Et c'est pour cette allusion à une grandeur d'âme toujours proportionnelle à la petitesse de l'ego que Jean fait dire par Jésus, dans le Nouveau Testament, en Luc (22.26) : “Mais que le plus grand parmi vous soit comme le plus petit…”
Jean, le Géant Gaulois
Apollonios choisit donc ce pseudonyme de Jean pour semer le trouble sur son identité par un clin d'œil à la tradition de la Gaule celtique. Les Gaulois vantaient les mérites d'un célèbre personnage du nom de Gayant. Son mythe figuré est une personnification du génie gaulois, prophétisant le réveil de la Gaule qui finirait par se délivrer du joug des Romains et de la servitude en général.Les Gaulois respectaient profondément ce personnage de Gayant qui fut un noble symbole patriotique. Cette légende de Gayant, venue du lointain passé celte, en fait “un géant vainqueur, maître du pays”.
Les Géants de l'Antiquité
Jean (le “Géant”) est aussi un clin d'œil aux “Géants de l'antiquité”, qui sont les fils de l'union entre les Dieux et les femmes humaines terrestres, dont parle le passage dans le livre de la Genèse (6.4), de l'Ancien Testament. Il se fait ainsi un fier et noble descendant de la lignée céleste sur Terre, telle la divinité gauloise du Géant-Gayant.Image de la vie d'Apollonios
Durant son vœu de silence (mis en pratique pendant cinq ans), Apollonios voyagea donc dans diverses villes de Cilicie, la contrée de laquelle est originaire Paul de Tarse dont l'histoire évoque sans l'ombre d'un doute celle d'Apollonios.Le nom de Paul est aussi peut-être un jeu de mots avec “Ap-Paulonios” et, en tout cas, un clin d'œil évident au dieu de la Mythologie grecque Apollon, qui est le dieu des arts, du chant, de la musique, de la beauté, de la poésie et de la lumière mais également le dieu des purifications et de la guérison qui peut aussi apporter la peste par son arc, en étant capable de divination, et que l'on consultait, entre autres, à Delphes, où ses oracles étaient rendus par la Pythie de Delphes.
Nouveau Testament
Essaimage méditerranéen
De Galice à la Gaule
Jadis, bien avant les multiples conquêtes romaines, l'antique culture gauloise s'étalait de la Galice (extrême nord-ouest de l'Espagne




Da Galatie à Galilée
Cette nation gauloise, en partie d'origine celtique, vit quelques-unes de ses tribus migrer jusqu'en Galatie dans le centre-nord de l'Anatolie (Turquie actuelle

En français, le terme “gal” a donné des mots comme “galet”, pour l'importance architecturale et symbolique de la pierre chez les Gaulois, ou “gallinacé”, pour le symbole du coq qui réveille l'esprit et la conscience par son chant matinal.
Auto-biographie
Identité multiple
Un Juif nommé Apollos
Jean-Apollonios donne encore un indice sur son identité multiple dans le livre des Actes (18.23) : “Lorsqu'il eut passé quelque temps à Antioche, Paul se mit en route, et parcourut successivement la Galatie et la Phrygie, fortifiant tous les disciples. Un Juif nommé Apollos, originaire d'Alexandrie, homme éloquent et versé dans les écritures, vint à Ephèse. Il était instruit dans la voie du Seigneur, et, fervent d'esprit, il annonçait et enseignait avec exactitude ce qui concerne Jésus, bien qu'il ne connût que le baptême de Jean. Il se mit à parler librement dans la synagogue.”Évidemment qu'il ne connût que le baptême de Jean puisque, comme l'explique le “Livre de Vie de l'Agneau”, le baptême de Jésus est l'image du baptême que le Fils de l'homme devrait opérer à l'achèvement des âges, la fin des siècles, où nous sommes désormais arrivés actuellement. Cet Apollos représente donc Jean-Apollonios qui parle librement et avec exactitude de Jésus mais sans l'avoir physiquement rencontré.
Jean et Jésus
Jean (qu'il soit : -le-Baptiste, fils de Zacharie et d'Elizabeth ou fils de Zébédé – ainsi que tous les autres Jean décrit dans le Nouveau Testament) reçut aussi le surnom de Presbytre (désignant “un ancien qui a la charge de l'église”) de la part de ceux qui avaient compris sa mission à l'époque.Il faut bien comprendre que Jean avait eu une telle influence dans toutes les villes où il passait, et / ou il séjournait, que sa réputation lui succéda durant plusieurs décennies et jusqu'à des contrées lointaines; jusqu'à ce que son personnage Jésus prenne le relai en estompant et remplaçant peu à peu les prouesses divines de Jean – ainsi que celles du mystérieux Apollonios.
