Deuxième huitaine
By Philippe L. Paris/France (31/08/2005)
 
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A chaque mesure, suit sa posture puis sa cambrure
L aisse rêveur son train charmeur plein de vigueur,
L es courbes à nues, ses fesses en vue, fait celle se rue.
U ne fois de plus fit celle émue, face elle me tue,
R eine elle encaisse pose ses fesses en toute finesse,
E treintes d'ivresse fait des prouesses puis elle s'affaisse.
 
M 'haler sur elle la rendre belle donner des ailes
E t moi fidèle au naturel tel l'Archangel,
L ui lance des sorts, pour qu'elle s'en sorte, vie sans remors.
O n devrait croire que le hasard n'est point bizarre,
D on à égard, avec tout l'art quer je pare,
I l vaut tout l'or que le mode porte: prends-le, honores.
E t si tu penses que la confiance n'a de croyance,
U ne simple danse que je te lance vaut joie immense.
S ignes ton heure, défie ton cœur, soit accrocheur
E n toute âme pur, tout comme Arthur, je soigne bessures.