Comme un murmure
By Philippe L. Paris/France (03/09/2005)
 
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L a rosée du matin sur lequel en chemin
 
O n respire l'humus et parfois même bien plus.
R éservé est ce bois où l'on entend tout bas
E lan de bruit et cris d'oiseaux , pas de fourmi
E ffleurement du vent sut les branches produisant
 
D 'innombrables mélodies en toute symphonie.
E n cette clairière jaillit comme sortant de son nid
 
L a fée du bois dormant aux cheveux noirs luisants
A u regard couleur nuit, je m'y sens tout ébloui
U ne si douce voix qui comblerait tout roi.
R êvais-je que tu pusses devant moi tu eusses
E ntr'ouves ton destin pour que je m'y sente bien.