Anges du Ciel
Anges selon Raphaël (1483-1520)
The Sixtine Madonna
Saint-Michel & le Démon
Triomphe (symbole) du “Bien” sur le “Mal”.
Crucifixion
Passage (symbolique) de la “Mort” vers une nouvelle “Renaissance”.
Vision d'Ezékiel
Message (rencontre) de l'au-delà
Triomphe de Galatée
Triomphe (bataille intergalactique) de Galatée
Saint-George & le Dragon
Bataille de Saint-Georges contre le dragon (ses peurs).
Saint-Michel & le Dragon
Saint-Michel & le Dragon (la peur).
Êtres célestes selon Gabrielo Condorito (2024)
Humain d'apparence
Il y eut sur Terre une longue période où différentes races humaines cosmiques échangèrent.
Tout comme il y a des différences physiques entre les membres d'une même famille, puis entre les familles d'un même peuple, puis entre les peuples d'un continent, et qu'un enfant du fin fond de la campagne asiatique, au teint jaune-orangé, trouvera étrange, voire effrayant, l'européen blond des montagnes suisses, à leur première rencontre, l'aspect de tous ces êtres qui nous visitaient pouvait parfois surprendre et effrayer nos ancêtres humains, très innocents, puérils ou craintifs par leur jeune mentalité.
C'est une des raisons pour lesquelles on instaura des déguisements d'humanoïdes étranges, dans tous les peuples du monde qui avaient contact avec ces entités humano-extraterrestres, afin d'habituer les enfants humains-terriens aux visiteurs célestes, dès leur plus jeune âge.
On retrouve donc ces déguisements d'humanoïdes étranges dans les cultures du monde.
Traditions & croyances
La majorité de l'enseignement premier est depuis noyé sous des croyances superstitieuses et ténébreuses qui entretiennent la frayeur et la crainte envers les êtres ou les mondes de l'univers, pourtant bienveillants.
A cause des millénaires de déformation de notre tradition primordiale et sacrée, encouragée par la volonté des religieux dominants d'imposer la crainte par la punition, ces êtres bienveillants sont devenus des êtres maléfiques (diables, démons, Satan, Lucifer, et cetera ...).
Cette déformation prend diverses formes selon les peuples, mais elle est toujours la conséquence de l'enfoncement de l'esprit humain dans l'ignorance, le long des siècles.
Cet enfoncement dans l'ignorance était un passage obligé et nécessaire, afin que l'humanité s'observe dans ses limites et ses contradictions, jusqu'à ce qu'elle trouve l'équilibre, volontairement et en conscience, afin de s'autonomiser pour sa souveraineté.
A la base, ces déguisements d'humanoïdes bizarres avaient la fonction d'exhorter à la peur, afin de renforcer la confiance des jeunes humains-terrestres craintifs, en les rendant maîtres de leur esprit.
Ce sont donc ces êtres humanoïdes venus du cosmos que les peuples immortalisèrent par ces costumes utilisés durant leurs cérémonies.
Ceci est entretenu dans le rite des Tschäggättä – approchant les plus peureux. On retrouve des méthodes renforçant la foi et la confiance dans de nombreux rituels humains.
Expériences en conscience
Les premiers enseignements ne parlaient pas d'êtres cosmiques mauvais, mais toujours d'êtres bons, bienveillants, plus évolués en expérience et en conscience, prêts à aider, ayant enseigné notre jeune humanité, il y a des milliers d'années, comme des parents enseignent leur enfant pour l'aider à s'autonomiser le long de son chemin dans l'éternité.
Le peuple Hopi (Arizona, Etats-Unis
) est central
au message de cette étude, notamment chez les peuples Sólawúchim et Kachinas,
qui sont des divinités du cosmos et des symboles spirituels, du peuple Hopi d'Arizona.
Le tradition hopie raconte que l'humain existe sur cette Terre depuis deux centaines de milliers d'“années” (selon un système de datation “relative”) – il est bon de signaler ici que les “datations”, selon les peuples et les époques, ont beaucoup changé.
On raconte que jusqu'à l'époque du fameux Moïse, les peuples comptaient les époques en cycles lunaires. Puis, certains ont compté en cycles vénusiens ou avec les cycles de certaines étoiles comme Sirius.
Ce faisant, les datations sont souvent différentes, en fonction des traditions du monde, alors que la chronologie reste, majoritairement et logiquement, la même. Cette étude se base donc sur la chronologie plutôt que sur les dates.
Ethnies en avance
Si selon les Hopis, certains de leurs visiteurs des étoiles venaient des Pléiades ou de la constellation d'Orion, le peuple Dogon raconte qu'il était principalement en lien avec les êtres de Sirius, et connaissait déjà la trajectoire de Sirius B autour de Sirius A, bien avant que les “savants” modernes ne connaissent Sirius B.
Il connaissait aussi l'existence de toutes les autres planètes de notre système solaire, y compris Uranus, Neptune et Pluton et savait exactement à quoi ces planètes ressemblent quand on les approche dans l'espace.
Il parlait de l'existence des globules rouges et des globules blancs dans le sang, parmi d'autres informations très précises sur la physiologie du corps humain.
Le peuple Dogon démontre ses connaissances grâce aux dessins sur les murs de ses grottes.
Peuples en concordance
Parmi ces dessins, il y a celui d'un objet volant non identifié – dont la silhouette en forme de soucoupe volante est tout à fait familière – qui jaillit du ciel pour se poser au sol sur trois jambes émergeant de ses flancs.