Nouveau Testament
Jean-Jésus et le Christ-Fils-de-l'homme
Le Fils du Futur (à venir, en devenir)
Dans le Nouveau Testament, Jésus dit que Jean et le Christ-Fils-de-l'homme sont tous deux Elie. Jean est “l'Elie qui devait venir”; et “l'Elie qui doit venir” désigne le Fils de l'homme dont Jésus est le personnage littéraire et symbolique décrivant la mission qu'Elie, ce Fils de l'homme, devrait accomplir deux mille ans après Jean.Mais c'est comme un seul Elie qui vit d'abord en Jean, puis dans le Christ-Fils-de-l'homme ensuite. Jésus explique subtilement, mais avec suffisamment de clarté, qu'il y a une différence entre lui-même (Jésus, Jean-Apollonios, il y a 2 000 ans) et le Fils de l'homme (Christ, Emmanuel, qui signifie “Dieu avec nous”, en l'an 2 000) – puisque “le témoignage de Jésus est l'esprit (pneuma, étymologiquement “souffle”) de la prophétie” (selon le chapitre 19 du livre de l'Apocalypse), alors que le Fils de l'homme est l'incarnation du Christ, physiquement, dans le monde d'aujourd'hui, ou comme l'écrit Jean dans son 1er épître : “Jésus Christ venu en chair.”
Jean pour pseudonymes
Le Jean du moment (à présent, en )
Lorsque Apollonios se retira à l'abri des regards, pour commencer à rédiger son “Nouveau Testament”, il publia des lettres sous le pseudonyme de Jean, en faisant oublier le personnage d'Apollonios, jusqu'à ce qu'il achève toute son œuvre par le livre de l'Apocalypse (signifie littéralement “Levée du Voile, révélation”), écrite sur l'île de Patmos, en Grèce
C'est possiblement un peu avant le 1er siècle que des manuscrits du “Nouveau Testament” furent recopiés, publiés et envoyés à différentes régions voisines de Patmos (et peut-être dans les offices des différents temples – notamment ceux des villes d'Anatolie citées dans le livre de l'Apocalypse : Éphèse, Smyrne, Pergame, Thyatire, Sardes, Philadelphie et Laodicée) afin que quiconque puisse les consulter.
Il est évident que ces premiers manuscrits devaient comporter quelques différences avec les versions actuelles du “Nouveau Testament”, puisqu'on dit, par exemple, que les Romains catholiques s'emparèrent de cette œuvre pour en changer quelques passages.
Quoi qu'il en soit, Jean ne fut pas quelqu'un dont la mission peut être empêchée; et connaissant parfaitement l'esprit humain, il fit en sorte de prévenir toute fraude, et notamment en mettant en scène la vie de personnages semblant réels (comme Jésus ou Paul) mais auxquels on ne pourrait pas s'en prendre puisqu'ils sont fictifs.
Jean le Presbytre
Jean a donc établi habilement différentes histoires à son sujet, afin de pouvoir se retirer tranquillement loin du monde pour rédiger le “Nouveau Testament” qui a dû lui demander quelques années de réflexions et de tranquillité.C'est ainsi qu'on vit apparaître un certain Jean le Presbytre dans le décor historique de l'époque, qui partagea aussi son savoir de manière orale autour de lui, éveillant la curiosité des gens au sujet du Christ qu'il vit clairement en esprit.
Biographie
Wikipédia
Jean le Presbytre est un personnage mentionné par Papias et Eusèbe de Césarée et qui serait à l'origine de la communauté johannique d'Éphèse. Eusèbe, se faisant l'écho de traditions anciennes, distingue deux “Jean” : Jean l'apôtre (fils de Zébédée), et Jean le Presbytre (l'“Ancien”), mentionné dans les épîtres.Certains exégètes ont fait de Jean le Presbytre l'auteur de l'évangile selon Jean, mais cette hypothèse n'a plus cours. Il aurait vécu entre l'an 50 et l'an 100 de notre ère et ne serait donc pas un apôtre ni un témoin de la Crucifixion, vers l'année 30 de notre ère.
Après sa disparition, un de ses proches édita la version définitive, ajoutant des notes ou variantes de discours trouvés dans ses papyrus, expliquant plusieurs répétitions et absences de suture. Il serait enterré à Selçuk, près d'Éphèse, où il existait une basilique Saint-Jean, hélas aujourd'hui en ruines.
Wikipédia (sorte de condensé moderne et académiquement validé, accepté conventionnellement par les masses) donne prudemment la main à l'argument selon lequel tous les Jean ayant vécu au premier siècle “après Jésus-Christ” sont le même individu, et comment ce Jean rédigea la vie de personnages qu'il mit en scène pour présenter le Fils de l'homme au monde, tout en permettant à ce Fils de l'homme de se reconnaître le jour où il arriverait (Emmanuel, l'auteur du “Livre de Vie de l'Agneau” en l'an 2 000).
