Puisque tu pars Rythme () Vocabulaire () Intonation () Mélodie () Echange () |
Accueil Arborescence Page précédente | ||||
Auteur (paroles): Goldman (Jean-Jacques)
Compositeur (musique): Goldman (Jean-Jacques) |
Titre original (si reprise):
Date de création (si œuvre originelle): |
Interprète: Goldman (Jean-Jacques)
Sa date de sortie: 1989 |
Editions:
Production: |
RYTHME FACILE Au rythme d'un conte MOYEN Au rythme d'une conversation DIFFICILE Au rythme d'un flash météo |
VOCABULAIRE FACILE Du langage courant MOYEN Du langage familier DIFFICILE Du langage soutenu |
INTONATION FACILE La voix portée sur les graves MOYEN La voix portée sur les médiums DIFFICILE La voix portée sur les aigus |
MEDOLIE TRADITIONNELLE Une histoire d'us et coutumes ROMANTIQUE Une histoire de sentiments MEDITATIVE Une histoire qui fait réfléchir |
ECHANGE TOUT SEUL Monologue masculin TOUTE SEULE Monologue féminin DIALOGUE Conversation entre deux individus |
Puisque l'ombre gagne Puisqu'il n'est pas de montagne Au-delà des vents, plus haute que les marches de l'oubli Puisqu'il faut apprendre A défaut de le comprendre A rêver nos désirs et vivre des ainsi-soit-il Et puisque tu penses Comme une intime évidence Que parfois même tout donner n'est pas forcément suffire Puisque c'est ailleurs Qu'ira mieux battre ton coeur Et puisque nous t'aimons trop pour te retenir Puisque tu pars Que les vents te mènent où d'autres âmes plus belles Sauront t'aimer mieux que nous puisque l'on ne peut t'aimer plus Que la vie t'apprenne Mais que tu restes le même Si tu te trahissais, nous t'aurions tout à fait perdu Garde cette chance Que nous t'envions en silence Cette force de penser que le plus beau reste à venir Et loin de nos villes Comme octobre l'est d'avril Sache qu'ici reste de toi comme une empreinte indélébile Sans drame, sans larme Pauvres et dérisoires armes Parce qu'il est des douleurs, qui ne pleurent qu'à l'intérieur Puisque ta maison, aujourd'hui c'est l'horizon Dans ton exil, essaie d'apprendre à revenir Mais pas trop tard Dans ton histoire, garde en mémoire Notre au revoir, puisque tu pars J'aurais pu fermer, oublier toutes ces portes Tout quitter sur un simple geste, mais tu ne l'as pas fait J'aurais pu donner tant d'amour et tant de force Mais tout ce que je pouvais, ça n'était pas encore assez Pas assez, pas assez, pas assez... Puisque l'ombre gagne Puisqu'il n'est pas de montagne Au-delà des vents, plus haute que les marches de l'oubli Puisqu'il faut apprendre A défaut de le comprendre A rêver nos désirs et vivre des ainsi-soit-il Et puisque tu penses Comme une intime évidence Que parfois même tout donner n'est pas forcément suffire Puisque c'est ailleurs Qu'ira mieux battre ton coeur Et puisque nous t'aimons trop pour te retenir Puisque tu pars Que les vents te mènent où d'autres âmes plus belles Sauront t'aimer mieux que nous puisque l'on ne peut t'aimer plus Que la vie t'apprenne Mais que tu restes le même Si tu te trahissais, nous t'aurions tout à fait perdu Garde cette chance Que nous t'envions en silence Cette force de penser que le plus beau reste à venir Et loin de nos villes Comme octobre l'est d'avril Sache qu'ici reste de toi comme une empreinte indélébile Sans drame, sans larme Pauvres et dérisoires armes Parce qu'il est des douleurs, qui ne pleurent qu'à l'intérieur Puisque ta maison, aujourd'hui c'est l'horizon Dans ton exil, essaie d'apprendre à revenir Mais pas trop tard Dans ton histoire, garde en mémoire Notre au revoir, puisque tu pars J'aurais pu fermer, oublier toutes ces portes Tout quitter sur un simple geste, mais tu ne l'as pas fait J'aurais pu donner tant d'amour et tant de force Mais tout ce que je pouvais, ça n'était pas encore assez Pas assez, pas assez, pas assez... |