Jean de France Rythme () Vocabulaire () Intonation () Mélodie () Echange () |
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Auteur (paroles):
Compositeur (musique): |
Titre original (si reprise):
Date de création (si œuvre originelle): |
Interprète: Didier Barbelivien
Sa date de sortie: |
Editions:
Production: |
RYTHME FACILE Au rythme d'un conte MOYEN Au rythme d'une conversation DIFFICILE Au rythme d'un flash météo |
VOCABULAIRE FACILE Du langage courant MOYEN Du langage familier DIFFICILE Du langage soutenu |
INTONATION FACILE La voix portée sur les graves MOYEN La voix portée sur les médiums DIFFICILE La voix portée sur les aigus |
MEDOLIE TRADITIONNELLE Une histoire d'us et coutumes ROMANTIQUE Une histoire de sentiments MEDITATIVE Une histoire qui fait réfléchir |
ECHANGE TOUT SEUL Monologue masculin TOUTE SEULE Monologue féminin DIALOGUE Conversation entre deux individus |
J'aimais ton rire j'aimais ta voix
Qui racontait nos différence Moustache rapportait de Cuba De Santiago quelle importance J'aimais tout ceux qui était toi Quand tu bousculais nos conscience Jean ta belle môme ou Jean Ferrat Tes mots déchiraient nos silence Et je m'imaginais Créteil Quand tu me fredonnais ma môme Et ces deux enfants au soleil Garcia Lorca en son royaume Moi j'écoutais nuit et brouillard Enfermait dans mon innocences Je comprendrais beaucoup plus tard Nul ne guérit de son enfance [Refrain 1] Jean de France Tu chantais pour les gens de France De la Bretagne à la Provence Avec la fièvre tel insolence De dire ce mot ne disait pas [Refrain 2] Jean de France Humain jusqu'à la transparence De se regard qui fait confiance Pour le secret des confidences Quand tu croisais les yeux d'Elsa D'ailleurs que serais-je sans toi Et voilà Aragon qui danse Même Ferré n'en reviens pas De ces mélodies qui s'élancent Ces Potemkine et Maria unit dans la même souffrance Mourir au soleil ça me va mourir debout quelle élégance [Refrain 3] Jean de France Tu chantais pour les gens de France De la montagne aux plaines immenses Tu défendais tout ceux qui pense Que le malheur n'existe pas Tu mettais le vide hors-la-loi Du simple fait de ta présence Un jour futur un jour viendra Ou plutôt que l'indifférence Et tes chanson de ce temps-là Ont bercé mon adolescence Un drapeau rouge au bout des bras Tous ces taureaux quand j'y repense |