Irénée de Lyon
À la fin du IIe siècle, Irénée de Lyon, qui avait fréquenté Polycarpe, évêque de Smyrne, écrit : “Après les autres disciples, Jean, le disciple du Seigneur qui reposa sur sa poitrine, donna lui aussi sa version de l'évangile comme il séjournait à Éphèse.”Le disciple bien-aimé a fini sa vie au début du IIe siècle. La question de savoir si les événements que l'on connaît à ce propos se rattachent à Jean l'Apôtre ou à Jean le Presbytre recoupe celle de l'identité de l'auteur du quatrième évangile.
Irénée précise que Jean est mort très âgé sous le règne de Trajan (98 - 117).
Irénée ne parle d'ailleurs pas d'un apôtre, mais d'un “témoin authentique de la tradition des apôtres”.
Jean publia son livre, pour contrer les erreurs propagées par Cérinthe et les Nicolaïtes. C'est à Éphèse, ville où il compose ses trois épîtres et le quatrième évangile (dont la plus ancienne trace est le Papyrus P52, en l'an 97), qu'il serait mort en l'an 101, à l'âge de 98 ans, alors qu'il travaillait encore sur ses textes.
Clément d'Alexandrie
Clément d'Alexandrie précise que Jean, d'abord exilé de l'île de Patmos en Grèce
Victorin de Pettau
Jean-Apollonios quitta Patmos, au grand regret de ses habitants, qu'il avait convertis en très grand nombre, selon le commentateur grec Victorin de Pettau (IIIe siècle).De là, il rayonna dans la région, invité par les églises locales, “tantôt pour y établir des évêques, tantôt pour y organiser des églises complètes, tantôt pour choisir comme clerc un de ceux qui étaient désignés par l'Esprit.”
Personnages fictifs
Jean de Zacharie
Jean se présente autant comme le fils de Zacharie que celui de Zébédée, parce que ces liens de parentés sont en fait des filiations symboliques. Zacharie (désignant Celui qui transmet la “Mémoire Divine”) est un personnage né de la plume de Moïse et dont le récit est semblable à celui de l'Apocalypse de Jean.Dans le livre de Zacharie (de l'Ancien Testament), Zacharie s'adresse à un mystérieux homme qui est en train de mesurer le temple avec une tige, exactement comme Jean se décrit lui-même en train de le faire dans son livre de l'Apocalypse.
Jean est donc le fils spirituel de Zacharie puisqu'il est Celui qui a bien compris et reçu la Mémoire Divine transmise par Moïse. Moïse s'est ainsi adressé à Jean en lui décrivant sa mission à accomplir dans le livre de Zacharie qui fut rédigé pour le Jean du futur, afin que Jean se reconnaisse et accomplisse cette mission de mesurer le temple – l'œuvre de Dieu – et d'enseigner l'humanité au sujet du Christ, Fils de l'homme, qui doit se manifester / paraître à l'achèvement des âges (souvent traduit par “la fin des siècles”), selon l'expression que Jean emploie dans l'épître aux Hébreux.
Jean de Zébédée
Jean se fait aussi fils de Zébédée puisque ce nom signifie “Donner par Dieu”, pour accomplir l'œuvre de transmission de la parole divine. Ce terme est aussi un signe destiné au Fils de l'homme lui-même puisque Jean se fait le frère d'un certain Jacques, également fils de Zébédée, et que ce Jacques n'est autre que le personnage de Jacob qui est une des sept principales figures du Fils de l'homme (et la figure centrale, puisque Jacob devient Israël) décrit dans le Tanakh (l'Ancien Testament) de Moïse.Ces sept figures, appelées aussi les “sept lampes du chandelier” (qui sont des indications laissées par Moïse au Fils de l'homme), sont clairement expliquées dans le livre de Vie de l'Agneau : lelivredevie.com/accomplissement-des-ecritures/le-schilo.php#le_chandelier.
Biographie
Nuctemeron
Version de l'Apocalypse
On attribue aussi à Apollonios la rédaction d'un ouvrage de quelques lignes nommé “Nuctemeron”, et qui rappelle le thème du dernier livre de la Bible : l'Apocalypse. Cette œuvre de seulement quelques lignes est une description symbolique de chacune des Douze Heures (symboliques); de la Première Heure : “Dans l'unité, les démons chantent les louanges de Dieu, ils perdent leur malice et leur colère”, à la Douzième Heure : “Ici s'accomplissent par le feu les œuvres de l'éternelle lumière.”, rappelant aussi les différentes heures de la vie de Jésus évoquée dans les Quatre évangiles.Version des Quatre Évangiles
Dans ces Quatre évangiles, il est dit que Jésus est crucifié à la 3e heure et que des ténèbres recouvrent la Terre de la 6e à la 9e heure, qui est le moment où “le voile du temple se déchira par le milieu” et où Jésus expire, selon chacun des Quatre évangiles.Mais, en lisant attentivement, on remarque que c'est dans l'évangile de Jean que la solution à l'énigme des subtiles différences entre les Quatre évangiles est donnée, comme l'anecdote du fameux Simon de Cyrène qui finit par porter la croix de Jésus dans l'évangile de Jean alors que, dans les trois premiers évangiles, Jésus la porte tout seul.