On retrouve cette légende chez le peuple Uros, du Lac Titicaca
dans la Cordillère des Andes.
La légende raconte que la liaison avec les êtres de l'espace fut
à l'origine de l'Empire Inca.
Le Dogon raconte que plusieurs êtres de la soucoupe creusèrent un grand trou dans la terre qu'ils remplirent ensuite d'eau. Puis ils commencèrent à communiquer avec les Dogons, leur décrivant d'où ils venaient et leur partageant d'autres informations. Ces êtres ressemblaient beaucoup à des dauphins (signifiant que leur connaissance maritime était étendue). Le Dogon raconte que certains cétacés sont originaires de Sirius – dont on pourrait s'amuser à lier l'origine du mot “sirène”.
Que ça soit pour le Dogon ou le Hopi, il existe beaucoup de systèmes stellaires habités par une ou plusieurs humanités dans l'univers, rempli donc de multiples mondes vivants.
Civilisations en communion
Le Tibet
conserve dans ses traditions la
mémoire des commencements de notre ère humaine. L'Himalaya, (montagne
sacrée par excellence) renferme encore d'anciens secrets et légendes
d'une histoire remontant à l'époque où les dieux vivaient sur Terre.
On conte la rencontre entre le peuple Dropa (venu du ciel dans un engin échoué vers le Tibet
, il y a des
milliers d'années) et le peuple Ham des montagnes. Malgré la
réaction brutale du peuple Ham envers le peuple Dropa, il y eut des
métissages entre eux qui donnèrent naissance à un peuple de
petite taille, au teint jaune et avec les yeux clairs en amande. Les Dropas
laissèrent aussi des disques de jade sur lesquels sont gravés des
informations au sujet de leur origine, notamment.
Le peuple Mongol
entretient
encore des cérémonies cultivant sa relation aux mondes invisibles.
La subtilité entre toutes ces entités (extra ou intra-terrestres,
êtres des mondes parallèles, d'autres dimensions ou astraux – parmi
une quantité d'autres appellations) est susceptible de poser des
problèmes de compréhension.
Une légende raconte que l'art du voyage hors du corps et du “chamanisme” aurait été introduit par un adolescent nommé Tarvaa, qui avait la capacité de voyager dans l'espace et l'intemporel.
Le Mongol
décrit cet
“au-delà” tel un arbre cosmique dont les branches
s'étendent à tous les niveaux; il y a des trous entre chaque
niveau, permettant à l'artiste de passer d'un niveau à l'autre.
Nations en transparence
Selon certaines idées des peuples peau-rouge de l'actuel continent américain
, le savoir pour la race
blanche serait en partie conservé quelque part dans les montagnes suisses
.
Les similitudes entre les cérémonies Tschäggättä suisses
et Kachina hopies
sont frappantes. Les masques colorés (surtout ancestraux pour les Tschäggättä),
les costumes en fourrure d'animaux, la manière de se déplacer en sautillant et en
agitant leurs clochettes transpirent une origine commune à ces coutumes.
D'autant plus – et c'est là que ça devient captivant – que l'un des objectifs premiers des Tschäggättä
comme du Kachina
est de provoquer la peur afin de la rendre
observable, pour l'analyser, la comprendre jusqu'à la maîtriser. Aussi, ces êtres
ont un rôle d'exorciste, d'accusateur et de conjurateur du mal se trouvant en l'humain.
La Tschäggättä
a tendance à aller vers
ceux qu'elle sent menteurs, orgueilleux ou peureux. Le Kachina
a
de même des cérémonies où il va provoquer pour désensibiliser cette peur.
On dit que celui qui porte le costume entre en communion avec les esprits et leur vision.
Le pouvoir catholique de l'église romaine vaticane
(pour ne pas la citer) voulut anéantir les coutumes ancestrales suisses
(dites “païennes”, terme absurdement synonyme de péché)
en les faisant passer pour satanistes (beau jeu de jambes de la part de l'habile secte romaine
).
Civilisations en cohérence
Le peuple Basque a une légende mystérieuse. On raconte qu'un prêtre basque, au 16e siècle, partit “évangéliser” un peuple du Guatemala
de la forêt du Petén, parlant la langue otomie.
Ce prêtre basque et le peuple Otomi purent discuter en parlant chacun sa langue respective
– leurs langues ayant une racine commune.
Le peuple Otomi et le peuple Basque ont une légende similaire qui raconte qu'ils vivaient sur un continent situé dans l'Océan Atlantique, qu'ils quittèrent avant que ce continent ne soit englouti par les eaux. Le peuple Otomi partit à l'ouest, en Amérique Centrale, et le peuple Basque partit à l'est, entre la France et l'Espagne, où il vit toujours.
À l'image de Herensugue (le serpent basque à sept têtes) la tradition et les légendes basques ont des points communs avec des traditions “amérindiennes”, puisque de source identique.
Les BasaJaunak sont des “seigneurs sauvages”, forts, au corps velu, marchant avec un bâton et entrant chez les gens pour se servir à manger (telle la Tschäggättä) considérés comme des divinités ayant transmis l'agriculture et d'autres connaissances au peuple Basque.
On retrouve également dans les cérémonies du peuple Basque des clochettes, des masques colorés en tout genre et toujours l'impérissable volonté d'exhorter à la peur.