Ce Simon est le même que Simon fils (symbolique) de Jonas que Jésus appelle Cephas – signifiant Pierre et qui représente le Fils de l'homme. Il porte la croix de Jésus dans l'évangile de Jean, car c'est dans cet évangile que le Fils de l'homme prit conscience de sa mission christique qui est identique à celle de Jésus Christ. L'essentiel de la symbolique biblique est décrit dans le Livre de Vie de l'Agneau.
95 lettres d'Apollonius
Philostrate
Les paroles suivantes seraient issues de 95 lettres rédigés par Apollonius et livrés par Philostrate vers le 3e siècle :“De ne rien posséder et cependant posséder toutes choses.”
“Accordez-moi, O dieux, de posséder peu et de ne désirer rien.”
“Je prie pour que la justice règne, et les lois soient respectés; pour que les sages soient pauvres et les autres riches par des moyens honnêtes.”
“Je ne suis qu'un homme” et “tout homme par la contemplation et par la philosophie peut s'élever jusqu'aux dieux. Le sang des victimes ne peut leur plaire; le plus bel hommage qu'on puisse leur rendre, c'est celui d'un cœur pur.”
“Si la bonté est un des attributs de la divinité, les hommes qui sont bons ont quelque chose de divin.”
“Ne comptez pour rien l'argent amassé, en quoi vaut-il plus que le sable amoncelé par le hasard ? Ne comptez pour rien non plus l'argent prélevé par les lourds impôts qui écrasent le peuple : l'or qui vient des larmes est vil et maudit. Mieux qu'aucun roi, vous emploierez vos richesses, si vous secourez ceux qui sont dans le besoin, et si vous laissez les riches jouir en paix de leurs biens.”
“Le sage doit être capable de mourir pour ses idées et la vérité doit lui être plus chère que la vie.”
“Il n'est pas possible à l'homme de ne pas commettre d'erreurs, seul un caractère noble reconnaît en avoir commis.”
“Pythagore dit que l'art le plus divin est celui de guérir. Si l'art de guérir est si divin, il doit s'occuper de l'âme autant que du corps, car nul être n'est sain, lorsque ce qu'il y a de supérieur en lui est malade.”
“Si quelqu'un se dit mon disciple, qu'il ne fréquente pas les lieux publics, qu'il ne tue aucun être vivant; qu'il ne mange pas de viande, qu'il soit délivré de l'envie, de la malignité, de la haine, de la calomnie, du ressentiment, et qu'il ait son nom inscrit parmi les noms de ceux qui ont obtenu la libération.”
Saint'thèse
À l'aube du IIIe millénaire
Aujourd'hui, en nos débuts du 3e millénaire après Jésus-Christ, beaucoup d'auteurs, de religieux, d'intellectuels, etc., racontent diverses choses sur la vie de Jésus, en ajoutant des détails à son histoire, comme des voyages qu'il aurait accomplis en Inde


Voyages de Jean-Apollonios
En vérité, les voyages que les pseudo-historiens veulent attribuer à Jésus sont ceux réalisés par Jean-Apollonios durant sa vie au premier siècle. Il parcourut une partie du monde en accomplissant ce que certains ont pu prendre pour des miracles, tellement son zèle pour l'éternel était sincère et puissant.Mais parce qu'il savait qu'un jour il devrait se retirer du monde pour écrire le message que Dieu voulait qu'il transmette, il resta toujours vif, concentré et sage dans sa mission. Il fut réellement “l'Elie qui devait venir”, tel qu'il le fait dire par Jésus, sans aucune prétention.
Ferveur autour de Jésus-Jean-Apollonios
Dès le début de l'ère chrétienne, il fut impossible de départager les mérites de Jésus de Nazareth de ceux d'Apollonios de Tyane ou de Jean, tant leurs miracles et les témoignages sur leurs vies se confondaient. L'influence d'Apollonios fut durable.Après sa mort, le personnage d'Apollonios fit l'objet d'une divination, à tel point qu'à la fin du 3e siècle, l'empereur romain Caracalla lui dédia un sanctuaire. Même qu'un polémiste anti-chrétien du 4e siècle, Hiéroclès, le compara au Christ lui-même.